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Donc Jeanne est penché sur sa table basse, avec deux mains d'hommes sur ses fesses et ses seins. En un instant, son string est trempé. Elle est tout simplement heureuse d'être entre les mains de ces deux hommes.

" Alors, voyons voir ces fruits d'un peu plus prêts, dit Remi

- Déballons la marchandise, si je peux me permettre une telle expression, chère voisine.

- Tu peux, tu peux. Cette marchandise est là pour être déballée, les mecs."

Ils ne se firent pas plus prier. Remi souleva sa jupette pour reveler son beau petit cul barré d'un string lycra déja humide. Il posa sa main sur ce petit bout d'etoffe pour caresser Jeanne à travers. SOn doigt s'attarda avec délice sur ses lèvres et son clitoris. David, quand à lui, glissa ses deux mains sous son debardeur pour jouer avec ses seins. A travers son soutien gorge, il se mit à jouer avec ses ponites durcies et tendues par le plaisir. Ils se regardaient tous deux dans les yeux.

Jeanne prit un peu les choses en main. Elle se redressa, enleva sa jupe et son debardeur, débarassa la table et se mit a quatre pattes dessus.

" Voilà votre dessert les gars ! Servez vous."

Là, ils se jettèrent sur elle avec tant de désir et d'excitation qu'une onde de plaisir se propagea en Jeanne. Remi écarta son string pour introduire sa langue profondément entre ses lèvres et David sorti son sexe déjà en érection pour le présenter devant la bouche de Jeanne, qui se fit un plaisir de le sucer.
Le plaisir commençait à monter en elle, avec ces deux mecs qui s'occupaient bien d'elle. Plus la langue de Remi l'explorait, plus elle jouait avec la queue de son ami. A un moment, Remi cessa ses coups de langue puis dit :
" on va prendre un petit risque là... on verra bien si ca passe ou pas."
Il darda sa langue, prit ses fesses à pleines mains qu'il ouvrit puis plongea sur sa rondelle, pour la lécher avec douceur et avidité.
Jeanne en ferma les yeux et dut se retenir de ne pas mordre le sexe dans sa bouche de plaisir. Elle ne sut rien répondre d'autre que cela
" Tout ce que vous voules les mecs, tant que vous me baisez bien."

Les choses montèrent d'un cran. Remi lui doigta rapidement le cul. David se mit à jouer avec ses seins. Puis, peu après, elle se mit a genoux et leur dit simplement :
" allez les mecs, venez vous faire sucer vos bonnes queues"
Ils se présentèrent tous les deux devant sa bouche.
Elle les dévisagea puis les prix tous les deux par une main et s'occupa d'eux avec ardeur. Cela lui faisait presque tourner la tête d'avoir deux glands pour elle, de sucer deux verges dures qui allaient la prendre en sandwich. Ils se glissèrent entre ses seins, ils se penchèrent pour la doigter, la doigter dans ses deux orifices. Plus elle était excitée, plus elle avait envie de parler. Elle savait très bien que ses mots à elle excitaient ces deux hommes. Alors elle se lacha :
" ca vous plait de baiser la voisine hein ?

- et comment ! une belle nana aussi bandante !
- et de savoir qu'on va la prendre en double...

- et qui vous dit que j'ai envie d'un sandwich messieurs ? leur demanda-t-elle en arrêtant de les sucer.

- mon petit doigt, dit David en lui collant ce doigt dans le cul."

Cette réponse si inattendue et si drôle acheva de faire perdre sa tête. Son désir était dans des sommets
" Bon alors, mes trous vous attendent messieurs.
 Ah la sa..."
Remi retint difficilement la fin du mot puis il s'excusa.
" Il vous plait ce mot hein les gars ?"
Ils ne purent que confirmer.
Elle se leva, se mit en levrette sur le canapé et leur dit
" alors venez la baiser votre salope"
Remi vint la prendre pendant que David se fit sucer. Puis ils changèrent, tous les deux lui doigtant la rondelle. Elle sortit de sous le canapé un gel lubrifiant et ils lui préparèent le ptit trou. Rapidement, ils la prirent par là. Un orgasme fulgurant la parcourue dès les premiers va et vient dans son cul.
" Ah les mecs, c'est boooooooooooon !!!!!!!!!!"
Ils la laissèrent souffler un peu puis repartirent en double. Jeanne était toujours aussi excitée. Elle avait deux queues bien dures entre les jambes, elle se faisait prendre en sandwich et le plaisir montait, montait.
" Votre voisine aime la queue alors vous génez pas ! vous le reverras pas après."
Elle avait envie de les exciter. Elle continua
" Chacun son tour entre mes fesses. A ton tour de m'enculer David."
Puis après une bonne double, ils changèrent de position.
Remi vint se mettre le dos au sol et Jeanne s'empala le petit trou dessus. Elle glissa lentement mais bien à fond sur sa queue. Elle était complètement déchainée.
" Viens par la que je te suces pendant que ton pote me prend le cul."
David ne put se retenir longtemps. Il inonda les seins de Jeanne qui frissonna en sentant la semence chaude couler sur sa poitrine. Il jouit abondamment. Elle le remercia puis le reprit en bouche, avant de tourner son regard vers Remi, allongé au sol
" Tape mec ! Tape mon petit cul. "
Il s'exécuta et lui mit de grands coups de boutoirs. Elle eut un nouvel orgasme peu de temps après. Remi était proche de l'explosion. Il se redressa et se mit devant Jeanne, à genoux.
A son tour, il inonda ses seins.
Puis ils restèrent tous les trois les uns contre les autres, assis, à ne rien faire, juste à savourer le calme après un intense moment sexuel.
vous avez aimé ?
faites le moi savoir alors !

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Donc Jeanne a invité son voisin et un ami à lui à manger chez lui. Elle va être toute entière l'entrée, le plat de résistance et le dessert.  Pour cela, elle doit se doucher et se changer. Elle ne vas pas les recevoir ainsi vétue et suante. Elle passe autant de temps devant sa garde robe que devant son tiroir de lingerie. Que mettre pour les chauffer ? Voilà la question qu'elle se pose. Pour ce faire, elle décide une jupe près du corps rose, un debardeur blanc et des dessous bleu foncé, pour qu'ils se devient par transparence. Elle se regarde dans la glace, tourne sur elle-même... A n'en pas douter, ils auront de me sauter, pense-t-elle en se contemplant.

Peu après, ils sonnent. Elle leur ouvre et les invite à passer dans le salon. Elle passe devant eux pour les guider et... oh malheur, son torchon lui glisse des mains. Elle doit de nouveau se baisser sous leurs regards... oh mince alors... cette fois-ci, ils peuvent voir son string en lycra. Elle les entend glousser.

Elle pourrait leur sauter dessu tellement elle a envie de sexe mais elle préfère jouer avec eux. Elle leur fait prendre place sur le canapé avant de s'asseoir en face d'eux. Evidemment, elle laisse entrevoir, lors de ses mouvements, le bleu de son string. Et, ce faisant, elle les dévisage comme si de rien n'était. En rapportant les plats à la cuisine, elle prend le temps de les écouter parler tous les deux. Ils hallucine sur cette nana trop bonne qui leur montre presque son string, qui fait semblant de pas voir que les deux mecs ne font qu'une chose, c'est mater sa culotte. Mmmmm... se dit-elle en prenant la salade, ils sont à point. Elle pose le saladier puis dégraffe le bouton du haut de son debardeur, pour laisser apparaitre son soutien gorge.

Dans le salon, les mecs sont silencieux à son retour.
"voila le dessert, dit-elle en posant la salade sur la table.
- ce n'est pas un dessert, Jeanne, c'est la salade.
- y'a bien un dessert dans la pièce mais ce n'est pas dans le saladier, répond du tac au tac son ami."
Là, Jeanne se contente de rigoler et de leur sourire, restant un peu hésitante.
" Tu as raison. Moi, je vois deux belles pommes
- Moi aussi, mais pas les mêmes.
- Ah vous voyez des fruits ici, dit-elle d'une voix blanche, presque tendue par l'excitation qui s'empare d'elle.
- Oh oui Jeanne, nous les voyons bien. tu veux qu'on te les montre ?
- Pourquoi pas, oui... je ne dis pas non."
Et là, les deux mecs posent chacun une main sur les pommes qu'ils avaient dans leur champ de vue. le voisin - David - sur ses seins et l'ami - Remi - sur ses fesses. Là, Jeanne ferme les yeux et savoure la vague de plaisir qui la parcourt.



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donc ce sera une histoire de la belel et coquine Jeanne.
Il y a peu, elle a découvert les joies de la sodomie. Elle ne souhaite évidemment pas s'arrêter en si bon chemin. Il lui reste pas mal de chose à découvrir. Et si on suit sa progression en matière de sexe, l'étape suivant est la double pénétration. Voilà l'idée qui l'habite en ce moment. Et la réalisation de ce fantasme s'est présenté à elle un dimanche matin; complètement par hasard.

Plantons le décor : dimanche matin, beau temps, dans l'immeuble de Jeanne. Elle revient de son jogging dominical, c'est à dire qu'elle porte un petit short bien moulant et un debardeur sportif qui comprime mal sa généreuse poitrine. Dans le hall de l'immeuble, un de ses voisins qui déménage, avec un ami à lui. Elle ne lui a pour ainsi dire jamais parlé mais là, en lui voyant en plein effort, avec son bel ami, une idée germe dans sa tête.
En la voyant arriver de son jogging, en sueur et avec le mouvement de ses seins sur les marches menant à la porte d'entrée, ils se précipitent pour lui ouvrir. Elle sent sur son corps leur regard qui la deshabille. Elle leur fait un grand sourire.
" Bonjour voisin, on déménage ?"
Sur ce, s'engage une discussion où Jeanne ne se prive pas pour leur envoyer des regards incendiaires. la conclusion de leur courte discussion fut la suivante : elle les invita à manger chez elle, autant pour faire un peu connaissance avant qu'il parte ( il n'est jamais trop tard pour se connaitre... ) que parce qu'ils n'ont plus rien à manger .
Voilà donc Jeanne ravi de son dimanche midi. Elle les quitte en s'avancant vers l'ascenseur. Elle sait qu'ils mattent son cul et qu'ils vont en parler quand elle aura fermer la porte. ALors elle décide de les allumer un peu plus. Sous pretexte de desserrer ses lacets, elel se baisse devant l'ascenseur et leur laisse bien le temps de lui reluquer les fesses. Elle sait qu'ils doivent voir l'élastique de sa petite culotte et cela commence lentement à l'exciter.
Quand la porte de l'ascenseur se ferme, elle entende ce simple commentaire dans la bouche de l'ami de son voisin :
"putain, elle est bonne ta voisine mec"
Et non seulement elle est bonne, se dit-elle intérieurement, mais en plus, elle a le feu au cul.
A suivre donc, très rapidement
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Bien le bonjour, chers et chères lectrices...

et bien voilà, une fois de plus, je vous demande votre avis sur la prochaine nouvelle. Que voulez vous lire ? Quelle héroïne souhaitez vous découvrir de nouveau à l'action dans mon prochain récit ?

J'ai bien compris qu'il ne faut pas espérer trop de réponse mais de temps en temps, pourquoi ne pas tenter... donc voilà trois choix devant vous :

- un récit de Séverine, qui se ferait soumettre d'une façon bien particulière par Stéphane

- une aventure de Jeanne, qui découvrirait les joies des jeux avec deux hommes

- la suite de mon aventure avec Dalida

it's your choice... la femme ayant reçue le plus grand nombre de voix sera l'héroïne du prochain récit !

 

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Donc Jeanne a le feu au cul. Elle s'est amusée ave cune bougie et maintenant, elle veut le remplacer par un sexe d'homme, raide et dur. Le lendemain de son retour de vacances, au boulot, elle cherche comment satisfaire son désir de sodomie. Elle pourrait s'inscrire sur un site de rencontre et se taper un mec rapidement, elle pourrait sauter sur un mec dans la rue, elle pourrait céder aux avances d'un de ses collègues de bureau. Mille et une façon de se mettreun mec dans son lit ce soir. Mais elle ne choisit aucune de celle-ci. L'idée définitive de sa soirée lui vient aux toilettes, alors qu'elle se regarde dans la glace, en se souriant. La dernière fois qu'elle s'est sourit de cette façon devant un mirori, c'était avant de se glisser une bougie entre les fesses. Avant de sortir des toilettes, elle pose un doigt sur ses lèvres, y dépose un baiser et va le poser sur le reflet de ses lèvres.
" Soyons folle, ma chérie, on ne vit qu'une fois. "
Ala pause midi, elle recherche dans son répértoire le numéro d'un certain Thierry, qu'elle a un peu fréquenté sans jamais sortir avec lui mais dont elle sait les qualités de bon coup. Deux de ses amies qui ont baisé avec lui lui ont  vanté les mérites de son coup de rein. Elle l'appelle. Après les politesses d'usage, elle en vient aux faits.
" dis-moi, Thierry, tu fais quoi ce soir ?
- Je vois ma copine, pourquoi ?
- Ah, tu as une copine, je ne savais pas, dit-elle, en forcant sa déception.
- C'est tout récent, depuis un mois. tu avais quelque chose à me proposer ?
- Oui, enfin, je voulais t'inviter à manger chez moi.
- Ah oui ? fit-il, soudainement interéssé.
- Oui mais bon, si tu es en couple, je ne vais pas te déranger plus...
- On avait prévu d'aller au cinéma donc, dans le pire des cas, je peux décaler.
- Vraiment ? Ce serait super gentil de ta part. Et crois-moi, tu ne le regretteras pas..."
En raccrochant, elle était déja excitée. L'après midi passa torp lentement à son goût. En rentrant chez elle, elle ne prit pas la peine de préparer un repas. Elle avait envie de baiser, et rien d'autre. Elle enfila une tenue provocante. Un pantalon taille basse et un débardeur blanc avec des dessous noirs. Il ne fallait pas être un fin observateur pour deviner la couleur de ses sous-vetements. C'est la première fois de sa vie qu'elle agissait de la sorte : inviter un mec chez elle pour une seule et unique chose : du sexe.
QUand il sonna, elle se précipita pour lui ouvrir. Thierry était l'exemple parfait du beau brun ténébreux.
Leurs regards, quand ils se croisèrent, étaient sur la même longueur d'onde. Puis ses yeux descendirent le long de son corps. Il émit un léger sifflement d'admiration. Elle lui sourit et fit un tour sur elle-même. AUtant pour lui montrer ses fesses que la dentelle de son string qui dépassait légèrement.
" Tu aimes ? demanda-t-elle innoccement.
- Euh... comment dire ? Oui, Jeanne, j'aime beaucoup.Si je ne me trompe pas, ton string est un scandale non ?
- Oui, exactement. L'étiquette dépasse ?
- C'est cela.
- Tu peux me la remettre en place, je n'aime pas quand ce dépasse, ca fait négligé.
- Avec plaisir."
Puis il s'exécuta. Il glissa deux doigts derrière le string, les fit glisser le long de sa peau puis rentra l'étiquette.
" Ca commence très fort... Quelque chose me dit que j'ai bien fait de décommander ma copine."
Elle se retourna.
" OUi, Thierry, tu as bien fait..."
Elle eut un instant d'hésitation puis décida de se jeter définitivement à l'eau. ELle n'avait aucune envie de minauder. Elle était là pour une chose bien précise.
" EN fait, tu as beaucoup de chance. Ce soir, j'ai envie de gouter à un nouveau plaisir et je sais pas Farida et Sophie que tu es doué en la matière. J'ai envie de me faire sodomiser. J'ai envie que tu m'encules, si tu préfères.
- Je préfères, oui."
Elle eut un sourire de satisfaction.
" ALors, passons au salon, je te prie.
- Ce cul, Jeanne... il est superbe ! dit-il alors qu'elle passait devant. Et dire que je vais m'amuser avec. C'est mieux que le ciné.
-Je connais ta copine, dit-elle en retirant son debardeur alors que Thierry s'asseoit sur le canapé.
- Non, tu ne la connais pas mais là, je te cacherais pas que je n'ai pas envie de parler d'elle. Tes seins ont l'air aussi beaux que ton cul, Jeanne.
- Merci."
Puis elle se mit a genoux et defit son pantalon. A peine eut-elle soulever le boxer qu'une belle queue bien raide apparut.
" Mmmm... elle est belle, dit-elle en commençant a titiller le gland de sa langue. Elle me plaiut déja.
- Oh merde Jeanne, qu'est ce que tu m'excites. Je crois que je vais pas tenir très longtemps dans un premier temps.
- Pas grave. On a toute la soirée."
Puis elle se mit franchement à le sucer. Elle avala sa queue et fit des merveilles avec.
" Je ne te connaissais pas ainsi, Jeanne, arriva-t-il à dire, entre deux soupirs.
- J'ai beaucoup changé, en effet, lui répondit-elle en le regardant dans les yeux. J'ai envie de m'amuser un peu."
Puis elle défit son soutit et se mit à caresser la queue bien dure avec ses tétons. PEndant ce temps là, Thierry, qui s'était rapproché d'elle, défit son pantalon, le fit glisser et commençà à la doigter, à caresser ses fesses.
" Mais quel cul tu as! s'exclama-t-il, excité comme rarement. Tu es vraiment bandante, Jeanne.
- Et ce cul, il est pour toi ce soir.
- Crois moi, je ne vais pas me géner."
Puis, sans prévenir, il lui doigta le cul. Une vague de plaisir la parcourue. Elle s'arréta de le lécher et le regarda de nouveau, sans rien dire. Juste en lui souriant. IL retourna dans son petit trou. Plus il la doigtait, plus elle était excitée. A un moment, n'en pouvant plus, elle sortit de sous un coussin du canapé du gel lubrifiant et lui tendit.
" Prends moi par derrière, Thierry. J'en meure d'envie."
Sans un mot, il se leva du capané et vint s'agenouiller derrière elle. Elle posa ses épaules sur le canapé et attendit. La suite vint vite. Il déposa une noisette de gel sur son anus, la dooigta encore et lui demanda s'il elle était prête. ELle hocha la tête pour lui dire que oui.
Puis il posa son gland sur son petit trou et poussa doucement. Jeanne s'ouvrir aussi facilement que pour la bougie. ELle se mordit les lèvres, plus de plaisir que de douleur au début puis, rapidement, seulement de plaisir.
" Et voila Jeanne, te voila sodomisée.
- Merci, Thierry, c'est très bon, dit-elle en tournant la tête pour le regarder dans les yeux et lui montrer qu'elle en voulait plus. Tu peux aller plus vite, si tu veux."
Elle dit cela pour augmenter l'excitation. Il raffermit la prise de ses mains sur ses hanches et augmenta la cadence entre ses fesses. Il lui baisait le cul à présent. Jeanne se mit à g"émir de plaisir, à réclamer plus. ELle était chaude comme rarement.
Ils changèrent de position : de la levrette à la cuillère, puis de la cuillère au missionnaire, à chaque fois entre les fesses de Jeanne, qui eut un orgasme dévastateur. ILs remirent cela deux fois dans la soirée. En se couchant, Jeanne sentait une douce chaleur rayonner entre ses fesses. Thierry ne l'avait pas ratée. Elle venait de perdre son pucelage anale de la plus belle des façons. Elle s'endormit rassasiée.

 

 

 

 

 

 

 

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Jeanne vient de passer une semaine en famille avec ses oncles, ses tantes, ses grands parents et ses cousins. Bonne ambiance mais pas grand chose à faire. Jeux de cartes, longs repas, balades en forêt, s’occuper du vaste jardin. A la fin, Jeanne trouvait le temps long un peu.

Tous les soirs, seule dans son lit, elle s’était caressée comme rarement. Depuis qu'elle avait décidée de débrider son appétit sexuel, elle n'avait jamais passée plus de cinq jours sans faire l'amour, sans baiser, sans tailler une pipe à un homme ou s'amuser avec une femme, sa patronne en l'occurrence, qu'elle a revue un soir à l'hôtel, pour une nuit très chaude avec cette femme mariée et mère de famille qui se donnait aux femmes sans retenue, totalement. Mme Lambertazzi avait réservé un bel hôtel à Paris pour une réunion au siège de la société, avec sa secrétaire.

Elles y étaient allées en TGV. Pendant les deux heures que durèrent le trajet, Mme Lambertazzi excita Jeanne en exhibant discrètement la blancheur de sa petite culotte, qu'elle alla même enlever aux toilettes, pour finir le trajet en montrant son intimité à son employée. A peine avaient elles franchies la porte de la chambre que Jeanne, chauffée comme rarement, fit tomber sa jupe et rouler son string en disant à sa patronne « Ma chatte a besoin de votre langue, madame. »

Mme Lambertazzi, elle aussi très excitée, s’était mis à genoux incontinent et, les mains sur les fesses de sa jeune et belle employée, écarta celles-ci avant de dire : « Mademoiselle Jeanne, votre minou d'employée attendra un peu, j'ai envie de m'occuper de son voisin. »

Puis, sans vergogne, elle se lança dans un long et expert anulingus, qui arracha en premier lieu un petit cri de surprise puis un long soupir à Jeanne. Toute la nuit fut du même acabit, Jeanne rendant la pareille à sa patronne, avec les doigts comme avec sa langue.

Dans la maison familiale, Jeanne, l'avant dernier soir du séjour, devant sa glace, vêtue de la parure en dentelle qu'elle portait le jour de sa virée parisienne avec sa patronne, se mit à penser au sexe en général. Rapidement, elle prit une chaise qui traînait non loin et, assise devant le miroir, écarta les jambes et glissa une main dans son string, rapidement moite.

Il y aurait eu une queue non loin, elle se serait jetée dessus avec avidité. Jeanne était très excitée. Etant seule, la jeune femme écarta encore plus les jambes et se glissa un doigt puis, rapidement, un second. Ensuite elle roula son string trempé à ses pieds et approcha ses doigts luisants de sa bouche. L'envie de parler s'empara d'elle. Elle fit les questions et les réponses, les remarques et les objections de sa voix murmurante.

« Alors Jeanne, on se doigte devant la glace ?

- Oh oui ma chérie, se répondit-elle. Et on aime cela.

- Regarde comme je mouille. »

En disant cela, elle approcha les deux doigts luisant de sa cyprine devant la glace.

« Oh dis donc, petite coquine, je suis sur que tu as envie de lécher ces deux doigts.

- tu ne te trompes pas. »

Alors Jeanne passa langoureusement sa langue sur ses deux doigts, comme si elle léchait sa patronne ou une queue bien dure. Tout en faisant cela, elle se regardait droit dans les yeux. Elle en voulait plus, encore plus. Du cul, du sexe, du cru mais elle était seule. Jeanne continua donc à se parler.

« Ma pauvre petite fille, tu es seule. Tu ne peux que te doigter et te branler. Alors on va faire ca bien.

- Oh oui, vas y ! Je suis très chaude ce soir alors profitons en. »

En disant cela, elle sorti ses seins de son soutien gorge et commença à jouer avec. A se pincer les pointes, à les lécher. Elle ne cessait de sourire, de se sourire. Elle se doigtait et se caressait les tétons avec ses doigts luisants.

« Tu m'excite ma chérie, poursuivit-elle. Tu es bandante, tu excites les mecs et tu fais mouiller ta patronne.

- Tu sais comment on appelle ca, en langage de mec ?

- Oh oui, je sais très bien mais dis le moi...

- Une salope, Jeanne, une petite chienne. Tu fais ta salope ce soir devant cette glace.

- Dis le encore, s'il te plait ma chérie.

- Tu es une belle salope, Jeanne. Tu m'excites. Regarde comme je mouille. Mon string est trempé. »

Là, elle ramassa son string et l'exhiba devant la glace. Il était à tordre. Et Jeanne, plus excitée que jamais, se redressa après avoir dégraffé son soutien gorge. Elle tourna le dos à la glace pour mater ses fesses, qu'elle caressa longuement.

« Beau petit cul Jeanne n'est ce pas ?

- Oui ma chérie, on a envie de jouer avec...

- Vraiment ? se dit-elle en écartant ses deux jolies fesses, pour exhiber devant la glace son petit trou, son oeillet froncé que seuls la langue et un doigt de sa patronne avaient jamais exploré.

- Oh mais je t'en prie. »

Et là, fermant les yeux d'aise, Jeanne se glissa un doigt dans le cul. Elle y prit un plaisir fou.

" Mais dis donc, qu'est ce que tu fais, se dit-elle ensuite

- Je me doigte la cul, ma chérie, et j'aime ca. Je me doigte le cul comme une bonne petite salope. »

Elle y retourna, encore un peu plus excitée. Rapidement, le va et vient de son doigt ne lui suffit plus. Elle regarda autour d'elle et se souvint qu'il y avait des bougies dans la commode à côté de son lit. Elle s'empara de l’une d’elles ainsi que  d’un préservatif qu'elle avait dans son sac. Elle n'aurait jamais cru qu'elle s'en servirait ainsi. Elle recouvrit la bougie du fin film plastique et, devant la glace, se mit à la lécher. Elle aurait tant aimé une queue bien dure...

Après avoir joué de sa langue sur le candélabre lubrifié, elle se tourna de nouveau, son cul face à la glace puis elle posa délicatement la bougie sur son petit trou.

« Et bien voila, tu as une bougie dans le cul, se dit-elle en enfonçant lentement, doucement, la tige de cire entre ses fesses. »

Jeanne s'était bien doigté et le cierge glissa de lui même en elle. Elle s'attendait à une légère douleur, à sentir son petit trou résister à l'introduction de la bougie mais il n'en fut rien. La bougie, en quelques secondes, se retrouva dans son cul. Elle écarta les fesses pour admirer le cierge au deux tiers enfoui en elle, dans son petit trou et se mit à sourire de plaisir.

« C'est bon de se sodomiser devant la glace ? Vivement que ce soit une vraie queue à la place. »

Peu après, Jeanne gagna son lit où elle se mit a jouer avec la bougie entre les fesses. Le va et vient anal de la bougie eut vite raison d'elle. Elle eut un orgasme fulgurant, qu'elle contint à grande peine en mordant son oreiller. Le lendemain, elle pensa toute la journée à son expérience nocturne, qu'elle réitéra sans vergogne le soir même, mais avec une bougie un peu plus longue et un peu plus épaisse. 
Durant le trajet retour, elle n'eut qu'une pensée : le prochain mec que je me fais, il me prend le cul. Cette idée suffit à tremepr sa lingerie en moins de cinquante kilomètres

 

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Donc Séverine est en jupette volante et soutif de lolita, avec Stéphane et un ami à lui. Elle est a genoux sur le lit et attend. Il y a deux hommes pour elle. Elle s'en serait offusquée il y a quelques semaines mains maintenant, à l'idée d'être jetée en pature à deux hommes, elle ferme les yeux d'aise et s'abandonne. Une rupture radicale a eu lieu dans sa sexualité. Elle recherche tout ce qui la faisait fuir avant, tout ce qu'elle condamnait auparavant. Elle était bonne épouse fidèle... elle ne veut plus qu'être une soumise obeissante et docile.
Ce qu'a très bien compris Stéphane. C'est pour cela qu'il a invité un ami à lui. Pour jouer avec sévérine. Ce qu'ils vont faire sans se géner.
" Regarde moi cette chienne, dit Stéphane à son ami. Elle frétille du cul. Elle en veux, crois moi. Hein que tu en veux, Séverine ?
- Oui, monsieur, j'en veux.
- Et pourquoi en veux-tu ?
- Je ne sais pas monsieur.
- tu en veux car tu es une salope
- oui monsieur, je suis votre salope."
Elle n'a pas fini sa phrase que deux paire de main s'empare d'elle. Elle en a un soupir. Ils soulèvent sa jupe, pressent ses fesse, les écartes, la doigte... Ils concentrent leurs efforts sur son entre jambe, sur ses deux trous. Elle a des doigts experts en elle. Ils la plottent, la caressent rugueusement. Elle est leur, ils jouent avec son entrejambe. A un moment, elle se retrouve avec deux doigts dans chaque trou. Elle est si bien doigtée qu'elle sent un orgasme monter. Les hommes le comprenant, ils sortent d'un coup tous les doigts, pour les présenter à sa bouche. Elle se jette dessus. Snas distinction d'origine... tous les doigts qui ont fouillé son intimité, elle les léches, goulument, avidemment. Elle aime son goût, elle aime tout ce qu'ils lui font.
Son orgasme arrive finalement quand ils s'empare chacun d'un de ses seins pour le malmener. Et là, ils n'y vont pas de main morte. Ils tirent ses pointes, ils giflent ses seins, ils les malaxent, les malmènent.  Séverine sent revenir son orgasme. Elle se met à vibrer. Une puissante lame de fond s'empare d'elle et commence à la submerger. Les deux hommes le comprennent bien et redoublent leurs attentions perverses sur leur soumise à quatre pattes sur le lit.
Stéphane lui relève la tête et lui doigte la bouche avec trois doigts en lui murmurant des mots crus à l'oreille :
" tiens petite salope, laisse moi doigter ta bouche de suceuse."
La bouche pleine, Séverine ne peut pas répondre mais ses yeux remercient son maître. Puis, d'un geste encore plus cru, l'autr homme crache sur son cul et commence à la doigter par derrière, par le petit  trou; Un doigt expert, qui s'introduit loin en elle et achève de la faire jouir.
Séverine mort les doigts dans sa bouche tant le plaisir est grand. Elle est leur petite chienne. Elle est docile et obéissante. Elle aime cela. Et elle pousse un cri.
" Regarde moi cette petite chienne. On la doigte, on lui parle crument et elle aime cela ! "
Cet orgasme de Séverine fut le premier de la soirée. Deux suivront, à mesure que les gestes des deux hommes sur son corps se durciront. Elle aura le droit à une fessée donné à la cravache, elle sera attachée au pied du lit et longuement baisée, elle sera forcée par la bouche pour, enfin recevoir deux longues éjaculations sur le visage.
Stéphane et son ami, après lui avoir repeint le visage, la laisseront seule dans la chambre.
En partant, Stéphane glisse à l'oreille de Séverine les quelques mots suivants :
" à la prochaine séance, c'est ton anus qui va prendre cher."
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Donc Séverine en était à se contempler dans le miroir, vétue comme Stéphane le lui a demandé. Une jupette volante sans rien dessous et un soutien gorge lolita très pigeonnant. Elle mouille déjà abondamment. et la séance approche.

En effet, peu après, son téléphone vibre. Elle reçoit un sms de Stéphane. il est bref et clair : sort dans le couloir et attend moi. Un mélange de peur et d'excitation la saisit. C'est le seconde fois qu'il lui demande de s'exhiber et c'est la seconde fois qu'elle va le faire.

ELle prend sa respiration à plein poumon et sort dans cette tenue. Elle ne sait ce qui l'attend et c'est justement là que réside l'excitation. Que va-t-il se passer ? Secrètement, elle aimerait se faire mater, qu'un homme reluque ses fesses, fasse un remarque crue ou exprime l'excitation qu'il ressent à voir une femem ainsi vétue. Elle veut être bonne, elle veut éveiller des désirs crus et sexuelles. QUe les choses soient dites une bonne fois pour toute : elle a envie d'être chienne, d'être une chienne.

Donc elle fait un pas dans le couloir. La voila en tenue très légère dans un couloir avec au moins vingt chambres. Et il est un peu plus de 20h, une heure où les gens vont et viennent dans les couloirs. Séverine s'attendait à voir Stéphane dans le couloir mais il n'y a personne. Le couloir est vide. La lumière est éteinte même. Elle reste debout, sans savoir que faire.

Quand une porte fait entendre le grincement de ses gonds. Séverine est tétanisée, de peur autant que d'une certaine forme d'excitation. Un homme apparait lentement, comme s'il prenait son temps pour le moindre geste. D'abord sa main sur la porte, puis son avant bras et enfin son épaule. Il tourne le dos à Séverine dans son geste pour ouvrir et franchir définitivement la porte.

C'est là que le téléphone de Séverine se met à vibrer. Un texto. Elle rentre précipitamment, contente de le recevoir et de mettre ainsi un terme à cette situation. Mais le texto, bien loin de tourner la page, poursuitle jeu. Il est ainsi formulé : Va demander du feu à l'homme dans le couloir.

Séverine est comme frappée par la foudre. Un éclair la paralyse mais un éclair qui lui donne une sorte de cours jus de plaisir, bien au fond d'elle même. Mécaniquement, elle réajuste son petit soutien gorge et, en poussant un profond soupir, elle se dirige vers la porte. L'homme est au milieu du couloir. Elle le hèle mais pas assez fort.

"Monsieur ! Tente-t-elle enfin, de vive voix. "

L'homme se retourne. La lumière est éteinte, ce qui fait qu'il ne la distingue qu'à moitié.

"Auriez vous du feu, s'il vous plait ? "

L'homme s'approche et, contre toute attente, dit :

"est-ce une tenue pour demander du feu madame dans un hôtel respectable ? On voit vos seins et je suis sur qu'on verrait votre petite culotte si vous en portiez une sous cette jupe.

- Je... excusez moi monsieur mais je sortais juste pour demander du feu.

- Vous voulez du feu madame ? demande l'homme, aprement, sans trop de politesse.

- Oui, monsieur, répondit-elle, un peu intimidé par le ton de l'homme, au demeurant dséduisant et sur de lui.

- Alors montre moi tes seins, petite salope."

Séverine n'a pas le temps de réagir. La porte grince derrière elle. Une voix se fait entendre, nue voix qu'elle reconnait entre mille. Celle de Stéphane.

" C'est vrai ca, Séverine, monter tes seins à ton ami."

C'est là, donc, que commence la séance à l'hôtel de Séverine...

à suivre

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Bien le bonjour à vous tous... voici donc la suite des aventures de Séverine la soumise.

 

Donc Séverine, tout en menant comme d'habitude sa vie de femme heureuse et épanouie, est en attente de sa prochaine séance. Elle a pris goût très vite pour ses rendez-vous avec Stéphane. Il la débauche, il la soumet, il la baise, il joue avec elle et elle adore cela. Donc elle attend avec impatience de revoir Stéphane. De se confier à ses mains habiles et de satisfaire ses désirs les plus crus.

Une fois de plus, toute la semaine, il est en déplacement. et même, aussi, pour la semaine prochaine. Donc Séverine va devoir attendre. En plus de faire l'amour à son mari, Elle se masturbe de temps en temps en pensant à ce que lui fait son maître. Donc après dix jours d'absence, elle commence à être en manque. A vouloir se faire soumettre, à désirer des claques sur son cul, à vouloir inondr son string en obeissant à Stéphane.

Il devait savoir cela et en jouer car le onzième jour, Séverine récoit une lettre chez elle, signé de la main même de Stéphane. Cette intrusion de cet homme dans sa vie privée, chez elle, dans sa maison commenca d'abord pour l'énerver. Elle était sa soumise mais il devait respecter sa vie privée.

Puis, à la lecture de la lettre, elle fondit. la lettre était simplement formulée :

" Une chambre a été reservé au nom de monsieur et madame Lambertazzi dans l'hotel *** de la ville de ***. Ue tenue attend madame Lambertazzi. Une fois qu'elle l'aura revétue, la séance commencera pour elle."

Après cette courte lecture, Séverine avait le coeur qui palpitait et elle fondait déja. Le rendez vous était pour dans trois jours. La ville en qusetion se trouvait à 150 km. Elle allait donc devoir mentir à son mari, lui parler d'une réunion importante de travail. Ce qui n'était pas tout à fait un mensonge car elle avait rendez-vous avec un employé du bureau...
Le matin même, elle apelle son mari du bureau en lui expliquant qu'elle a un déplacement professionnelle à efectuer dans deux jours. Qu'elle passera la nuit à l'hotel pour être d'attaque tot le matin.
Une fois cette obstacle levé, Séverine n'a plus qu'à attendre. Deux jours. Elle bosse d'arrache pied le jour et le soir, elle va au cinéma avec son mari. Presque personne dans la salle. Un film un peu chiant que son mari tenait à voir. Elle s'ennuie et alors lui vientune idée. Tailler une pipe a son mari.  Elle commence à le caresser à travers le jean et lui pose un doigt sur la bouche pour taire ses peurs et ses craintes. Et lui dit à l'oreille :
" J'en ai envie mon chéri. "
Puis il se laisse faire. Et elle prend le temps de lui faire une belle pipe, une douce pipe, une langoureuse fellation en silence. Il jouit abondamment dans sa bouche. Elle recrache le tout sur le tais du cinéma. ils s'endorment dans les bras l'un de l'autre.
Le lendemain, elle se prépare. Et elle quitte le boulot le plus vite possible. Elel role aussi à la limite supérieure.
Elle ne pense qu'à Stéphane. Elle ruiselle entre les jambes. Elle retire même sa petite culotte en roulant, en la posant bienen vue sur le siège à côté du sien. Elle a envie d'exciter, elle a envie de se montrer. Elle va se faire soumettre et elle n'attend que cela.
A l'hôtel, on lui indique la chambre 23. C'est un hôtel propre et classe mais sans  grand luxe. Elle frappe à la porte mais rien. Personne ne semble être dans la pièce. Elle ouvre avec la clé. les rideaux sont tirés ; une jupette très courte et un soutien gorge tout simle, en coton, l'attendent sur le lit. Elle se dépeche de se mettre nue, d'enfiler les habits. La jupe est si courte que quand elle se baisse, on voit tout et le soutien gorge est une taille trop petite... il compressent et met en valeur ses seins.
une fois vétue, elle se regarde dans la glace et ne peut s'empécher de se dire :
" je suis habillée comme une petite salope"
ce qui augmente encore d'un cran son excitation
Stéphane ne vas pas tarder

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