Sa supérieure était donc à demi nue pour l'accueillir. Cette situation aurait pu êtr edrôle, voire risible dans d'autres circonstances mais là, Jeanne brulait de désir pour cette femme. Et là voir vétue d'un si joli petit slip, appuyée contr eson bureau ne fit qu'enfler son désir.
Les deux femmes ne se quittaient plus des yeux. Elles ne parlaient pas. Sofia Lambertazzi semblait comme offerte, les deux mains agrippant son bureau et les jambes légèrement écartées. Tout en elle indiquait à Jeanne qu'elle pouvait agir à sa guise, s'approcher, la toucher, faire le premier pas. Ce dont notre jeune, belle et très éxcitée héroïne ne se priva pas. Elle avait envie de faire à cette femme ce que les hommes aimaient faire avec elle.
Elle commença donc par poser ses deux mains sur les deux belles fesses de sa patronne, qui eu remua la tête de plaisir et poussa un petit soupir. Ensuite, après avoir bien pétri ses fesses, Jeanne fit glisser une de ses mains entre ses jambes, là où le lycra de la petite culotte de sa patronne recouvrait son sexe. C'était humide et moite. Jeanne prit un plaisir fou à sentir la mouille de Sofia. Elle promena son doigt le long du slip, elle explora sa patronne. Plus elle la sentait fondre, plus elle même inondait son string. QUand son doigt remonta un peu haut et vint careser le petit trou de Mme Lambertazzi, celle-ci remua la tête de plaisir et ne put retenir un frissonnant " oh oui Jeanne"
Celle-ci eut un soupir d'aise puis s'approcha encore un peu plus d'elle. Ses seins étaient contre son dos. Les fesses de sa patronne étaient collées contre son aine. Le contact était un peu plus intime à chaque seconde.
Mme Lambertazzi dégraffa alors son tailleur, laissant apparaitre deux seins menus mais ferme, derrière un soutien gorge sobre et simple, assorti au slip. Jeanne posa une main sur l'intérieur de sa cuisse gauche et une autre sur son nombril. Elle les fit toutes les deux remonter. Dans le même mouvement, Sofia basculait la tête. Leur cheveux se frolèrent, leur nuque aussi.
L'instant d'après, Jeanne avait une main dans la culotte de sa patronne, une main sur ses seins et leurs bouches se mélaient. Ce fut une vive décharge de plaisir, un orgasme difficilement contenue, une vague foudroyante de plaisir. Jeanne sentait le sexe trempée de sa patronne, son clitoris gonflé de plaisir, ses seins aux pointes durcies, sa bouche aimante.... leur langue se mélaient, leur corps étaient chauds, elles étaient toutesles deux tres excitées.
" C'est ta première fois avec une femme, demande Sofia après un long premier baiser.
Jeanne se contenta d'hocher la tête. Sa supérieure se mit alors à genoux devant son pantalon et le défit lentement. D'abord la ceinture, puis le premier bouton. Quand son string apparut, Mme Lambertazzi déposa un baiser dessus puis, à mesure que la fermeture éclair s'ouvrait, sa bouche descendait.
Jeanne posa ses fesses sur le bureau, se renversa et sa laissa faire. La langue de sa patronne faisait des merveilles. Sans retirer son string, elle joua à travers la fine dentelle de celui-ci avec son clitoris, pour la chauffer encore plus. Sa langue était bien plus adroite que tous les mecs qu'elle avait connus. Sofia, après avoir fait glisser le tout petit slip de son employée, s'insinua en elle, fouilla son sexe, écarta ses lèvres, titilla son clitoris à merveille.
Jeanne acheva de se dévetir pour se caresser les seins en même temps que sa patronne la léchait.
Jeanne se mordait les lèvres de plaisir. Une femme lui broutait le minou. Elle avait embrassé sa patronne. Penser à cela redoublait son plaisir. Et les doigts de Mme Lambertazzi redoublèrent aussi son plaisir. Car elle venait de s'insinuer en elle. Deux doigts dans sa chatte. Jeanne cria de plaisir. Sofia, tout en la doigtant, jouait avec le bout de sa langue sur son clitoris. Elle emmenait avec une précision sidérante son employée vers l'orgasme.
Et cet orgasme, elle lui donna quand, après avoi remplacé ses doigts dans son sexe, elle présenta l'index et le majeur qui en sortait devant la bouche de Jeanne en disant simplement
" goutez à votre plaisir Jeanne."
Elle s'empressa de le faire et, en léchant les doigts de sa patronne, en goutant à sa cyprine, en sentant des doigts en elle, Jeanne se laissa aller à un puissant orgasme. ELle vibra de tout son corps. Un transport de joie la souleva presque. Elle cria presque, elle gémit. Puis elle se reposa, vide et calmée sur son bureau, contentée, heureuse. Sa patronne lui souriait. Elles s'enlacèrent, elles s'embrassèrent et Jeanne repartit très rapidement.
Elle eut trois orgasmes ce matin là. Elle s'appliqua à bien lécher Sofia, elle lui fit tout ce qu'elle lui avait fait. A un moment, en 69 dans le bureau, Elle eut même l'impertinence de doigter le cul de sa patronne, qui apprécia grandement semble-t-il car son orgasme suivit de peu ce doigtage osé...
En ce samedi matin, Jeanne se découvrit un penchant pour les femmes. Elle en était ravie. Elle venait de jouir comme rarement.
Quand elles se rhabillèrent, Mme Lambertazzi saisit le string de Jeanne et, en le froissant dans sa main, le porta à son nez pour savourer l'odeur intime de son employée. Jeanne ne put s'empécher de rire.
" Je peux le garder, demanda-t-elle, un peu confuse de faire une telle demande
- Mais alors, que vais-je mettre moi maintenant, lui repondit Jeanne, amusée
- La mienne, se contenta de dire Sofia."
Puis elle se baissa, ramassa la sienne, et, à genoux devant son employée, enfila elle même son petit slip en lycra le long des jambes de Jeanne. En se relevant, elles échangèrent un long baiser. Elles seraient reparties si le téléphone de Mme Lambertazzi n'avait pas sonné. C'était un coup de fil auquel elle ne pouvait se soustraire. Elles se quittèrent donc ainsi. Le soir même, Jeanne, en repensant à la matinée, n'eut aucun mal à inonder le joli petit slip de sa patronne
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Donc nous avions laissé notre héroïne et sa supérieure dans un salle bondée, lors du pot de départ à la retraite d'un employé de la boite. Jeanne venait de prendre son courage à deux mains en posant l'une d'elles sur la fesse droite de sa patronne. Sa réaction fut immédiate : un frémissement de plaisir, une vibration d'aise le long de son corps mais discrètement, pour que la main au cul que venait de lui coller son employée passe inapercu.

Les deux femms furent excitées en un rien de temps. Malheureusement pour elles, elles n'eurent pas la possibilité de se parler ou de s'approcher le reste de la journée. Il y avait beaucoup de travail avant le week end et ni l'une ni l'autre ne put s'en détourner. Jeanne recu tout de même un mail en fin de journée par voie interne. Il était de sa patronne, évidemment. Mme Lambertazzi lui demandait si elle pouvait, exceptionnellement, revenir samedi matin, demain donc, pour terminer un dossier important. Elle serait là à partir de 9h et elle estimait qu'il faudrait une matinée pour venir à bout du travail.

Of course, Jeanne s'empressa d'accepter. Elle quitta le boulot en allant saluer sa supérieure. Elle était au téléphone mais, sans cesser de parler, se leva et tendit sa main a Jeanne pour la saluer. Elle laissa longuement sa main dans la sienne, la caressant presque. SOn regard lui fit chaud au coeur.

Oui, définitivement, elle avait envie de sa patronne. A peine fut elle rentrée chez elle, qu'elle fila sous la douche pour s'y caresser. Ce fut la première  fois de sa vie qu'elle pensa à une femme en se touchant. Elle eut un orgasme aussi vif que si elle avait pensé à une queue bien dure, a une levrette bien faite, à une ejaculation sur ses seins.

Elle s'endormit tard, déja émoustillée par sa matinée. Elle pensa longuement à sa tenue. COmment s'habiller ? Elle voulait etre bandante ! Il n'y aurait personne au boulot donc elle pouvait se permettre ce qu'elle voulait. Elle sortit donc son string noir le plus minimaliste, le soutien gorge assorti et un de ses vieux jean blanc taille basse un peu trop petit mais tres moulant... ainsi qu'un haut rouge tres serrée, qui mettait en avantr son bonnet c à merveille. Elle se regarda dans la glace... sur elle même, sa tenyue faisait effet... elle allait embrassern, lécher, toucher, caresser une femme, une belle femme, sa patronne...

Elle fit le trajet rapidement. Elle n'avait pas encore ouvert la porte de la boite que déjà, elle mouillait. Sa patronne l'attendait déjà à son bureau, vétue d'un tailleur tres stricte, sans un sourire... Jeanne fut un moment surprise par cet accueil un peu froid. Aurait-elle mal compris sa patronne hier ? Se serait-elle fait un film ? Un bref éclair de peur et presque de honte la traversa jusqu'au moment où sa patronne se leva. Elle ne portait que ses sous vetements en bas. Pas de tailleur, pas de pantalon. Juste un petit slip tres élégant, en lycra sans couture et une paire de bas.

Les choses pouvaient commencer donc...

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Alors voila donc la suite des aventures de aventures de Jeanne.

Nous l'avions laissé sur la table du coin repas-café de sa boite, surprise par sa chef peu de temps après avoir joui avec l'électricien.

En entrant de la pièce, Mme Lambertazzi, belle femme énergique de quarante ans, plutôt élégante, a un léger mouvement de surprise. Puis elle regarde Jeanne. Il n'y a aucune colère ou réprobation dans son regard. Jeanne croit même y surprendre une lueur de plaisir ou de désir. Peut être que sa supérieure a toujours revé de faire comme elle, de se faire prendre au travail, au bureau, dans les locaux de son quotidien de cadre supérieure...
quoi qu'il en soit, avant de refermer la porte, Mme Lambertazzi a la délicatesse de prévenir Jeanne que les restes des employés arrivent sous peu et que si elle veut garder l'anonymat, il ne lui reste que peu de temps...

Les choses en restèrent là pour la journée. Depuis ce jour, un sourire complice apparait discrètement sur le visage de Mme Lambertazzi quand elles se croisent dans les couloirs ou aux pauses cafés. Heureusement, les travaux sont finis et il n'y a plus de risque pour Jeanne de se faire surprendre.

Peu à peu, cépendant, notre belle héroïne se prend à s'interroger sur les regards de sa supérieure. Elle surprend souvent sur elle, sur son corps, sur ses fesses, les yeux de sa patronne. Elle a le même regard que les mecs. Elle la mate, desfois sans pudeur. Une fois même, où Jeanne savait que son string dépassait, elle tourna discrètement la tête pour voir la réaction de Mme Lambertazzi. Comme prise sur le fait, elle détourna rapidement son regard et une pale rougeur envahit ses joues.
AInsi donc, Jeanne avait une supérieure qui semblait aimer les femmes. Lentement, les implications de cette idée firent leur chemin dans son esprit. Uen aventure de plus s'ouvrait à elle... Une aventure avec sa patronne, qui était une belle femme. Grande, brune, élégante, toujours vetue de tailleurs de grande classe et, manifestement, de lingerie des grandes marques vu le sac qu'elle avait ramener une fois au travail pour porter des dossiers.

Donc, un beau matin, Jeanne décida de tenter l'aventure, de se laisser approcher, drauer, séduire par sa patronne. De jouer avec elle. Jeanne ne savait pas exactement où elle avait envie d'aller mais en tout cas, elle voulait aussi explorer ce domaine de la sexualité avec les femmes...

Ne sachant trop comment s'y prendre, elle commenca par allumer sa patronne. Une fois où celle-ci l'appela dans son bureau, Jeanne fit exprès de laisser tomber au sol les dossiers que réclamaient sa supérieure. Elle prit bien soin, en se baissant pour les ramasser, de ne rien cacher de sa petite culotte à sa patronne. Elle en portait une bleu ciel, en dentelle ainsi qu'une paire de bas couleur chair. une fois baissée, elle ramassa les papiers, les laissa tomber par une seconde étourderie, pour bien permettre à sa patronne de se rincer l'oeil. Le silence qui emplit la pièce le temps que dura ce bref moment était éloquent : sa patronne dévora des yeux le moindre bout d'étoffe intime de son employée. En se redressant, Jeanne lui adressa un grand sourire.

Deux jours plus tard, Jeanne décida de franchir un autre pas en direction de sa supérieure. Un pas difficile à franchir mais un pas excitant. A vrai dire, elle ne savait pas exactement comment s'y prendre. Elle voulait établir un contact physique avec sa patronne. Créer un lien des corps. L'idée lui vint un jour à la pause de dix heures, un jour où un collègue de bureau donnait son pot d'adieu. Il y avait toute la boite dans la salle des pauses café. Une bonne ambiance, des rires et tout le monde serré les uns contre les autres.

Jeanne prit son courage à deux mains et chercha du regard sa patronne. Elle était près de la machine à café. Exactement ce qu'elle voulait. En se dirigeant vers la machine, Philippe, le jeun retraité, lui proposa une coupe de crémant. Elle refusa, arguant qu'elle voulait un café avant toute chose. Elle voulait surtout les fesses de sa patronne, qui portait aujourd'hui un pantalon noir tres élégant, près du corps.

Devant la machine, après avoir pris une grande respiration pour se donner du courage, elle posa une main sur la fesse de sa patronne, très discretement en lui murmurant à l'oreille

" pardon Mme, j'ai besoin de glisser une pièce dans la fente. "

La main qu'elle posa sur la croupe de sa patronne l'excita immédiatement. Son string se retrouva en un instant humide. Et sa patronne eut une délicieuse réaction. Elle vibra de tout son corps, une douce et infime vibration, un peu comme une petite pierre jetée dans l'eau qui donne naissance a des ondes qui traversent subtilementy la surface de l'eau. Jeanne, avec sa main, sentit le string de sa patronne, la fermeté de ses fesses. Elle ne put rester autant qu'elle l'aurait voulu mais une chose devint sure après cette main : les deux femmes se désiraient.

Suite et fin de cet épisode dans deux ou trois jours...

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Bon bah personne répond à mes questions... flute alors ! Je pensais qu'il y avait plus de réactivité sur les blogs en général. Pas grave.Voilà la suite...

Une nouvelle histoire de séverine...

 

Un vendredi matin, alors que Stéphane était parti en mission à l'autre bout de la France depuis le début de la semaine, Séverine reçut un colis. N'ayant pas l'habitude d'en recevoir au travail, ce paquet, de la taille d'un petit dictionnaire, suscita en elle des interrogations. Mais il n'y en avait qu'une seule qu'elle avait envie de voir se confirmer : ce colis avait été envoyé par Stéphane. SOus entendu : elle allait se faire soumettre aujourd'hui.
A peine avait-elle ouvert le paquet qu'elle mouillait abondamment. Et son intuition fut confirmé car il contenait un string en vinyl noir et un petit godemiché, ains qu'un petit mot ainsi formulé :
" Viens chez moi à midi. Je veux que tu portes les deux objets que je t'envoie. "
A l'abri dans son bureau, elle sentit une vague de plaisir l'envahir. Il était dix heures : deux heures à attendre. Elle se précipita aux toilettes, enleva son pantalon et sa petite culotte et s'assit pour regarder le gode. Il était noir, dur et lisse, de petite taille. Elle ferma les yeux et le mit dans sa bouche. Elle avait envie de la queue de Stéphane. Elle avait envie de le sucer, elle avait envie d'être sa chienne mais elle devait travailler. Alors, elle glissa sans mal e petit gode en elle tant elle était trempée et enfila pardessus le string en vinyl. Le contact en était bizarre, presque désagreable mais c'était sa tenue de soumise alors elle se rhabilla et regagna son bureau. En marchant, elle se rendit compte que le gode jouait en elle, frottait sa chatte, ses lèvres. Elle ne put réprimer un soupir d'aise, un sourire de plaisir. Sous son bureau, toute la matinée, elle remua les jambes. Son plaisir était visible enter ses jambes, tant elle avait mouiller la toile de son pantalon.

A midi trois, elle était devant l'interphone de Stéphane. Elle sonna. On lui ouvrit sans un mot. La porte de son appartement s'ouvrit de même, sans une parole puis, dans la demi obscurité de l'entrée, une voix s'adressa à elle. Stéphane.
" Deshabille toi, garde juste le string et va t'agenouiller sur le tapis au milieu de mon salon.
- Oui, monsieur, répondit-elle docilement.
- Non séverine, oui maitre, tu dois dire.
- oui maitre, dit-elle presque dans un murmure.
- Je n'ai pas entendu.
- Oui maître, fit-elle, un ton au dessus.
- très bien. Obéis maintenant."
Elle s'exécuta et degraffa son chemisier, son soutien gorge et fit tomber son pantalon. Presque nue, elle prit sa place. Une étape venait d'être franchie avec ce nouveau mot. Maître. Il était son maître et elle l'avait appelé comme cela. Elle se confiait entre ses mains. Il donnait les ordres mais Séverine avait ses désirs, ses envies. Elle voulait qu'il soit vicieux et dominateur. Il le fut.
QUand elle fut  genoux, Stéphane fit son apparition dans son dos. Elle sentit sa présence. Il s'approcha d'elle et renversa sa tête en s'emparant doucement mais fermement de ses cheveux
" J'ai changé mes plans. Nous allons jouer avec toi ce midi. Ma petite chienne va commencer par enlever ce qu'elle a entre les jambes et le lécher.
Le gode était luisant de mouiller et moite. Il avait le gout de son minou. Elle le lécha lentement, du bout de la langue, avec application
" comme la bonne petite chienne que je suis, se dit-elle."
" Remet-le maintenant. "
Quand elle eut replacer l'objet, Stéphane disparut et revint avec une corde. Il lui attacha les mains dans le dos.
" Ferme les yeux et suce moi."
Il se débraguetta et exhiba son membre presque raide. Elle ouvrit la bouche et sentit  le sexe glisser entre ses lèvres. Elle s'activa goulument, sans les mains, les yeux fermés, avec ardeur. Elle le fit durcir  joua avec son gland, le savoura. Elle aimait cette queue, la queue de son maître.
" Parle moi, lui intima-t-il, soudainement.
- Que voulez-vous entendre, Maître ?
- Ce qui passe par la tête de ma soumise alors qu'elle est à genoux, en train de me sucer.
- Très bien maître. Votre petite chienne est contente de sucer son maitre. Elle aime sa queue et vous faire durcir sans les mains est un plaisir.
- Encore.
- C'est la première fois que l'on m'attache et j'éspère que ce n'est pas la dernière
- Encore
- j'aime la soumission, j'aime ce que vous me faites faire. Vous pouvez abuser de moi maître.
- Sois plus crue.
- je suis une bonne salope qui pompe la bite de son maitre. Ce ma fait mouiller la chatte et j'en veux plus.
- Tres bien. Maintenant, ouvre la bouche et attend. Je vais me finir à la main et te remplir la bouche.
- Oui maître.
Parler avait fait monter la pression d'un cran. Dire à voix haute qu'elle était une salope avait produit sur elle un effet remarquable. Elle aurait pu exprimer ses désirs, elle aurait dit à Stéphane : baise moi bien à fond.
Mais elle n'en avait pas le droit et Stéphane se caressait. La bouche ouverte, elle attendit. La respiration de Stéphane accélerait. Il gardait le silence mais on entendait son orgasme arriver.
En jouissant, il gratifia Séverine d'un " prends ca, salope" noyé dans un rale de plaisir. Séverine eut la bouche pleine en quelques secondes. Il déchargeait beaucoup de foutre dans sa bouche. Elle la sentit se remplir et faillit tout régurgiter mais se forca à tenir. Elle avait envie d'être une bonne soumise. Quand Stéphane eut secoué la dernière goutte dans sa bouche, il lui ordonna de tout recracher sur ses seins et d'étalerle foutre. Elle le fit, elle étala le sperme chaud sur ses pointes, sur ses seins, avec ses mains déliées, du bout des doigts qu'elle lécha même. Elle se passait une pommade qui l'excitait.
Elle espérait en tout cas que ce n'était pas fini pour ce midi. Elle voulait jouir, elle en voulait plus. elle en eut plus.
Stéphane s'éclipsa et revint avec un gode bien plus gros que le premier. Il lui ordonna de se mettre a quatre pattes et la goda jusqu'à la faire vibrer d'un puissant orgasme. Peu après, elle dut retourner au travail, déjà en attente de la prochaine séance.


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Bonjour à vous tous, lecteurs et lectrices de mes récits érotiques...
Un petit sondage pour commencer :
Trouvez-vous que mes récits avec  Séverine sont trop crus ou trop pornographiques ? En voulez vous encore plus  ? Voulez-vous que cette petite ******* se fasse soumettre encore plus crument ?
Et une petite question pour terminer :
Quel est le récit que vous souhaitez voir après ce post : Jeanne ou Séverine ?

Et cette fois-ci, je vous préviens, je ne poursuivrais mon oeuvre que si j'ai trois réponses en commentaires... na ! 

sur ce, bonne soirée et  à plus tout le monde, pour des aventures encore plus érotiques et encore plus excitantes... si vous me répondez !
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Alors alors, avant de retrouver Jeanne avec sa supérieure ou Séverine et l'étape suivante de son initiation, laissez-moi vous entretenir de Charlotte et Jean.

Cette jeun femme est toujours aussi joueuse. Elle aime secrètement Jean mais, avant de se mettre avec lui, avant de former un couple, avant de faire l'amour, elle veut faire monter la pression. Elle veut faire monter la cocotte minute pour que l'explosion d'amour et d'intensité soit maximale, paroxystique.

Et ce week-end, s'est présenté à elle un moyen de monter d'un cran l'intensité érotique. Charlotte est en famille chez une tante pour quelques jours. Rien à faire d'autre que discuter, jouer, papoter, regarder des photos - elle ne les a pas vu depuis deux ans - et évoquer les autres membres de la famille. Pour dire les choses simplement, elle s'ennuie. Jusqu'au moment où elle a une idée qui lui fait arborer un large sourire. En effet, dans le bureau de sa tante, il y a un ordinateur et une webcam de qualité.

Immédiatement, elle pense à Jean et à l'emploi coquin qu'elle pourra faire de la webcam. Elle prend son téléphone et lui envoie un texto ainsi formulé :

"as tu msn ? si oui, voici mon adresse : charlotte-abcd... " Je suis connectée et jai une webcam. "

Peu après, sur son ordi, elle recoit le demande d'acceptation de l'adresse du msn de Jean.  Ils se mettent immédiatement à chatter de tout et de rien, sans mettre la cam en marche... les exams, les vacances qui approchent... puis à un moment, Jean demande :

" bon alors, charlotte, quelle est la couleur de ta petite culotte ce soir ?

- rose clair, lui répond-elle.

- je ne te crois pas, repond-il, en ajoutant un smiley au regard coquin."

Devant son écran, CHarlotte rit de bon coeur. L'excitation commence à faire son effet.

" ALors clique sur la cam, dit-elle."

Ce qu'il fait sans attendre.

Dès que l'image apparait, il voit Charlotte debout, en jean et debardeur très pres du corps. Sans rien ajouter de plus, elle s'approche un peu de la cam et degraffe les deux premiers boutons de son jean. Apparait alors le rose clair de la dentelle de son string.

" pas mal, dit Jean. C'est effectivement rose clair. Le soutien gorge est-il assorti ?

- Monsieur est coquin

- Monsieur en profite, répond-il. Il fait un cam avec une jolie demoiselle qui a envie 'exhiber sa lingerie alors voilà..."

Sans répondre, elle soulève son debardeur pour lui montrer que le haut et le bas sont en effet assorti.

" bel ensemble, dit Jean. Il fait comment le string entre tes fesses, si je peux me permettre .?

De nouveau, charlotte fait un grand sourire à la cam. Jean a exactement la même façon de jouer qu'elle.

" Monsieur veut voir mon postérieur, répond-elle. Il n'a qu'à le demander.

Puis elle se tourne et descend son pantalon juste au niveau de ses cuisses et se cambre pour mettre en valeur ses deux belles fesses entre lesquelles disparait une fine lanière de dentelle.

" Quel cul mademoiselle ! Je bande.

- Alors attendez la suite, répond-elle.

Puis elle tombe son pantalon et se met une douce et petite claque sur la fesse droite

- bien ferme en plus et avec la peau douce, ajoute-t-elle en faisant un clin d'oeil à la caméra.

- on en mangerait, envoie-t-il.

puis il ajoute :

je ne peux plus tape que d'une main alors excuse moi la lenteur."

Charlotte en est flattée et un peu plus excitée

Elle se retourne, s'asseoit et ouvre les jambes puis approche la caméra de son string avant de taper :

" regarde Jean, mon string est un peu plus foncé là ou je mouille. C'est la cyprine. Tu m'excites

- Et moi donc, Charlotte. tu me fais bander vraiment durement."

Avant de glisser une main dans son string, elle pousse un soupir. Elle fond de plaisir, elle est moite, elle est lascive et chaude. Elle va se doigter et se caresser pour Jean. Elle veut le pousser à bout. Elle veut qu'il jouisse comme un jet d'eau.

Alors elle enlève son debardeur et degraffe son soutif. Elle pose deux doigts sur ses tétons et glisse sa main libre sous son string.

" C'est parti, tape-t-elle sur son claiver en vitesse.

- Oui. Je t'admire ma chérie. "

Ni l'un ni l'autre ne fit attention au dernier moit de Jean. Ils s'aimaient déjà en silence et ils étaient excités alors ce simple mot ne fit que confirmer ce qu'ils pensaient en eux-mêmes.

Mais l'ordre du jour était Charlotte et sa main glissée derrière la dentelle rose de son string...

mais les sentiments revenaient au galop.

Ils oublièrent rapidement la cam, la situation excitante pour réaliser une chose : ils voulaient la présence de l'autre. Alors ils se caressèrent en douceur, se dire des choses douces et ils jouirent en même temps. De voir le corps de Charlotte s'animer du spasme du plaisir troubla Jean. Il voulait cette peau contre la sienne, il voulait son souffle haletant dans son cou, il voulait son odeur. Il voulait la doigter à ce moment précis où la vague de plaisir la submergeait.

Pour preuve de leur amour réciproque, ils passèrent ensuite trois heures à tchater de tout et de rien, apaisés par l'orgasme, jusqu'à 4h du matin. Ils promirent de se voir vite le lendemain.

Charlotte ne s'endormit qu'à l'aube... Elle pensait à Lui...

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Le garage.

Après avoir jouis tous les deux, ils repartirent très vite. Ils avaient encre à faire avant de retourner au boulot.
Stéphane demanda à Séverine de nettoyer le foutre qui coulait sur son visage et ses seins avec ses dessous et de les enfiler ensuite. La semence chaude se mélangea très rapidement à sa cyprine et elle repartit sur le champ. A peine avait-elle enfilé son string et son soutien gorge qu’elle était de nouveau chaude.
« Rhabille toi et attend moi là, j’ai un coup de fil à passer. »
Il s’éclipsa quelques minutes puis revint. Il s’approcha de son oreille et lui murmura :
«  Tu me suis. On descend à la cave. Je te dirais que faire une fois en bas. »
Elle hocha la tête. Les mots étaient superflus. Ils se mirent en marche. Il n’alluma pas la lumière dans le couloir. Au bout de quelques pas, il lui ordonna de retirer son string et de le garder à la main jusque dans la cave. Dans l’escalier, il glissa une main sous sa jupe pour la doigter en marchant. Un doigt qui rentre au fond et d’un coup.
« Une bonne petite chatte qui mouille bien, dit-il son oreille. C’est bon à doigter un trou comme ca. Je vais bien m'amuser dedans.
- Oui, monsieur, répondit-elle dans un murmure.
-. On va bien la baiser la Séverine. Elle le sentira tout à l’heure au bureau. »
En traversant le parking, ils se turent. Il sortit une clé de sa poche et ouvrit une porte métallique puis s’écarta pour laisser passer Séverine. Toujours sans un mot.
Là, il ferma la porte et n’alluma pas la lumière.
«  On va faire ça dans le noir. Laisse moi t’expliquer. Devant toi, il y a un table et des coussins. Tu vas aller te pencher sur cette table, caler confortablement les coussins. Pet en un sur tes épaules et un sur ton ventre. Puis tu relèves ta jupe et je vais venir me baiser. Agrippe-toi bien à la table, je ne vais pas me retenir. Tu as compris ?
- Oui Monsieur.
- Bien alors vas-y Séverine. »
A petit pas, elle se mit à avancer dans le noir. Elle ne devinait rien de ce qui l’entourait. Il y avait juste une table devant elle sur laquelle il allait la prendre. Elle était toujours aussi humide et excitée. Elle heurta la table du pied. Elle rapprocha les cousins à tâtons puis se pencha dessus. Elle en cala un contre ses seins, et un autre sur son ventre. Puis elle écarta les jambes et souleva sa jupe. Enfin, elle agrippa le rebord de la table. Chaque chose qu’il lui faisait faisait monter d’un cran son excitation et son désir de voir ce qu’il y pourrait bien trouver encore. Elle aimait définitivement cela. Ses cuisses étaient moites tant elle mouillait.
«  Je suis prête Monsieur, se contenta-t-elle de dire quand elle fut en position.
- Bien bien. »
Sans un bruit, il approcha et là, il fit une chose que n’avait pas prévu Séverine...
Il lui donna une claque sur la fesse droite. un claque sonore et retentissante. Une claque qui fit mal à Séverine mais qui l'excita encoire plus. C'était un geste si sauvage, si soudain, si inattendu. elle l'avait pas imaginé qu'il la fesserait dans la cave. Elle se mordit la lèvre inférieure pour ne pas pousser un cri où se serait mêler le plaisir et la douleur.
La suite arriva vite : d'autres claques. Elle reçut sa première fessée. En tout, cinq claques bruyantes sur chacune de ses fesses, cinq claques qui augmentèrent encore son excitation. Elle n'en pouvait plus. Elle voulait la queue de Stéphane en elle.
" Baise-moi Stéphane, ne put-elle s'empécher de dire, de lacher, de gémir.
- Pardon ? lui répondit-il, sévère et inflexible. Tu as dis quoi ?
- Je... Pardon, cela m'a échappé... mais je suis si excitée...
- Je ne veux pas savoir. Tu n'as pas à me tutoyer. Donc tu mérites une seconde punition. Où as tu mis ton string ?
- Là, monsieur, à coté de moi, sur la table."
Sans ajouter un mot, il le pris.
" Ouvre ta bouche. Je vais m'assurer que tu ne dises plus de bétises pour ce midi."
Puis il mit le string en boule et le place dans la bouche de Séverine, qui en ferma les yeux. Elle perdait pied, elle ne réalisait plus très bien ce qui se passait. Elle se faisait soumettre un peu plus crument, un peu plus durement à chaque geste et son plaisir ne faisait qu'augmenter. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait.
Elle venait de recevoir une fessée, de s'exhiber à un balcon, de se faire jouir sur le visage et elle avait maintenant un string plein de mouille et de foutre dans la bouche et elle adorait cela.
Elle n'eut pas le temps de poursuivre plus loin ses pensées car Stéphane se mit à la prendre.
A la baiser, à la fourrer, à la remplir. Il fit cela sans la tendresse des amours simples et aériennes. Non. Il baisa Séverine a grands coups de queues. il lui rempli la chatte, il fourra son vagin, il frotta son gland contre son clito moite et gonflé de plaisir. Sa soumise était si chaude qu'elle glissait comme rarement il avait senti une chatte glissée. C'était bon de baiser cette chienne. Et ce n'était que le début, il le savait. Elle avait de l'appétit, cette chef de service. Elle en voulait encore. il l'entendait gémir avec son string humide dans la bouche. Elle en voulait plus mais Stéphane allait savoir se montrer patient. Pour la mener loin, pour en faire une vraie chienne, une salope docile, une soumise très obéissante. Quand Séverine approcha de l'orgasme, Stéphane sortit son serxe raide et lui colla un doigt ans le cul, ce qui provoqua définitivement son orgasme. Il ajouta, en meme temps que ce doigt, la phrase suivante :
" La prochaine fois, c'est par la que je passe."
Quand son orgasme fut passé, il retourna en elle, sans enlever le string dans sa bouche. Après l'avoir bien limer, il jouit sur ses fesses, lui ordonna d'étaler le foutre et de se rhabiller puis de retourner au boulot.
Oui, décidemment, je vais bien m'amuser avec cette Séverine, se dit-il plusieurs fois au cours de l'après midi...
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voici le second chapitre des aventures de Séverine.
Elle a donc succombé à un de ses employés il y a quelques jours. Elle a tout juste commencé à se

faire soumettre et elle sent au fond d'elle même qu'elle va continuer. Elle sera

incapable de résister aux prochaines avances de Stéphane. Elle a tellement aimé leur

première séance qu'elle fondra rien que devant son regard lubrique, devant son

attitude un peu dur, un peu mauvais garcon.
Elle n'a évidemment rien dit à son mari mais cela ne semble pas interférer avec sa

vie quotidienne. Elle fait l'amour avec son mari mais l'autre matin quand il est

parti tot, elle s'est caressée en pensant à stéphane et surtout en pensant à ses

gestes... donc, définitivement, elle en reveut.

Et ce matin, que ne trouve-t-elle pas dans le tiroir de son bureau : son string

qu'elle avait donné à stéphane le premier jour. Le voir dépasser un petit peu du

tiroir, deviner cette dentelle qu'elle a humidifiée la rend presque folle. Le petit

slip qu'elle a mis ce matin se retrouve vite innondée.
Elle a du mal a travailler. Elle guette Stéphane mais ne le vois pas ! aucune trace

de lui. Elle se demande ce que cela veut dire. Abandonne-t-il ses jeux ? Lui dit-il

au revoir de cette façon ? ELle n'en sait rien et ne l'espère pas.
Un peu avant midi, elle recoit un mail interne. Un mail qui lui fait chaud au... qui

lui fait chaud partout. Il est de stéphane. Il lui demande de se rendre à la pause du

midi dans un appartement non loin de la boite, là ou il habite.
Séverine est ravie... chez lui.. le pied.
Elle quitte le boulot dès que possible et file à l'adresse indiqué. Il y a son nom de

famille sur la sonnette. ELle sonne. Elle est déjà humide. AUcune réponse. Elle a

peur...  Elle resonne. On lui ouvre après quelques instants. Elle prend l'ascenseur

jusqu'au cinquième. Dans la glace de la cabine, elle réajuste son chemisier, remet sa

jupe droite et sort. SOn string a atteint un point de non retour.
La porte est entrouverte. A peine l'a t il franchi que la voix de stéphane la

cueille. Il est à peine visible dans la pénombre.
" deshabille toi. TU gardes juste ton soutif et ton string. Sans un mot."
Sa voix l'électrise. Elle veut obéir, elle veut se faire soumettre.
ELle fait rapidement glisser sa jupe, déboutonne son chemisier et enlève ses

chaussures. La voila en bas et lingerie. Elle porte une ensemble en dentelle vert

pastel que son mari lui a offert il y a un an. Elle sent le regard de Stéphane sur

elle mais il agite la tete en signe de dénégation. Il ne semble pas content.
" T'ai je dit de garder tes bas, séverine ?"
- Non, dit elle timidement.
- Alors pourquoi les gardes tu ?
- Je ne sais pas. Excuse-moi stéphane."
Et elle se penche et roule ses bas à ses pieds. Stéphane se lève et s'approche. IL ne

semble toujours pas content.
" Premièrement, tu gardes tes bas et deuxièmement, tu ne dois pas me tutoyer. C'est

toi la soumise. Tu me dis vous. Compris.
- Oui
- Oui qui ?
- Oui monsieur, je vous ai compris.
- Bien. Mais tu mérite une punition pour tes fautes."
Puis il se tait et se met à tourner autour de Séverine. Il la regarde, la jauge. Elle

sait que son regard est lubrique, qu'il pense a elle en terme cru et cela l'excite.

Un frisson la parcourt.
" Tu vas approcher de la fenetre, tu vas l'ouvrir et tu vas te pencher au balcon dans

cette tenue. Tu restes dehors jusqu'à ce que je te le dise."
Jamais elle n'aurais fait cela auparavant. Se montrer presque nue au balcon. Elle

aurait eu honte  mais aujourd'hui, avec cet homme, avec cet excitation, elle

s'approche de la fênetre et l'ouvre. Il faut doux dehors. heureusement : sans cela,

elle aurait eu du mal à s'avancer dehors. La voila avecses deux piedssur le balcon.

Sa première punition. ELle est encore un peu plus excitée. La voila en petite tenue

au balcon. EN string et soutif dentelle. Elle se penche, s'accoude et regarde autour

d'elle. Une femme agée est à sa fenêtre et un jeune homme fume sa clope a un autre

balcon. Il la remarque tout de suite. Il se redresse et la mate. Avant, elle aurait

tourné les talons par pudeur. Aujourd'hui, cela l'excite de faire bander ce jeune

homme. Car il bande, c'est sur. Séverine est bandante dans cette tenue, à s'exhiber

en punition, à montrer la couleur de son string et ses seins.
La voix de stéphane se fait entendre.
" Est ce qu'un homme te regarde ?
- oui, monsieur. Un jeune homme.
- tres bien. Montre lui tes seins puis rentre."
La encore, sans difficulté, elle s'exécute. Elle ote son soutien gorge et se

redresse. Le jeune homem n'en croit pas ses yeux. Il admire le bonnet C de Séverine.

Et Séverine mouille encore un peu plus son string si cela était possible.
Puis elle rentre. Là, Stéphane la cueille sans ménagement.
" passons aux choses sérieuses. A genoux. Je vais te baiser et je ne vais pas me gé

ner. "
Une fois Séve à genoux, il s'empare de ses pointes et les pince doucement puis

accentue sa pression. Elle en gémit. Elle aime tout ce qu'il lui fait. tout ce qu'il

lui dit.
" sors ma queue et suce moi. Fait moi bien durcir.
- oui stéphane. A vos ordres."
Ele obtempère et degraffe son pantalon popur sortir ce sexe qu'elle a deja vu une

fois mais qu'elle aime deja. Elle le suce, elle l'avale. Avec frénesie. Elle veut

montrer à Stéphane qu'elle en veut. ALors elle l'avale, le suce, le pompe. ELle fait

tou ce qu'elle n'a jamais vraiment osé faire avec son mari. Elle crache sur la queue

et la leche ensuite. Elle se lache.
" Oh mais on suce comme une acharnée ce midi, Séverine. Je te sens tres chienne dis

moi ?"
Elle ne répond pas mais hoche la tete. Elle a envie d'être sa chienne. Le comprenant,

Stéphane prend une initiative. Elle pose ses mains sur ses tempes, bloque sa tete et

commenceun va et vient dans la bouche de séverine. Elle se sent presque défaillir

quand il entreprend de lui baiser la bouche. Car il n'y a pas d'autres mots. Il est

en train de lui fourrer sa queue bien dure dans la bouche et il la lime par là. C'est

cru et quelque peu vicieux. Elle adore. A tel point qu'elle glisse une main dans son

string pour se masser le clito.
Ce geste n'échappe pas à Stéphane.
" doigte toi bien, masse toi bien. Quand tes doigts seront humides, lèches les."
Il sort de sa bouche et la regarde lécher les doigts. Elle les lèche un par un,

goulument, intensément.
" Toi, tu me plais, dit-il. une vraie chienne. Tu veux aller loin, n'est ce pas ?
- Oui monsieur.
- alors on va aller loin. On va prendre soi de bien te baiser et de bien te

soumettre. Il nous reste une grosse heure avant d'aller au boulot. On va bien

s'occuper de toi. Première acte, dans mon appart : ta bouche. Deuxième acte, dans ma cave, ta chatte ."
Elle hoche la tête et s'exécute. Elle prend la verge gonflée en main et la masturbe

de plus en plus vite. Elle est chaude et rouge.
" Branle moi bien Séverine. Je vais jouir. Allez ! Encore un effort. Du bon foutre

chaud. "
Séverine sait pertinnement qu'il ne vas pas se contenter de jouir sur ses seins,

comme fait son mari. Il va aller plus loin. Il ne va pas se géner poru se répandre sur son visage, chose qu'elle trouvait déshonorante il y a peu mais là, tout a changé. Elle veut faire exploser cette queue. Elle veut faire jouir Stéphane et tout prendre sur elle. Alors elle le caresse de plus en plus vite pour le faire jouir le plus fort. Elle veut sentir sa semence chaude sur son visage. Elle le veut au plus profond d'elle meme.
Stéphane est sur le point de jouir. Son sexe est pris de tressaillement. Séverine ferme les yeux.
" Tiens, prend ca, dit-il avec force, en jouissant, en se répendant sur son visage."
Celle-ci, au ton de sa voix, en sentant les lourdes gouttes de foutre sur ses

joues, sur son nez, sur ses lèvres, dans ses cheveux, se sent défaillir. Elle ne

pensait pas qu'on pouvait prendre autant de plaisir à se faire ainsi  baiser,

soumettre, à entendre ces mots et a recevoir une éjaculation faciale. Elle a un

orgasme peu après. Elle se cabre sur ses genoux et agrippe le sexe fort. Elle pousse un cri et regarde Stéphane, calmée.

" Il en reste encore au bout, Séverine."

Elle ne se fait pas prier et reprend en bouche le gland où coule encore du foutre. Elle lèche les gouttes, parcours le membre de sa langue, s'applique a bien nettoyer cette queue qu'elle va prendre entre les

jambes dans peu de temps mais dans le prochain épisode de ses histoires.

 

PS : la personne qui se reconnaitra présentement peut m'envoyer un texto pour me dire si elle appreciée mon histoire... J'en serais ravi et je saurais l'en remercier...

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Bonjour à vous tous, lecteurs et lectrices de mon blog.
Aujourd'hui, pas de nouvelles érotiques. Juste une question que j'ai envie de vous poser. En effet, à force d'écrire mes nouvelles, de mettre en scène mes désirs et mes fantasmes, je perd un peu pied avec la réalité. Notamment en ce qui concerne les dessous, les sous vêtements, la lingerie, les petites culottes, les strings... j'en parle beaucoup et je ne sais pas si cela passionne. D'accord pour l'érotisme, d'accord pour les dialogues crues et les situations cocasses mais quid de mon "fétichisme" pour les sous vêtements ? lol. La façon que j'ai d'évoquer les dessous de ces dames vous plait-elle ? En riez-vous ? Ou bien n'est ce que facilité et lieu commun ?
Voilà... J'ai besoin de votre avis donc  n'hésitez pas à me le donner... merci d'avance
l'auteur de ce blog
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Voilà donc la seconde histoire de la charmante Jeanne.
Nous l'avions laissé après le gendarme... retrouvons là au travail, deux jours plus tard. Ses envies de sensualité, d'aventure, de jeu avec les hommes ne l'ont toujours pas quittée. Bien au contraire. Elle veut faire feu de tout bois. Alors, pour commencer, hier, elle a été acheté un nouveau tailleur et des nouveaux dessous. Le tailleur est sobre et bien coupé, élégant et féminin. Il n'est pas aguicheur ni provoquant mais Jeanne l'a acheté une taille en dessous, pour qu'il souligne à merveille ses courbes. Les sous vetements qu'elle a acheté sont différents de ceux qu'elle porte habituellement. Ceux-là sont tres modernes, presque transparent, en lycra mais terriblement sexy. Le string est si petit qu'on dirait qu'elle ne porte presque rien.
donc voila notre belle Jeanne au travail, sage, appliquée. Elle est secrétaire dans un cabinet d'avocat. Rien de passionnant mais un boulot qu'elle aime bien. Sauf depuis le début de la semaine car il y a des travaux en cours. Ils refont la peinture et le papier peint du rez-de-chaussée du cabinet. Du bruit, de la poussière... etc

Aujourd'hui, contrairement aux journées précédentes, l'ouvrier qui officie n'est pas mal. Il plaît à Jeanne. Un beau gosse, ce qui change des vieux et gros moustachus qui parlaient à voix haute. Ce jeune homme là semble s'occuper de l'éléctricité. Il fait évidemment naitre des idées dns la tête de Jeanne. TOut en travaillant, elle le regarde intensément. Elle détaille son corps. Il a l'air bien foutu, musclé. Parfait, se dit-elle. Voici donc ma seconde aventure. ELle cherche quelques instants comment procéder et trouve sans mal les moyens d'arriver à ses fins.
Voilà que déja son string commence à s'humidifier...
Il se trouve que l'électricien fait de nombreux va et vient entre son véhicule et la pièce où il travaille, va et vient qui le font passer devant le bureau de Jeanne. A un moment où il passe devant elle, après avoir préalablement dégraffé le bouton supérieur de son chemisier, Jeanne fait négligemment rouler un stylo qui tombe presque au pied de l'homme, de l'autre côté de son bureau.
" Oh mince! s'écrie-t-elle doucement, avant de se lever et de se pencher par dessus son bureau.
L'ouvrier ne se fait pas prier, trop content qu'il est de rendre service à une jolie petite secrétaire et se baisse pour ramasser le stylo. En se redressant, il plonge son regard dans le décolleté de Jeanne. Elle sais parfaitement que la naissance de son 90c, que son nouveua soutien gorge sont visibles. Elle ne peut s'empécher de sourire d'aise devant le regard fugitif de l'homme. Elle le dévisage en faisant passer dans ses yeux tout le désir qu'elle peut trouver en elle.
L'homme réagit tres bien à son regard et semble comprendre que la secrétaire de la boite où il a son chantier est assez chaude...
mais immédiatement, le téléphone sonne. Chacun retourne à ses occupations.
Peu après, Jeanne reçoit un nouveau coup de fil mais d'une amie cette fois-ci. Habituellement, elle ne papote jamais avec ses relations au travail mais là, cette discussion peut l'aider à servir ses fins. Donc elle ne se gène pas. ELle jette un coup d'oeil vers la pièce ou bosse le jeune homme : il n'écoute pas la radio et la porte est ouverte, donc il entendra toute sa discussion. Parfait...
ALors Jeanne commence à parler à son amie de ses achats de hier. Du bel ensemble en lycra moulant et très pres du corps qu'elle a acheté et qu'elle porte.
" Je me sens tellement sexy avec ce string si tu savais... il me tarde de voir l'effet qu'il fait sur un homme."
Et ainsi de suite. Evidemment, l'électricien n'en a pas perdu une goutte. Il sait tout à présent de la lingerie que porte la secrétaire à trois mètres de lui. Il a vu ses seins et son regard était presque inconvenant. Alors il décide de prendre son courage à deux mains et se lance.
" mademoiselle, je dois rester ici ce midi. J'ai trop de boulot. Y aura-t-il quelqu'un dans les locaux ?
- oui, monsieur, n'ayez crainte. Je reste le midi. Je mange seule en général donc je serais là pour vous."
Je serais là pour vous... L'homme retourne au boulot avec la quasi certitude que cette jolie minette à la lingerie en lycra sans couture va y passer ce midi... Il en bande presque.
Peu après, les employés quittent un à un le boulot. Ils se retrouvent seuls.
Jeanne a décidé de la laisser agir, de le laisser venir avant de prendre les choses en mains. Heureusement, le jeune homme ne se fait pas prier. Il sait exactement ce qu'elle veut et va le lui donner. Il passe devant son bureau et l'invite à prendre un café. ELle se lève, non sans reculer son fauteil d'un coup sur son bureau afin de lui montrer la naissance de ses bas.
IL lui ouvre la porte de la petite buvette de la boite et pose discrètement un main sur sa hanche
" je vous en prie mademoiselle, fait-il ensuite en s'écartant pour la laisser passer."
Là, se dit-il, finit la galanterie.
Alors qu'il sort des pièces pour commander les cafés, il pose nonchalamment une main sur ses fesses, sur son tailleur.
" Effectivement, on ne sent pas les coutures, dit-il en le regardant droit dans les yeux.
- N'est ce pas ? tres agréable à porter, ce petit string
- et à enlever ?
- Je ne sais pas encore jeune homme. Je l'ai mis ce matin mais je ne l'ai pas encore retirer.
- ne bougez pas, je vais vous aider.
- vous etes trop charmant. Faites...
Puis tout bascule. Jeanne se tourne pour offrir son postérieur à l'ouvrier et, dans me meme mouvement, elle laisse trainer un de ses mains sur son entrejambe. Elle a la preuve de ce qu'elle subodorait : il est bien monté. Pendant ce temps, il dézippe le tailleur, le fait glisser le long des bas et révèle à sa vue le fameux petit string. IL en bande encore plus... LE cul qui s'offre à lui est ferme, bien dessiné, doux et le tout petit slip qui disparait entre les deux belles fesses est superbement assorti au tailleur. Il émet un sifflement de contemplation.
" VOila bien ce que j'appelle un joli popotin
- Merci. "
Mais elle n'a plus envie de parler. Elle achève de sortir la queue de l'homme et se met a genoux. Elle a très envie de le sucer. Alors elle y va. Elle montre à cet électricien qu'une secrétaire comme elle sait tailler des belles pipes. Elle joue avec le gland, le titille avec sa langue, l'avale d'un coup, le masturbe... En un mot, elle joue avec ce beau sexe qu'elle rend raide. Elle pompe ce jeune homme qui ne reste pas inactif.
Il enlève son chemisier, dégraffe son soutien gorge, masse ses seins, jour avec son corps. Il sait y faire et Jeanne apprécie grandement ses caresses. Elle se releve et le regarde droit dans les yeux puis se retourne et se cambre.
" Maintenant, à toi de me montrer ce que tu sais faire avec ta langue."
L'ouvrier ne se fait pas prier et commence même de façon innatendu. Il écarte ses fesses et, à travers le lycra du string, titille quelques secondes sa rondelle. Jeanne ne retient pas un rire d'aise et pousse ensuite un gémissement. Elle est agréablement surprise. Puis il écarte son string et commence a la butiner avec talent. Sa langue fait des merveilles. Il la lèche, l'explore, la découvre avec douceur et lubricité. Il écarte ses lévres, joue avec son clito, frotte ses doigts sur son sexe gonflé de plaisir. Il la doigte, il met lentement le feu à son sexe. Tant et si bien que Jeanne ne peut pas vraiment se retenir. Elle laisse venir à elle un puissant orgasme qui part de ses épaules et de ses chevilles et remonte son corps jusqu'à son sexe.Elle vacille, elle tremble, elle s'abandonne sous les coups de langue et les doigts de l'électricien puis elle jouit. Elle mort sa chemise pour ne pas crier. Le bonheur est complet. Elle est ravie.
Mais ce n'est pas fini. Peu apres son orgasme, elle sent le sexe de l'homme qui frotte doucement son clitoris humide, son entrejambe moite. Il prépare la pénétration, là, contre la machine à café, dans la buvette, debout. Par derrière, il pose une main sur ses épaules et la pousse contre la machine a café pour mieux la cambrer, pour qu'elle s'offre mieux à lui.
Et il la prend. D'un coup, son sexe rentre en elle. Jeanne repart imédiatement. la diamètre de cette queue réveille sans mal le plaisir en elle.
" vas y ! prends moi. C'est trop bon."
Il ne se fait pas prier. Il arrime solidement ses mains sur ses hanches et commence à s'activer sans se ménager. Il a un bon coup de rein. Il sait adopter son rythme à la montée du plaisir en Jeanne. Ils ne font bientôt plus qu'un. Cette queue en elle la rend folle.
ALors, elle la sort, se met a genoux et la prend en bouche. Son goût est délicieux, unique. Elle a le goùt de leur plaisir mélanger. Elle le suce, l'avale entièrement en le regardant dans les yeux... Elle est au septième ciel.
Pui elle se redresse et s'empare du sexe raide pour forcer l'homme à la suivre. Elle débarasse la table commune des affaires qui y trainaient et invite l'homme à la reprendre de nouveau.
" Tape maintenant, dit-elle"
Et il tape. Il la fourre, il la prend. Il la saute. Elle n'en peut plus tant cette partie de jambe en l'air. Son sexe raide fait des merveilles dans sa chatte. Elle agrippe la table pour encaisser les coups de queue. Il est devenu un taureau. Elle s'offre à lui.
" Vas y mec ! Continue, ne t'arrête pas. "
Elle est au bord de l'orgasme. Lui aussi.
Il sort d'elle et lache tout son foutre sur son ventre, sur ses seins, sur son nombril. Un puissant jet chaud qui envahit alors son ventre. Elle jouit dans la foulée, ravie de voir à quel point elle avait excitée l'homme. Puis elle étale le foutre sur son ventre, sur ses seins et de son autre main, achève de caresser l'homme qui se ment lentement à debander.

Peu après leurs orgasmes presque simultanés, une des supérieurs de Jeanne rentre dans la salle mais c'est là le début d'une autre histoire donc je vous en dirais plus une autre fois...
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