Alors voila donc la suite des aventures de aventures de Jeanne.

Nous l'avions laissé sur la table du coin repas-café de sa boite, surprise par sa chef peu de temps après avoir joui avec l'électricien.

En entrant de la pièce, Mme Lambertazzi, belle femme énergique de quarante ans, plutôt élégante, a un léger mouvement de surprise. Puis elle regarde Jeanne. Il n'y a aucune colère ou réprobation dans son regard. Jeanne croit même y surprendre une lueur de plaisir ou de désir. Peut être que sa supérieure a toujours revé de faire comme elle, de se faire prendre au travail, au bureau, dans les locaux de son quotidien de cadre supérieure...
quoi qu'il en soit, avant de refermer la porte, Mme Lambertazzi a la délicatesse de prévenir Jeanne que les restes des employés arrivent sous peu et que si elle veut garder l'anonymat, il ne lui reste que peu de temps...

Les choses en restèrent là pour la journée. Depuis ce jour, un sourire complice apparait discrètement sur le visage de Mme Lambertazzi quand elles se croisent dans les couloirs ou aux pauses cafés. Heureusement, les travaux sont finis et il n'y a plus de risque pour Jeanne de se faire surprendre.

Peu à peu, cépendant, notre belle héroïne se prend à s'interroger sur les regards de sa supérieure. Elle surprend souvent sur elle, sur son corps, sur ses fesses, les yeux de sa patronne. Elle a le même regard que les mecs. Elle la mate, desfois sans pudeur. Une fois même, où Jeanne savait que son string dépassait, elle tourna discrètement la tête pour voir la réaction de Mme Lambertazzi. Comme prise sur le fait, elle détourna rapidement son regard et une pale rougeur envahit ses joues.
AInsi donc, Jeanne avait une supérieure qui semblait aimer les femmes. Lentement, les implications de cette idée firent leur chemin dans son esprit. Uen aventure de plus s'ouvrait à elle... Une aventure avec sa patronne, qui était une belle femme. Grande, brune, élégante, toujours vetue de tailleurs de grande classe et, manifestement, de lingerie des grandes marques vu le sac qu'elle avait ramener une fois au travail pour porter des dossiers.

Donc, un beau matin, Jeanne décida de tenter l'aventure, de se laisser approcher, drauer, séduire par sa patronne. De jouer avec elle. Jeanne ne savait pas exactement où elle avait envie d'aller mais en tout cas, elle voulait aussi explorer ce domaine de la sexualité avec les femmes...

Ne sachant trop comment s'y prendre, elle commenca par allumer sa patronne. Une fois où celle-ci l'appela dans son bureau, Jeanne fit exprès de laisser tomber au sol les dossiers que réclamaient sa supérieure. Elle prit bien soin, en se baissant pour les ramasser, de ne rien cacher de sa petite culotte à sa patronne. Elle en portait une bleu ciel, en dentelle ainsi qu'une paire de bas couleur chair. une fois baissée, elle ramassa les papiers, les laissa tomber par une seconde étourderie, pour bien permettre à sa patronne de se rincer l'oeil. Le silence qui emplit la pièce le temps que dura ce bref moment était éloquent : sa patronne dévora des yeux le moindre bout d'étoffe intime de son employée. En se redressant, Jeanne lui adressa un grand sourire.

Deux jours plus tard, Jeanne décida de franchir un autre pas en direction de sa supérieure. Un pas difficile à franchir mais un pas excitant. A vrai dire, elle ne savait pas exactement comment s'y prendre. Elle voulait établir un contact physique avec sa patronne. Créer un lien des corps. L'idée lui vint un jour à la pause de dix heures, un jour où un collègue de bureau donnait son pot d'adieu. Il y avait toute la boite dans la salle des pauses café. Une bonne ambiance, des rires et tout le monde serré les uns contre les autres.

Jeanne prit son courage à deux mains et chercha du regard sa patronne. Elle était près de la machine à café. Exactement ce qu'elle voulait. En se dirigeant vers la machine, Philippe, le jeun retraité, lui proposa une coupe de crémant. Elle refusa, arguant qu'elle voulait un café avant toute chose. Elle voulait surtout les fesses de sa patronne, qui portait aujourd'hui un pantalon noir tres élégant, près du corps.

Devant la machine, après avoir pris une grande respiration pour se donner du courage, elle posa une main sur la fesse de sa patronne, très discretement en lui murmurant à l'oreille

" pardon Mme, j'ai besoin de glisser une pièce dans la fente. "

La main qu'elle posa sur la croupe de sa patronne l'excita immédiatement. Son string se retrouva en un instant humide. Et sa patronne eut une délicieuse réaction. Elle vibra de tout son corps, une douce et infime vibration, un peu comme une petite pierre jetée dans l'eau qui donne naissance a des ondes qui traversent subtilementy la surface de l'eau. Jeanne, avec sa main, sentit le string de sa patronne, la fermeté de ses fesses. Elle ne put rester autant qu'elle l'aurait voulu mais une chose devint sure après cette main : les deux femmes se désiraient.

Suite et fin de cet épisode dans deux ou trois jours...

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