Une fois dans la chambre, je m’assis sur le fauteuil qui complétait le bureau – la chambre était plutôt luxueuse, avec des étoffes de qualité et une moquette élégante.

Florence et Sophie, toutes deux en lingerie à présent, vinrent se mettre à genoux devant moi. Leurs mains n’arrêtaient pas de parcourir leurs corps.

Elles jouaient entre elles tout en me regardant. Leurs yeux me rendaient fou.

« J’aimerai voir les mains de Sophie dans le petit slip de Florence. »

Sans attendre, Sophie glissa ses deux mains dans le petit morceau de dentelle de Florence, qui en ferma les yeux d’aise. Une main devant pour doigter sa chatte et une autre derrière pour préparer doucement son petit trou.

« Vas-y Sophie, excite moi bien notre petite chienne soumise, notre petite salope. 

- Oh oui, Nico. Avec plaisir. Elle est déjà trempée. Sa chatte est chaude et ouverte.

- Doigte la bien alors. Fouille ses trous, explore son entrejambe. On est là pour bien la dresser, pour la rendre folle et docile. »

Les choses changèrent peu à peu devant moi. Insensiblement, Sophie se retrouva derrière Florence qui avait à présent son petit slip baissé sous les fesses. La première faisait des merveilles : elle léchait, elle doigtait, elle embrassait ses fesses, ses cuisses, sa chatte, ses lèvres, son clitoris, sa rondelle. Tout y passait, avec langueur et assurance, avec douceur mais sans se retenir.

« Notre petite salope a deux doigts dans le cul et deux dans la chatte. Elle se fait double pénétrée par une femme. La vue est excitante, commenta Sophie. »

Alors que l’une soumettait l’autre, je sortis ma queue pour la mettre devant le visage de Florence qui était collé à ma cuisse et animé par le plaisir.

« Si la belle et soumise Florence veut une queue dans la bouche alors qu’elle se fait doigter la chatte et le cul, libre à elle de redresser la tête et de l’avancer au dessus de ma verge tendue de désir. »

Sans la moindre latence, elle s’exécuta.

« Et bien en voilà une bonne soumise bien excitée, non ? »

Disant cela, je mis mes mains sur ses cheveux pour descendre sa tête sur ma queue.

« Commencez à votre guise, madame la belle chienne docile, dis-je. »

Et elle se lanca dans une pipe digne de ce nom, dans une pipe que seule une femme qui aime la queue et qui en a eu des dizaines en bouche peut faire.

« Vous sucez à merveille, dame Florence. Vous sentez ma queue frétiller dans cette délicieuse bouche à pipe ? »

Elle aurait voulu répondre mais, à ce moment précis, Sophie eut un geste cru qui lui tourna la tête. Elle crache sur son petit trou pour, de sa langue dardée, étaler la salive pour bien préparer le passage.

Dans son regard, je sentais une envie de jouer avec Florence, en envie de la soumettre tout comme moi. Je n’avais encore jamais eu cette expérience là. Soumettre une femme à deux…

Donc, sous l’influence conjointe de nos envies de domination, nous primes peu à peu en main Florence.

D’abord, sa bouche… Sophie vint poser ses mains sur ses cheveux pour la faire aller et venir avec intensité sur ma queue.

« Allez petite salope, mets ta bouche à disposition de ton maître, laisse toi baiser par la bouche. »

Mes mains profitèrent de ce renfort pour aller attraper les tétons de Florence et jouer avec. Nous étions en train de prendre la route d’une domination intense de cette femme déjà offerte et abandonnée. J’étais dur et tendu dans sa bouche. Elle me lappait du bout de sa langue, elle se laissait faire par Sophie. Le plaisir était en train de nous submerger dans cette chambre d’hôtel.

« Il est temps de la baiser sur le lit notre petite chienne, non ? dis-je à Sophie. »

Elle hocha la tête pour acquiescer puis, après avoir déposer un baiser sur les épaules et le front de notre soumise, elle lui intima l’ordre de monter sur le lit à quatre pattes.

« Notre petite chienne va se faire prendre par une queue et un gode, lui murmura-t-elle à l’oreille. »

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