Anaïs, stagiaire

 

 

 

 

 

 

 

C’était pour un voyage d’affaire que j’avais atterri dans ce bel hôtel. Pour être exact, ce n’était pas un bel hôtel mais plutôt un palace tout droit sorti d’une brochure de voyage de luxe. Le rêve. Surtout que je n’étais pas censé être là. Ces hôtels, c’était pour mon boss, pas pour moi. Pas encore ce privilège. Trois ans dans la boite, ce n’était pas assez. Donc les contrats playa comme il les appelait officieusement, mon boss, c’était pour sa pomme. Sauf que là, après une chute de cheval et genou droit pas joli à voir, me voilà catapulté dans l’avion en quelques heures.

A la descente, sur le tarmac de l’aéroport, une vague de chaleur, un soleil éclatant et une plage en arrière-plan. J’avais déjà chaud. A travers les vitres teintés de la limousine de l’hôtel : des palmiers, des plages, du tourisme quatre étoiles. L’hôtel était à l’encan. Bungalows de toutes les tailles avec intérieur en marbre, ventilateurs élégants et lustres en cristal. Même depuis les salles où se tenaient nos réunions de travail, la vue était paradisiaque. Une longue plage de sable blanc avec quelques parasols, une mer turquoise, un ciel azur.

Assis face à cette vue, je comprenais mieux mon chef. Il aurait pu prendre de l’avancement de la boite, viser un poste bien plus haut que celui qu’il occupait depuis sept ou huit ans mais il aurait du tirer un trait sur ces voyages. Il en faisait six par en moyenne. Six semaines de vacances en plus, même si les négociations étaient aussi âpres que dans une tour à la Défense.

Le premier soir, avec le décalage horaire et la journée de boulot qui avait immédiatement suivi notre arrivée, l’extinction des feux fut très rapide. Au réveil, j’étais frais et plein d’énergie. En gagnant la salle de réunion, je vis à la réception une jeune femme que je n’avais pas encore aperçue. Une grande et fine brune, aussi féminine que sexy. Le genre à lunette avec un tailleur. Le genre moins de vingt cinq ans et déjà femme, avec un soupçon d’innocence et d’ingénuité qui me mettait le feu aux poudres très rapidement. Echange de sourires. J’en bandai presque.

A la pause de midi, je pris une décision que se révéla des plus heureuses pour la suite de mon voyage : je demandai un petit panier repas aux cuisines et je mis les voiles, direction le bout de la longue plage de sable blanc, directions les palmiers. Après dix minutes de marche, je vis un ruisseau qui se jetait dans la mer. En suivant son lit du regard, je me pris à imaginer une cascade, de l’eau fraîche, une vasque creusée dans la pierre.

Aucune hésitation, je m’engageai le long du petit cours d’eau. La lumière tombait moins dru, tamisée par les grandes feuilles des arbres et l’air était plus frais, presque humide avec la proximité du ruisseau. Marcher était un enchantement.

Après un coude, la baignade de mes rêves s’offrit à moi. Une petite trouée dans les arbres, une vasque où venait bouillonner, après une chute de  quelques mètres, les eaux du ruisseau. De part et d’autre, de grandes dalles rocheuses. Pour compléter cette vision, des jambes de femme disparaissaient derrière un rocher. M’approchant silencieusement, je crus reconnaître une tache sur la cheville, une tâche que j’avais aperçu sur la délicieuse stagiaire de l’hôtel.

Je fis discrètement quelques pas dans sa direction. Le rocher me dévoila la simple étoffe blanche de son petit slip de bain avec, l’animant d’une douce frénésie, deux doigts glissés dessous. Je ne voyais pas plus haut. Simplement ce bikini et ces jambes appartenant à une jeune femme se donnant du plaisir. Là, typiquement, j’étais en plein fantasme : une naïade sur une plage abandonnée.

Mon cœur s’emballa avant que je n’en tire les rênes pour garder le contrôle. Je ne pouvais me permettre de laisser filer cette occasion. J’agis à l’instinct, rapidement, en poussant un sifflement ébahi par la beauté du site, en lâchant un discret c’est beau comme si je me parlais à moi-même. Ses jambes bougèrent. Elle se redressa, une main sur les seins, essoufflée, désirable et me sourit. Un sourire lascif, tentant. Le sourire d’une femme interrompue dans un moment d’intimité mais qui n’en éprouve aucune honte.

« Bonjour mademoiselle. La vue est belle, dis-je en plantant mon regard dans le sien. »

Elle dut sentir que mon propos était à double sens car elle eut un second sourire mystérieux alors que la rougeur sur ses joues s’estompait.

« Vous êtes le représentant du groupe Parksons, non ?

Je hochai la tête.

« Et vous êtes la stagiaire que j’ai vu ce matin dans un tailleur très sexy ? »

Toujours le même sourire, avec une nuance flattée par le compliment.

« Et bien, si je puis me permettre, mademoiselle, vous êtes aussi belle en tailleur qu’en monokini.

- Mais avec la différence que je ne peux pas être en monokini à l’hôtel.

- Donc vous venez ici pour être peinarde et bronzer nue?

- Je ne suis pas nue, monsieur.

- C’est vrai. Rien de plus qu’un tout petit slip de bain. Mais ne vous gênez pas pour moi si vous voulez vous mettre à l’aise…

- Je n’aime pas bronzer nue !

- Ah oui ? Vous aimez les traces du maillot sur les fesses ? »

Elle eut un petit sourire discret, presque étouffé

« Ca ne me dérange pas. »

Ce qui voulait dire, avec son ingénuité que je sentais de plus en plus feinte, j’adore avoir la marque du bronzage sur les fesses.

« Et vous vous baignez nue ou avec ce petit maillot ? osai-je, volant pousser mes pions aussi loin que possible pour ne pas avoir de remords si rien ne se passait.

- Nue mais…

- Mais soyez sûre que cela ne me choque pas, mademoiselle. Bien au contraire. »

Sur son délicieux visage, rien d’autre que le même sourire encore un peu plus épanoui que quelques secondes auparavant. Joignant la parole au geste, elle s’assit au bord de l’eau pour faire glisser, déhanchement discret et ravageur, son petit bikini sous ses fesses. Puis, sans crier gare, elle se mit à l’eau dans un mouvement gracieux et nonchalant, m’offrant une vue sur ce qu’il convient d’appeler un cul de rêve.

En quelques pas, je fus près de son maillot posé au sol, alors qu’elle nageait près de la petite cascade. Dans un réflexe, je pris le petit bout d’étoffe pour le porter à mon visage. Il sentait le plaisir, la fraîcheur… Mon érection fut immédiate et vigoureuse.

« Je ne vous gêne pas, monsieur ? fit-elle, provocatrice et amusée. »

Qu’elle réagisse ainsi était bon signe. Elle venait de me surprendre en train de humer l’odeur de son bikini et elle en riait presque. La partie était gagnée si je ne commettais pas de faux pas.

- Oh pardon mais… je… c’était trop tentant… cette odeur… votre beauté… Vous me troublez…

- Ah oui ? D’où je suis, on ne dirait pas. »

En effet, ma position – à mi chemin entre accroupi et agenouillé – lui scellait la vigueur de mon émotion.

« Je vous en prie, mademoiselle, n’exigez pas d’en voir plus. Cela pourrait nous mettre dans une situation périlleuse.

- C’est à dire ?

- Il y a que cette vue provoque souvent une irrésistible envie de me sucer chez certaines femmes et je ne suis pas sûr que vous ayez le droit de sucer les clients de l’hôtel.

- En effet, la situation peut-être délicate. Je ne sais pas moi-même si une stagiaire peut sucer un client. »

J’adorais ce dialogue, qui était un délicieux préliminaire, très excitant. Elle jouait à merveille son rôle. Je bandais comme un taureau.

« Vous êtes stagiaire. Au pire, vous pourrez plaider la méconnaissance.

- Tout à fait. J’ai beaucoup à apprendre. Je débute.

- Alors si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je pourrais vous montrer certains désirs que peuvent avoir les clients. Il est important pour une stagiaire de vraiment cerner tous les aspects du métier.

- Vous avez raison. En plus, j’aime apprendre sur le tas. »

L’instant d’après, j’étais débout, nu et tendu vers elle.

« Voilà une bien belle queue, monsieur. »

Je mis les pieds dans l’eau tout en restant les fesses sur le rocher. Elle était débout et immergé devant moi, ses seins à hauteur de mes genoux, ses petits seins pointant et excitant. Elle me prit en bouche avec délicatesse et envie, en m’envoyant un regard qui acheva de me faire durcir. Sa langue vint rapidement jouer avec mon gland. Son expérience en la matière était indéniable.

« Débutante dans l’hôtellerie, peut-être mais pas dans l’art de la pipe, on dirait, mademoiselle. »

- Je fais bien ce que j’aime faire, dit-elle en relevant la tête et en me branlant le temps de sa phrase. »

Mes mains glissèrent de ses épaules vers ses pointes que je fis rouler ses pointes entre mes doigts. Elle s’en mordit les lèvres de plaisir. En la voyant ainsi s’épanouir, j’eus très envie de jouer avec elle, de voir jusqu’où une si élégante jeune femme était capable d’aller avant de trouver les gestes et les mots trop crus.

« Laissez-vous guider, mademoiselle.

- Avec plaisir, dit-elle dans un souffle. »

Là, je mis une main sur sa tête pour la guider vers ma queue et poursuivre la pipe arrêtée il y a peu. Je voulais la poursuivre mais différemment, en dirigeant cette belle bouche, en imprimant moi même le rythme de cette fellation. Ma stagiaire se laissa faire, toujours les yeux fermés. Mes mains enserraient sa tête avec assurance. Je faisais aller et venir sa bouche autour de ma queue. D’elle-même, elle jouait avec sa langue. Je l’embrassais sur les cheveux, les oreilles, les temps, les joues alors qu’elle s’activait.

« Une stagiaire qui suce à merveille dans une baignade magique. C’est un rêve que je vis, mademoiselle. Cela va être un vrai plaisir que de vous baiser, de vous enfiler sur cette petite serviette de bain. »

Je la fis sortir de l’eau en lui prenant les mains et en la soulevant. Quand elle fut debout devant moi, après un long baiser, je vins mordiller le lobe de son oreille avant de lui dire à voix basse :

« L’idée est de ne pas se gêner, hein, mademoiselle ? L’idée est de montrer à cette belle petite stagiaire qui est en train de me sucer à quel point les clients peuvent avoir les idées larges, non ? »

Elle approuva dans un souffle avant de pousser un soupir en sentant un doigt s’aventurer dans sa chatte humide et moite. Poursuivant le jeu, je me mis à marcher à ses côtés, avec deux doigts dans sa fente. C’était bon et cru de sentir le frottement de son sexe sur mes doigts alors que nous avancions de concert. J’embrassais son cou, ses lobes d’oreilles, ses lèvres, son épaule gauche.

Je la conduisis jusqu’à sa serviette où je sortis mes doigts de son sexe pour les lui faire lécher, ce qu’elle fit avec application et envie. Alors qu’elle s’occupait ainsi, j’en mis deux autres, de la main gauche, dans sa fente.

« Mademoiselle lèche mes doigts parfumés avec sa chatte tout en se faisant doigter. On dirait vraiment qu’elle aime faire sa petite chienne, je me trompe ?

Un non fut murmuré, soufflé dans un frisson de plaisir puis je pris sa queue de cheval dans une main pour basculer sa tête en arrière.

« On passe à la suite, mademoiselle ?

- Votre stagiaire attend avec impatience la suite de son stage.

- Alors à genoux et les épaules au sol, s’il vous plait. »

Elle s’exécuta en silence pour m’offrir une pleine vue sur son cul, sur son entrejambe, sur sa croupe. J’étais fou.

Cette stagiaire était à la croisée de tant de fantasmes que je voulais en profiter le plus possible. Elle était la jeune femme en tailleur, elle était la cadre sup à lunette, elle était la nana qui bronze seule sur un petit coin de paradis désert. Et elle était, pour l’instant, partante pour mes jeux, soumise à mes désirs. Son abandon était puissamment excitant.

« Soupons ! dis-je. »

Puis je me mis à laper ses deux orifices d’un grand coup de langue, à titiller son clitoris et sa petite rondelle, avant de la lécher, de l’explorer de ma langue. Elle ne disait plus rien, toute entière à son plaisir alors que je m’aventurai en elle de ma langue et de mes doigts.

« Une bonne chatte bien trempée et un petit trou excitant. C’est bon de savourer le cul d’une stagiaire comme vous, mademoiselle.

- Surtout ne vous arrêtez pas monsieur. J’apprends beaucoup.

- Aucune envie de m’arrêter, n’ayez crainte. Plus je goûte à ces deux petits trous, plus j’ai envie de bien baiser cette belle petite salope à quatre pattes devant moi… »

N’étant pas sûr que ce nouveau mot cru lui plaise, je fis une pause, déposant même un baiser sur ses fesses. Chaque geste ou mot cru était, comme toujours, un pari à quitte ou double. Un refus et tout pouvait s’arrêter ; une acceptation et le plaisir était sublimé. Elle n’eut aucune réaction, gardant les yeux fermés et la respiration haletante.

Je pris cela pour un consentement.

Mon geste suivant fut de la prendre.

Ma queue était raide et tendue de désir pour ce beau petit lot offert devant moi. Je la pris doucement mais en profondeur, glissant ma queue bien au fond de sa chatte avec de commencer un lent et puissant va et vient.

Mes mains sur ses hanches serrant bien cette taille de guêpe, je passai à la cadence supérieure pour, en fin de compte, sauter ma stagiaire. Son intimité était douce et serrée et ma queue bien dure et plantée dans sa moiteur. Elle ouvrit les yeux pour me regarder après avoir tourné la tête.

« Baisez-moi bien, monsieur. Ne vous gênez pas pour votre stagiaire, elle aime tout ce que vous faites et vous dites. Elle a très envie d’apprendre. »

- Ah oui ? Mademoiselle aime se faire tringler à la pause de midi ? Elle aime remuer son petit cul en levrette pour exciter les clients ?

- Elle adore.

- Tant mieux car enfiler une petite salope de stagiaire de temps à autre est un de mes péchés mignon. »

Une pulsation de plaisir m’avertit que l’orgasme montait en moi. N’en voulant pas pour le moment, trop heureux d’honorer cette belle brune, je sortis de sa fente pour me redresser.

« Parfumée avec votre chatte, cette queue doit avoir un goût délicieux. Je vous recommande fortement de venir me sucer. »

Souriante, elle se mit a genoux et, sans un mot, me prit en bouche. En un rien de temps, mes mains furent sur ses tempes. Je me mis à faire aller et venir sa tête autour de ma queue mais plus vivement que tout à l’heure.

« Ah la belle petite salope de stagiaire, elle l’aime cette queue, fis-je au comble de l’excitation, retenant tant bien que mal une première éjaculation. C’est le pied de vous sauter, mademoiselle. »

Puis je la repris en levrette. En agrippant ses cheveux, en redressant son buste pour la plaquer contre mon ventre, en glissant mes bras sur son ventre, mes doigts dans sa bouche. Je voulais la posséder, jouer avec elle, la rendre ardente, joueuse et offerte. Je pris son petit slip blanc pour lui passer en travers de la bouche et la retenir contre moi par l’étoffe de son bikini. Ainsi bâillonnée par son maillot imprégné de cyprine, elle était proche de l’orgasme. Ses yeux clos, son cœur battant la chamade, sa peau chaude, ses gémissements étouffés par l’étoffe de son bikini… Elle perdait pied, je le sentai. Chaque coup de queue que je lui donnais nous rapprochait de l’explosion. Son sexe était un puits de plaisir, un volcan en éruption.

Je revins en elle pour la conduire à l’orgasme. Mes mains enserraient ses hanches, mes coups de queue étaient profonds et vigoureux. Alors qu’elle allait exploser, ma main descendit entre ses jambes pour aller caresser son clitoris. Sentir une queue en elle et une main sur son petit bouton la fit décoller pour de bon. Elle se cabra, frissonna et soupira plusieurs mots que je n’entendis pas car j’étais trop proche de l’extase, moi aussi.

« A toi de jouir, me dit-elle après avoir repris ses esprits, alors que j’allais encore en elle, doucement, au bord de l’explosion. »

Elle se mit a genoux et ouvrit la bouche.

« Ma bouche est toute à toi. »

Elle se prit les seins pour se les caresser alors que je me masturbais à quelques centimètres de son visage.

« Une bonne giclée pour ma stagiaire, hein ? Une bonne giclée de foutre pour cette belle petite…. »

Le dernier mot se perdit dans un râle de plaisir. Mon éjaculation fut puissante et généreuse, visant sa bouche, son cou, ses seins. Ma semence blanche  et fluide macula avec délice sa belle peau bronzée puis elle recracha mon foutre sur ses seins avant de prendre ma queue en bouche, pour en savourer jusqu’à la dernière goutte. Elle lécha mon gland, elle m’aspira. Je chancelais sur place.

Je dus m’asseoir mais elle ne quitta pas ma verge. Elle me gardait au chaud dans sa bouche. Une de mes mains étala le foutre sur ses seins, sur son ventre avant de descendre entre ses jambes. Son sexe était encore moite. Elle prit ma queue entre ses doigts pour me masturber doucement et me regarder.

« En tout cas, les clients ont beaucoup d’idées intéressantes, merci beaucoup pour cette leçon. J’ai beaucoup appris.

- Je peux encore vous apprendre des choses, mademoiselle.

- Oh mais cela m’intéresse monsieur. C’est important pour moi d’en savoir plus sur ce domaine. J’aime apprendre pour mon métier et je veux être une bonne gérante d’hôtel plus tard mais je dois filer. Je reprends le service dans très peu de temps mais je connais votre chambre. Je vous ferai signe. By the way, my name is Anaïs, conclut-elle dans un anglais parfait.

Et elle fila, me laissant rêveur au milieu de ce coin de paradis.

Ainsi, ma belle naïade s’appelait Anaïs. Elle me plaisait tant non pas car elle était belle et élégante mais car, de cette beauté et de cette élégance se dégageait un je ne sais quoi d’extrêmement sexuel. Comme si tout son corps réclamait les ébats les plus sulfureux, comme si sa discrétion bourgeoise, sa précieuse féminité n’aspiraient qu’à une chose : se faire dépraver, se faire soumettre, se faire explorer. Le genre de femme qui, élevée comme une princesse dans les bonnes manières et dans une vision propre, angélique et innocente de la femme, n’aime qu’une chose : salir cette image par les gestes et les mots les plus crus, les plus osés.

J’eus une dernière réflexion avant de retourner à l’hôtel. Pour être tout à fait honnête, ce n’était pas vraiment une réflexion. C’était plus simplement une pensée. Ce qui m’arrivait vérifiait à merveille l’adage populaire qui ne tente rien n’a rien. Car, qu’avais-je fait en allant me promener seul et hors des limites de complexe hôtelier sinon tenter, hasarder, provoquer le destin ? J’aurais pu tomber sur une bête sauvage, sur un serpent vénimeux mais non. J’ai poussé ma chance et j’ai eu une réponse magnifique, cette jeune stagiaire. Il faut donc tenter dans la vie, essayer, agir, bouger. L’immobilisme ne donne que des remords et des regrets.

Quand je me penche sur une femme pour l’embrasser, son acceptation ou non du baiser est secondaire. Je le fais surtout pour ne pas avoir à me dire, ensuite j’aurais du le faire, j’aurais du agir. Il en va de même pour la vie de tous les jours et les surprises qu’elle nous réserve. Il faut agir et non subir. Rien de nouveau là dedans mais cette rencontre ancrait encore un peu plus cette certitude en moi.

 

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