Le garage.

Après avoir jouis tous les deux, ils repartirent très vite. Ils avaient encre à faire avant de retourner au boulot.
Stéphane demanda à Séverine de nettoyer le foutre qui coulait sur son visage et ses seins avec ses dessous et de les enfiler ensuite. La semence chaude se mélangea très rapidement à sa cyprine et elle repartit sur le champ. A peine avait-elle enfilé son string et son soutien gorge qu’elle était de nouveau chaude.
« Rhabille toi et attend moi là, j’ai un coup de fil à passer. »
Il s’éclipsa quelques minutes puis revint. Il s’approcha de son oreille et lui murmura :
«  Tu me suis. On descend à la cave. Je te dirais que faire une fois en bas. »
Elle hocha la tête. Les mots étaient superflus. Ils se mirent en marche. Il n’alluma pas la lumière dans le couloir. Au bout de quelques pas, il lui ordonna de retirer son string et de le garder à la main jusque dans la cave. Dans l’escalier, il glissa une main sous sa jupe pour la doigter en marchant. Un doigt qui rentre au fond et d’un coup.
« Une bonne petite chatte qui mouille bien, dit-il son oreille. C’est bon à doigter un trou comme ca. Je vais bien m'amuser dedans.
- Oui, monsieur, répondit-elle dans un murmure.
-. On va bien la baiser la Séverine. Elle le sentira tout à l’heure au bureau. »
En traversant le parking, ils se turent. Il sortit une clé de sa poche et ouvrit une porte métallique puis s’écarta pour laisser passer Séverine. Toujours sans un mot.
Là, il ferma la porte et n’alluma pas la lumière.
«  On va faire ça dans le noir. Laisse moi t’expliquer. Devant toi, il y a un table et des coussins. Tu vas aller te pencher sur cette table, caler confortablement les coussins. Pet en un sur tes épaules et un sur ton ventre. Puis tu relèves ta jupe et je vais venir me baiser. Agrippe-toi bien à la table, je ne vais pas me retenir. Tu as compris ?
- Oui Monsieur.
- Bien alors vas-y Séverine. »
A petit pas, elle se mit à avancer dans le noir. Elle ne devinait rien de ce qui l’entourait. Il y avait juste une table devant elle sur laquelle il allait la prendre. Elle était toujours aussi humide et excitée. Elle heurta la table du pied. Elle rapprocha les cousins à tâtons puis se pencha dessus. Elle en cala un contre ses seins, et un autre sur son ventre. Puis elle écarta les jambes et souleva sa jupe. Enfin, elle agrippa le rebord de la table. Chaque chose qu’il lui faisait faisait monter d’un cran son excitation et son désir de voir ce qu’il y pourrait bien trouver encore. Elle aimait définitivement cela. Ses cuisses étaient moites tant elle mouillait.
«  Je suis prête Monsieur, se contenta-t-elle de dire quand elle fut en position.
- Bien bien. »
Sans un bruit, il approcha et là, il fit une chose que n’avait pas prévu Séverine...
Il lui donna une claque sur la fesse droite. un claque sonore et retentissante. Une claque qui fit mal à Séverine mais qui l'excita encoire plus. C'était un geste si sauvage, si soudain, si inattendu. elle l'avait pas imaginé qu'il la fesserait dans la cave. Elle se mordit la lèvre inférieure pour ne pas pousser un cri où se serait mêler le plaisir et la douleur.
La suite arriva vite : d'autres claques. Elle reçut sa première fessée. En tout, cinq claques bruyantes sur chacune de ses fesses, cinq claques qui augmentèrent encore son excitation. Elle n'en pouvait plus. Elle voulait la queue de Stéphane en elle.
" Baise-moi Stéphane, ne put-elle s'empécher de dire, de lacher, de gémir.
- Pardon ? lui répondit-il, sévère et inflexible. Tu as dis quoi ?
- Je... Pardon, cela m'a échappé... mais je suis si excitée...
- Je ne veux pas savoir. Tu n'as pas à me tutoyer. Donc tu mérites une seconde punition. Où as tu mis ton string ?
- Là, monsieur, à coté de moi, sur la table."
Sans ajouter un mot, il le pris.
" Ouvre ta bouche. Je vais m'assurer que tu ne dises plus de bétises pour ce midi."
Puis il mit le string en boule et le place dans la bouche de Séverine, qui en ferma les yeux. Elle perdait pied, elle ne réalisait plus très bien ce qui se passait. Elle se faisait soumettre un peu plus crument, un peu plus durement à chaque geste et son plaisir ne faisait qu'augmenter. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait.
Elle venait de recevoir une fessée, de s'exhiber à un balcon, de se faire jouir sur le visage et elle avait maintenant un string plein de mouille et de foutre dans la bouche et elle adorait cela.
Elle n'eut pas le temps de poursuivre plus loin ses pensées car Stéphane se mit à la prendre.
A la baiser, à la fourrer, à la remplir. Il fit cela sans la tendresse des amours simples et aériennes. Non. Il baisa Séverine a grands coups de queues. il lui rempli la chatte, il fourra son vagin, il frotta son gland contre son clito moite et gonflé de plaisir. Sa soumise était si chaude qu'elle glissait comme rarement il avait senti une chatte glissée. C'était bon de baiser cette chienne. Et ce n'était que le début, il le savait. Elle avait de l'appétit, cette chef de service. Elle en voulait encore. il l'entendait gémir avec son string humide dans la bouche. Elle en voulait plus mais Stéphane allait savoir se montrer patient. Pour la mener loin, pour en faire une vraie chienne, une salope docile, une soumise très obéissante. Quand Séverine approcha de l'orgasme, Stéphane sortit son serxe raide et lui colla un doigt ans le cul, ce qui provoqua définitivement son orgasme. Il ajouta, en meme temps que ce doigt, la phrase suivante :
" La prochaine fois, c'est par la que je passe."
Quand son orgasme fut passé, il retourna en elle, sans enlever le string dans sa bouche. Après l'avoir bien limer, il jouit sur ses fesses, lui ordonna d'étaler le foutre et de se rhabiller puis de retourner au boulot.
Oui, décidemment, je vais bien m'amuser avec cette Séverine, se dit-il plusieurs fois au cours de l'après midi...
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