Sa supérieure était donc à demi nue pour l'accueillir. Cette situation aurait pu êtr edrôle, voire risible dans d'autres circonstances mais là, Jeanne brulait de désir pour cette femme. Et là voir vétue d'un si joli petit slip, appuyée contr eson bureau ne fit qu'enfler son désir.
Les deux femmes ne se quittaient plus des yeux. Elles ne parlaient pas. Sofia Lambertazzi semblait comme offerte, les deux mains agrippant son bureau et les jambes légèrement écartées. Tout en elle indiquait à Jeanne qu'elle pouvait agir à sa guise, s'approcher, la toucher, faire le premier pas. Ce dont notre jeune, belle et très éxcitée héroïne ne se priva pas. Elle avait envie de faire à cette femme ce que les hommes aimaient faire avec elle.
Elle commença donc par poser ses deux mains sur les deux belles fesses de sa patronne, qui eu remua la tête de plaisir et poussa un petit soupir. Ensuite, après avoir bien pétri ses fesses, Jeanne fit glisser une de ses mains entre ses jambes, là où le lycra de la petite culotte de sa patronne recouvrait son sexe. C'était humide et moite. Jeanne prit un plaisir fou à sentir la mouille de Sofia. Elle promena son doigt le long du slip, elle explora sa patronne. Plus elle la sentait fondre, plus elle même inondait son string. QUand son doigt remonta un peu haut et vint careser le petit trou de Mme Lambertazzi, celle-ci remua la tête de plaisir et ne put retenir un frissonnant " oh oui Jeanne"
Celle-ci eut un soupir d'aise puis s'approcha encore un peu plus d'elle. Ses seins étaient contre son dos. Les fesses de sa patronne étaient collées contre son aine. Le contact était un peu plus intime à chaque seconde.
Mme Lambertazzi dégraffa alors son tailleur, laissant apparaitre deux seins menus mais ferme, derrière un soutien gorge sobre et simple, assorti au slip. Jeanne posa une main sur l'intérieur de sa cuisse gauche et une autre sur son nombril. Elle les fit toutes les deux remonter. Dans le même mouvement, Sofia basculait la tête. Leur cheveux se frolèrent, leur nuque aussi.
L'instant d'après, Jeanne avait une main dans la culotte de sa patronne, une main sur ses seins et leurs bouches se mélaient. Ce fut une vive décharge de plaisir, un orgasme difficilement contenue, une vague foudroyante de plaisir. Jeanne sentait le sexe trempée de sa patronne, son clitoris gonflé de plaisir, ses seins aux pointes durcies, sa bouche aimante.... leur langue se mélaient, leur corps étaient chauds, elles étaient toutesles deux tres excitées.
" C'est ta première fois avec une femme, demande Sofia après un long premier baiser.
Jeanne se contenta d'hocher la tête. Sa supérieure se mit alors à genoux devant son pantalon et le défit lentement. D'abord la ceinture, puis le premier bouton. Quand son string apparut, Mme Lambertazzi déposa un baiser dessus puis, à mesure que la fermeture éclair s'ouvrait, sa bouche descendait.
Jeanne posa ses fesses sur le bureau, se renversa et sa laissa faire. La langue de sa patronne faisait des merveilles. Sans retirer son string, elle joua à travers la fine dentelle de celui-ci avec son clitoris, pour la chauffer encore plus. Sa langue était bien plus adroite que tous les mecs qu'elle avait connus. Sofia, après avoir fait glisser le tout petit slip de son employée, s'insinua en elle, fouilla son sexe, écarta ses lèvres, titilla son clitoris à merveille.
Jeanne acheva de se dévetir pour se caresser les seins en même temps que sa patronne la léchait.
Jeanne se mordait les lèvres de plaisir. Une femme lui broutait le minou. Elle avait embrassé sa patronne. Penser à cela redoublait son plaisir. Et les doigts de Mme Lambertazzi redoublèrent aussi son plaisir. Car elle venait de s'insinuer en elle. Deux doigts dans sa chatte. Jeanne cria de plaisir. Sofia, tout en la doigtant, jouait avec le bout de sa langue sur son clitoris. Elle emmenait avec une précision sidérante son employée vers l'orgasme.
Et cet orgasme, elle lui donna quand, après avoi remplacé ses doigts dans son sexe, elle présenta l'index et le majeur qui en sortait devant la bouche de Jeanne en disant simplement
" goutez à votre plaisir Jeanne."
Elle s'empressa de le faire et, en léchant les doigts de sa patronne, en goutant à sa cyprine, en sentant des doigts en elle, Jeanne se laissa aller à un puissant orgasme. ELle vibra de tout son corps. Un transport de joie la souleva presque. Elle cria presque, elle gémit. Puis elle se reposa, vide et calmée sur son bureau, contentée, heureuse. Sa patronne lui souriait. Elles s'enlacèrent, elles s'embrassèrent et Jeanne repartit très rapidement.
Elle eut trois orgasmes ce matin là. Elle s'appliqua à bien lécher Sofia, elle lui fit tout ce qu'elle lui avait fait. A un moment, en 69 dans le bureau, Elle eut même l'impertinence de doigter le cul de sa patronne, qui apprécia grandement semble-t-il car son orgasme suivit de peu ce doigtage osé...
En ce samedi matin, Jeanne se découvrit un penchant pour les femmes. Elle en était ravie. Elle venait de jouir comme rarement.
Quand elles se rhabillèrent, Mme Lambertazzi saisit le string de Jeanne et, en le froissant dans sa main, le porta à son nez pour savourer l'odeur intime de son employée. Jeanne ne put s'empécher de rire.
" Je peux le garder, demanda-t-elle, un peu confuse de faire une telle demande
- Mais alors, que vais-je mettre moi maintenant, lui repondit Jeanne, amusée
- La mienne, se contenta de dire Sofia."
Puis elle se baissa, ramassa la sienne, et, à genoux devant son employée, enfila elle même son petit slip en lycra le long des jambes de Jeanne. En se relevant, elles échangèrent un long baiser. Elles seraient reparties si le téléphone de Mme Lambertazzi n'avait pas sonné. C'était un coup de fil auquel elle ne pouvait se soustraire. Elles se quittèrent donc ainsi. Le soir même, Jeanne, en repensant à la matinée, n'eut aucun mal à inonder le joli petit slip de sa patronne
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