Donc Séverine en était à se contempler dans le miroir, vétue comme Stéphane le lui a demandé. Une jupette volante sans rien dessous et un soutien gorge lolita très pigeonnant. Elle mouille déjà abondamment. et la séance approche.

En effet, peu après, son téléphone vibre. Elle reçoit un sms de Stéphane. il est bref et clair : sort dans le couloir et attend moi. Un mélange de peur et d'excitation la saisit. C'est le seconde fois qu'il lui demande de s'exhiber et c'est la seconde fois qu'elle va le faire.

ELle prend sa respiration à plein poumon et sort dans cette tenue. Elle ne sait ce qui l'attend et c'est justement là que réside l'excitation. Que va-t-il se passer ? Secrètement, elle aimerait se faire mater, qu'un homme reluque ses fesses, fasse un remarque crue ou exprime l'excitation qu'il ressent à voir une femem ainsi vétue. Elle veut être bonne, elle veut éveiller des désirs crus et sexuelles. QUe les choses soient dites une bonne fois pour toute : elle a envie d'être chienne, d'être une chienne.

Donc elle fait un pas dans le couloir. La voila en tenue très légère dans un couloir avec au moins vingt chambres. Et il est un peu plus de 20h, une heure où les gens vont et viennent dans les couloirs. Séverine s'attendait à voir Stéphane dans le couloir mais il n'y a personne. Le couloir est vide. La lumière est éteinte même. Elle reste debout, sans savoir que faire.

Quand une porte fait entendre le grincement de ses gonds. Séverine est tétanisée, de peur autant que d'une certaine forme d'excitation. Un homme apparait lentement, comme s'il prenait son temps pour le moindre geste. D'abord sa main sur la porte, puis son avant bras et enfin son épaule. Il tourne le dos à Séverine dans son geste pour ouvrir et franchir définitivement la porte.

C'est là que le téléphone de Séverine se met à vibrer. Un texto. Elle rentre précipitamment, contente de le recevoir et de mettre ainsi un terme à cette situation. Mais le texto, bien loin de tourner la page, poursuitle jeu. Il est ainsi formulé : Va demander du feu à l'homme dans le couloir.

Séverine est comme frappée par la foudre. Un éclair la paralyse mais un éclair qui lui donne une sorte de cours jus de plaisir, bien au fond d'elle même. Mécaniquement, elle réajuste son petit soutien gorge et, en poussant un profond soupir, elle se dirige vers la porte. L'homme est au milieu du couloir. Elle le hèle mais pas assez fort.

"Monsieur ! Tente-t-elle enfin, de vive voix. "

L'homme se retourne. La lumière est éteinte, ce qui fait qu'il ne la distingue qu'à moitié.

"Auriez vous du feu, s'il vous plait ? "

L'homme s'approche et, contre toute attente, dit :

"est-ce une tenue pour demander du feu madame dans un hôtel respectable ? On voit vos seins et je suis sur qu'on verrait votre petite culotte si vous en portiez une sous cette jupe.

- Je... excusez moi monsieur mais je sortais juste pour demander du feu.

- Vous voulez du feu madame ? demande l'homme, aprement, sans trop de politesse.

- Oui, monsieur, répondit-elle, un peu intimidé par le ton de l'homme, au demeurant dséduisant et sur de lui.

- Alors montre moi tes seins, petite salope."

Séverine n'a pas le temps de réagir. La porte grince derrière elle. Une voix se fait entendre, nue voix qu'elle reconnait entre mille. Celle de Stéphane.

" C'est vrai ca, Séverine, monter tes seins à ton ami."

C'est là, donc, que commence la séance à l'hôtel de Séverine...

à suivre

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