Jeanne vient de passer une semaine en famille avec ses oncles, ses tantes, ses grands parents et ses cousins. Bonne ambiance mais pas grand chose à faire. Jeux de cartes, longs repas, balades en forêt, s’occuper du vaste jardin. A la fin, Jeanne trouvait le temps long un peu.

Tous les soirs, seule dans son lit, elle s’était caressée comme rarement. Depuis qu'elle avait décidée de débrider son appétit sexuel, elle n'avait jamais passée plus de cinq jours sans faire l'amour, sans baiser, sans tailler une pipe à un homme ou s'amuser avec une femme, sa patronne en l'occurrence, qu'elle a revue un soir à l'hôtel, pour une nuit très chaude avec cette femme mariée et mère de famille qui se donnait aux femmes sans retenue, totalement. Mme Lambertazzi avait réservé un bel hôtel à Paris pour une réunion au siège de la société, avec sa secrétaire.

Elles y étaient allées en TGV. Pendant les deux heures que durèrent le trajet, Mme Lambertazzi excita Jeanne en exhibant discrètement la blancheur de sa petite culotte, qu'elle alla même enlever aux toilettes, pour finir le trajet en montrant son intimité à son employée. A peine avaient elles franchies la porte de la chambre que Jeanne, chauffée comme rarement, fit tomber sa jupe et rouler son string en disant à sa patronne « Ma chatte a besoin de votre langue, madame. »

Mme Lambertazzi, elle aussi très excitée, s’était mis à genoux incontinent et, les mains sur les fesses de sa jeune et belle employée, écarta celles-ci avant de dire : « Mademoiselle Jeanne, votre minou d'employée attendra un peu, j'ai envie de m'occuper de son voisin. »

Puis, sans vergogne, elle se lança dans un long et expert anulingus, qui arracha en premier lieu un petit cri de surprise puis un long soupir à Jeanne. Toute la nuit fut du même acabit, Jeanne rendant la pareille à sa patronne, avec les doigts comme avec sa langue.

Dans la maison familiale, Jeanne, l'avant dernier soir du séjour, devant sa glace, vêtue de la parure en dentelle qu'elle portait le jour de sa virée parisienne avec sa patronne, se mit à penser au sexe en général. Rapidement, elle prit une chaise qui traînait non loin et, assise devant le miroir, écarta les jambes et glissa une main dans son string, rapidement moite.

Il y aurait eu une queue non loin, elle se serait jetée dessus avec avidité. Jeanne était très excitée. Etant seule, la jeune femme écarta encore plus les jambes et se glissa un doigt puis, rapidement, un second. Ensuite elle roula son string trempé à ses pieds et approcha ses doigts luisants de sa bouche. L'envie de parler s'empara d'elle. Elle fit les questions et les réponses, les remarques et les objections de sa voix murmurante.

« Alors Jeanne, on se doigte devant la glace ?

- Oh oui ma chérie, se répondit-elle. Et on aime cela.

- Regarde comme je mouille. »

En disant cela, elle approcha les deux doigts luisant de sa cyprine devant la glace.

« Oh dis donc, petite coquine, je suis sur que tu as envie de lécher ces deux doigts.

- tu ne te trompes pas. »

Alors Jeanne passa langoureusement sa langue sur ses deux doigts, comme si elle léchait sa patronne ou une queue bien dure. Tout en faisant cela, elle se regardait droit dans les yeux. Elle en voulait plus, encore plus. Du cul, du sexe, du cru mais elle était seule. Jeanne continua donc à se parler.

« Ma pauvre petite fille, tu es seule. Tu ne peux que te doigter et te branler. Alors on va faire ca bien.

- Oh oui, vas y ! Je suis très chaude ce soir alors profitons en. »

En disant cela, elle sorti ses seins de son soutien gorge et commença à jouer avec. A se pincer les pointes, à les lécher. Elle ne cessait de sourire, de se sourire. Elle se doigtait et se caressait les tétons avec ses doigts luisants.

« Tu m'excite ma chérie, poursuivit-elle. Tu es bandante, tu excites les mecs et tu fais mouiller ta patronne.

- Tu sais comment on appelle ca, en langage de mec ?

- Oh oui, je sais très bien mais dis le moi...

- Une salope, Jeanne, une petite chienne. Tu fais ta salope ce soir devant cette glace.

- Dis le encore, s'il te plait ma chérie.

- Tu es une belle salope, Jeanne. Tu m'excites. Regarde comme je mouille. Mon string est trempé. »

Là, elle ramassa son string et l'exhiba devant la glace. Il était à tordre. Et Jeanne, plus excitée que jamais, se redressa après avoir dégraffé son soutien gorge. Elle tourna le dos à la glace pour mater ses fesses, qu'elle caressa longuement.

« Beau petit cul Jeanne n'est ce pas ?

- Oui ma chérie, on a envie de jouer avec...

- Vraiment ? se dit-elle en écartant ses deux jolies fesses, pour exhiber devant la glace son petit trou, son oeillet froncé que seuls la langue et un doigt de sa patronne avaient jamais exploré.

- Oh mais je t'en prie. »

Et là, fermant les yeux d'aise, Jeanne se glissa un doigt dans le cul. Elle y prit un plaisir fou.

" Mais dis donc, qu'est ce que tu fais, se dit-elle ensuite

- Je me doigte la cul, ma chérie, et j'aime ca. Je me doigte le cul comme une bonne petite salope. »

Elle y retourna, encore un peu plus excitée. Rapidement, le va et vient de son doigt ne lui suffit plus. Elle regarda autour d'elle et se souvint qu'il y avait des bougies dans la commode à côté de son lit. Elle s'empara de l’une d’elles ainsi que  d’un préservatif qu'elle avait dans son sac. Elle n'aurait jamais cru qu'elle s'en servirait ainsi. Elle recouvrit la bougie du fin film plastique et, devant la glace, se mit à la lécher. Elle aurait tant aimé une queue bien dure...

Après avoir joué de sa langue sur le candélabre lubrifié, elle se tourna de nouveau, son cul face à la glace puis elle posa délicatement la bougie sur son petit trou.

« Et bien voila, tu as une bougie dans le cul, se dit-elle en enfonçant lentement, doucement, la tige de cire entre ses fesses. »

Jeanne s'était bien doigté et le cierge glissa de lui même en elle. Elle s'attendait à une légère douleur, à sentir son petit trou résister à l'introduction de la bougie mais il n'en fut rien. La bougie, en quelques secondes, se retrouva dans son cul. Elle écarta les fesses pour admirer le cierge au deux tiers enfoui en elle, dans son petit trou et se mit à sourire de plaisir.

« C'est bon de se sodomiser devant la glace ? Vivement que ce soit une vraie queue à la place. »

Peu après, Jeanne gagna son lit où elle se mit a jouer avec la bougie entre les fesses. Le va et vient anal de la bougie eut vite raison d'elle. Elle eut un orgasme fulgurant, qu'elle contint à grande peine en mordant son oreiller. Le lendemain, elle pensa toute la journée à son expérience nocturne, qu'elle réitéra sans vergogne le soir même, mais avec une bougie un peu plus longue et un peu plus épaisse. 
Durant le trajet retour, elle n'eut qu'une pensée : le prochain mec que je me fais, il me prend le cul. Cette idée suffit à tremepr sa lingerie en moins de cinquante kilomètres

 

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