nicosens

donc ce sera une histoire de la belel et coquine Jeanne.
Il y a peu, elle a découvert les joies de la sodomie. Elle ne souhaite évidemment pas s'arrêter en si bon chemin. Il lui reste pas mal de chose à découvrir. Et si on suit sa progression en matière de sexe, l'étape suivant est la double pénétration. Voilà l'idée qui l'habite en ce moment. Et la réalisation de ce fantasme s'est présenté à elle un dimanche matin; complètement par hasard.

Plantons le décor : dimanche matin, beau temps, dans l'immeuble de Jeanne. Elle revient de son jogging dominical, c'est à dire qu'elle porte un petit short bien moulant et un debardeur sportif qui comprime mal sa généreuse poitrine. Dans le hall de l'immeuble, un de ses voisins qui déménage, avec un ami à lui. Elle ne lui a pour ainsi dire jamais parlé mais là, en lui voyant en plein effort, avec son bel ami, une idée germe dans sa tête.
En la voyant arriver de son jogging, en sueur et avec le mouvement de ses seins sur les marches menant à la porte d'entrée, ils se précipitent pour lui ouvrir. Elle sent sur son corps leur regard qui la deshabille. Elle leur fait un grand sourire.
" Bonjour voisin, on déménage ?"
Sur ce, s'engage une discussion où Jeanne ne se prive pas pour leur envoyer des regards incendiaires. la conclusion de leur courte discussion fut la suivante : elle les invita à manger chez elle, autant pour faire un peu connaissance avant qu'il parte ( il n'est jamais trop tard pour se connaitre... ) que parce qu'ils n'ont plus rien à manger .
Voilà donc Jeanne ravi de son dimanche midi. Elle les quitte en s'avancant vers l'ascenseur. Elle sait qu'ils mattent son cul et qu'ils vont en parler quand elle aura fermer la porte. ALors elle décide de les allumer un peu plus. Sous pretexte de desserrer ses lacets, elel se baisse devant l'ascenseur et leur laisse bien le temps de lui reluquer les fesses. Elle sait qu'ils doivent voir l'élastique de sa petite culotte et cela commence lentement à l'exciter.
Quand la porte de l'ascenseur se ferme, elle entende ce simple commentaire dans la bouche de l'ami de son voisin :
"putain, elle est bonne ta voisine mec"
Et non seulement elle est bonne, se dit-elle intérieurement, mais en plus, elle a le feu au cul.
A suivre donc, très rapidement
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Bien le bonjour, chers et chères lectrices...

et bien voilà, une fois de plus, je vous demande votre avis sur la prochaine nouvelle. Que voulez vous lire ? Quelle héroïne souhaitez vous découvrir de nouveau à l'action dans mon prochain récit ?

J'ai bien compris qu'il ne faut pas espérer trop de réponse mais de temps en temps, pourquoi ne pas tenter... donc voilà trois choix devant vous :

- un récit de Séverine, qui se ferait soumettre d'une façon bien particulière par Stéphane

- une aventure de Jeanne, qui découvrirait les joies des jeux avec deux hommes

- la suite de mon aventure avec Dalida

it's your choice... la femme ayant reçue le plus grand nombre de voix sera l'héroïne du prochain récit !

 

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Donc Jeanne a le feu au cul. Elle s'est amusée ave cune bougie et maintenant, elle veut le remplacer par un sexe d'homme, raide et dur. Le lendemain de son retour de vacances, au boulot, elle cherche comment satisfaire son désir de sodomie. Elle pourrait s'inscrire sur un site de rencontre et se taper un mec rapidement, elle pourrait sauter sur un mec dans la rue, elle pourrait céder aux avances d'un de ses collègues de bureau. Mille et une façon de se mettreun mec dans son lit ce soir. Mais elle ne choisit aucune de celle-ci. L'idée définitive de sa soirée lui vient aux toilettes, alors qu'elle se regarde dans la glace, en se souriant. La dernière fois qu'elle s'est sourit de cette façon devant un mirori, c'était avant de se glisser une bougie entre les fesses. Avant de sortir des toilettes, elle pose un doigt sur ses lèvres, y dépose un baiser et va le poser sur le reflet de ses lèvres.
" Soyons folle, ma chérie, on ne vit qu'une fois. "
Ala pause midi, elle recherche dans son répértoire le numéro d'un certain Thierry, qu'elle a un peu fréquenté sans jamais sortir avec lui mais dont elle sait les qualités de bon coup. Deux de ses amies qui ont baisé avec lui lui ont  vanté les mérites de son coup de rein. Elle l'appelle. Après les politesses d'usage, elle en vient aux faits.
" dis-moi, Thierry, tu fais quoi ce soir ?
- Je vois ma copine, pourquoi ?
- Ah, tu as une copine, je ne savais pas, dit-elle, en forcant sa déception.
- C'est tout récent, depuis un mois. tu avais quelque chose à me proposer ?
- Oui, enfin, je voulais t'inviter à manger chez moi.
- Ah oui ? fit-il, soudainement interéssé.
- Oui mais bon, si tu es en couple, je ne vais pas te déranger plus...
- On avait prévu d'aller au cinéma donc, dans le pire des cas, je peux décaler.
- Vraiment ? Ce serait super gentil de ta part. Et crois-moi, tu ne le regretteras pas..."
En raccrochant, elle était déja excitée. L'après midi passa torp lentement à son goût. En rentrant chez elle, elle ne prit pas la peine de préparer un repas. Elle avait envie de baiser, et rien d'autre. Elle enfila une tenue provocante. Un pantalon taille basse et un débardeur blanc avec des dessous noirs. Il ne fallait pas être un fin observateur pour deviner la couleur de ses sous-vetements. C'est la première fois de sa vie qu'elle agissait de la sorte : inviter un mec chez elle pour une seule et unique chose : du sexe.
QUand il sonna, elle se précipita pour lui ouvrir. Thierry était l'exemple parfait du beau brun ténébreux.
Leurs regards, quand ils se croisèrent, étaient sur la même longueur d'onde. Puis ses yeux descendirent le long de son corps. Il émit un léger sifflement d'admiration. Elle lui sourit et fit un tour sur elle-même. AUtant pour lui montrer ses fesses que la dentelle de son string qui dépassait légèrement.
" Tu aimes ? demanda-t-elle innoccement.
- Euh... comment dire ? Oui, Jeanne, j'aime beaucoup.Si je ne me trompe pas, ton string est un scandale non ?
- Oui, exactement. L'étiquette dépasse ?
- C'est cela.
- Tu peux me la remettre en place, je n'aime pas quand ce dépasse, ca fait négligé.
- Avec plaisir."
Puis il s'exécuta. Il glissa deux doigts derrière le string, les fit glisser le long de sa peau puis rentra l'étiquette.
" Ca commence très fort... Quelque chose me dit que j'ai bien fait de décommander ma copine."
Elle se retourna.
" OUi, Thierry, tu as bien fait..."
Elle eut un instant d'hésitation puis décida de se jeter définitivement à l'eau. ELle n'avait aucune envie de minauder. Elle était là pour une chose bien précise.
" EN fait, tu as beaucoup de chance. Ce soir, j'ai envie de gouter à un nouveau plaisir et je sais pas Farida et Sophie que tu es doué en la matière. J'ai envie de me faire sodomiser. J'ai envie que tu m'encules, si tu préfères.
- Je préfères, oui."
Elle eut un sourire de satisfaction.
" ALors, passons au salon, je te prie.
- Ce cul, Jeanne... il est superbe ! dit-il alors qu'elle passait devant. Et dire que je vais m'amuser avec. C'est mieux que le ciné.
-Je connais ta copine, dit-elle en retirant son debardeur alors que Thierry s'asseoit sur le canapé.
- Non, tu ne la connais pas mais là, je te cacherais pas que je n'ai pas envie de parler d'elle. Tes seins ont l'air aussi beaux que ton cul, Jeanne.
- Merci."
Puis elle se mit a genoux et defit son pantalon. A peine eut-elle soulever le boxer qu'une belle queue bien raide apparut.
" Mmmm... elle est belle, dit-elle en commençant a titiller le gland de sa langue. Elle me plaiut déja.
- Oh merde Jeanne, qu'est ce que tu m'excites. Je crois que je vais pas tenir très longtemps dans un premier temps.
- Pas grave. On a toute la soirée."
Puis elle se mit franchement à le sucer. Elle avala sa queue et fit des merveilles avec.
" Je ne te connaissais pas ainsi, Jeanne, arriva-t-il à dire, entre deux soupirs.
- J'ai beaucoup changé, en effet, lui répondit-elle en le regardant dans les yeux. J'ai envie de m'amuser un peu."
Puis elle défit son soutit et se mit à caresser la queue bien dure avec ses tétons. PEndant ce temps là, Thierry, qui s'était rapproché d'elle, défit son pantalon, le fit glisser et commençà à la doigter, à caresser ses fesses.
" Mais quel cul tu as! s'exclama-t-il, excité comme rarement. Tu es vraiment bandante, Jeanne.
- Et ce cul, il est pour toi ce soir.
- Crois moi, je ne vais pas me géner."
Puis, sans prévenir, il lui doigta le cul. Une vague de plaisir la parcourue. Elle s'arréta de le lécher et le regarda de nouveau, sans rien dire. Juste en lui souriant. IL retourna dans son petit trou. Plus il la doigtait, plus elle était excitée. A un moment, n'en pouvant plus, elle sortit de sous un coussin du canapé du gel lubrifiant et lui tendit.
" Prends moi par derrière, Thierry. J'en meure d'envie."
Sans un mot, il se leva du capané et vint s'agenouiller derrière elle. Elle posa ses épaules sur le canapé et attendit. La suite vint vite. Il déposa une noisette de gel sur son anus, la dooigta encore et lui demanda s'il elle était prête. ELle hocha la tête pour lui dire que oui.
Puis il posa son gland sur son petit trou et poussa doucement. Jeanne s'ouvrir aussi facilement que pour la bougie. ELle se mordit les lèvres, plus de plaisir que de douleur au début puis, rapidement, seulement de plaisir.
" Et voila Jeanne, te voila sodomisée.
- Merci, Thierry, c'est très bon, dit-elle en tournant la tête pour le regarder dans les yeux et lui montrer qu'elle en voulait plus. Tu peux aller plus vite, si tu veux."
Elle dit cela pour augmenter l'excitation. Il raffermit la prise de ses mains sur ses hanches et augmenta la cadence entre ses fesses. Il lui baisait le cul à présent. Jeanne se mit à g"émir de plaisir, à réclamer plus. ELle était chaude comme rarement.
Ils changèrent de position : de la levrette à la cuillère, puis de la cuillère au missionnaire, à chaque fois entre les fesses de Jeanne, qui eut un orgasme dévastateur. ILs remirent cela deux fois dans la soirée. En se couchant, Jeanne sentait une douce chaleur rayonner entre ses fesses. Thierry ne l'avait pas ratée. Elle venait de perdre son pucelage anale de la plus belle des façons. Elle s'endormit rassasiée.

 

 

 

 

 

 

 

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Jeanne vient de passer une semaine en famille avec ses oncles, ses tantes, ses grands parents et ses cousins. Bonne ambiance mais pas grand chose à faire. Jeux de cartes, longs repas, balades en forêt, s’occuper du vaste jardin. A la fin, Jeanne trouvait le temps long un peu.

Tous les soirs, seule dans son lit, elle s’était caressée comme rarement. Depuis qu'elle avait décidée de débrider son appétit sexuel, elle n'avait jamais passée plus de cinq jours sans faire l'amour, sans baiser, sans tailler une pipe à un homme ou s'amuser avec une femme, sa patronne en l'occurrence, qu'elle a revue un soir à l'hôtel, pour une nuit très chaude avec cette femme mariée et mère de famille qui se donnait aux femmes sans retenue, totalement. Mme Lambertazzi avait réservé un bel hôtel à Paris pour une réunion au siège de la société, avec sa secrétaire.

Elles y étaient allées en TGV. Pendant les deux heures que durèrent le trajet, Mme Lambertazzi excita Jeanne en exhibant discrètement la blancheur de sa petite culotte, qu'elle alla même enlever aux toilettes, pour finir le trajet en montrant son intimité à son employée. A peine avaient elles franchies la porte de la chambre que Jeanne, chauffée comme rarement, fit tomber sa jupe et rouler son string en disant à sa patronne « Ma chatte a besoin de votre langue, madame. »

Mme Lambertazzi, elle aussi très excitée, s’était mis à genoux incontinent et, les mains sur les fesses de sa jeune et belle employée, écarta celles-ci avant de dire : « Mademoiselle Jeanne, votre minou d'employée attendra un peu, j'ai envie de m'occuper de son voisin. »

Puis, sans vergogne, elle se lança dans un long et expert anulingus, qui arracha en premier lieu un petit cri de surprise puis un long soupir à Jeanne. Toute la nuit fut du même acabit, Jeanne rendant la pareille à sa patronne, avec les doigts comme avec sa langue.

Dans la maison familiale, Jeanne, l'avant dernier soir du séjour, devant sa glace, vêtue de la parure en dentelle qu'elle portait le jour de sa virée parisienne avec sa patronne, se mit à penser au sexe en général. Rapidement, elle prit une chaise qui traînait non loin et, assise devant le miroir, écarta les jambes et glissa une main dans son string, rapidement moite.

Il y aurait eu une queue non loin, elle se serait jetée dessus avec avidité. Jeanne était très excitée. Etant seule, la jeune femme écarta encore plus les jambes et se glissa un doigt puis, rapidement, un second. Ensuite elle roula son string trempé à ses pieds et approcha ses doigts luisants de sa bouche. L'envie de parler s'empara d'elle. Elle fit les questions et les réponses, les remarques et les objections de sa voix murmurante.

« Alors Jeanne, on se doigte devant la glace ?

- Oh oui ma chérie, se répondit-elle. Et on aime cela.

- Regarde comme je mouille. »

En disant cela, elle approcha les deux doigts luisant de sa cyprine devant la glace.

« Oh dis donc, petite coquine, je suis sur que tu as envie de lécher ces deux doigts.

- tu ne te trompes pas. »

Alors Jeanne passa langoureusement sa langue sur ses deux doigts, comme si elle léchait sa patronne ou une queue bien dure. Tout en faisant cela, elle se regardait droit dans les yeux. Elle en voulait plus, encore plus. Du cul, du sexe, du cru mais elle était seule. Jeanne continua donc à se parler.

« Ma pauvre petite fille, tu es seule. Tu ne peux que te doigter et te branler. Alors on va faire ca bien.

- Oh oui, vas y ! Je suis très chaude ce soir alors profitons en. »

En disant cela, elle sorti ses seins de son soutien gorge et commença à jouer avec. A se pincer les pointes, à les lécher. Elle ne cessait de sourire, de se sourire. Elle se doigtait et se caressait les tétons avec ses doigts luisants.

« Tu m'excite ma chérie, poursuivit-elle. Tu es bandante, tu excites les mecs et tu fais mouiller ta patronne.

- Tu sais comment on appelle ca, en langage de mec ?

- Oh oui, je sais très bien mais dis le moi...

- Une salope, Jeanne, une petite chienne. Tu fais ta salope ce soir devant cette glace.

- Dis le encore, s'il te plait ma chérie.

- Tu es une belle salope, Jeanne. Tu m'excites. Regarde comme je mouille. Mon string est trempé. »

Là, elle ramassa son string et l'exhiba devant la glace. Il était à tordre. Et Jeanne, plus excitée que jamais, se redressa après avoir dégraffé son soutien gorge. Elle tourna le dos à la glace pour mater ses fesses, qu'elle caressa longuement.

« Beau petit cul Jeanne n'est ce pas ?

- Oui ma chérie, on a envie de jouer avec...

- Vraiment ? se dit-elle en écartant ses deux jolies fesses, pour exhiber devant la glace son petit trou, son oeillet froncé que seuls la langue et un doigt de sa patronne avaient jamais exploré.

- Oh mais je t'en prie. »

Et là, fermant les yeux d'aise, Jeanne se glissa un doigt dans le cul. Elle y prit un plaisir fou.

" Mais dis donc, qu'est ce que tu fais, se dit-elle ensuite

- Je me doigte la cul, ma chérie, et j'aime ca. Je me doigte le cul comme une bonne petite salope. »

Elle y retourna, encore un peu plus excitée. Rapidement, le va et vient de son doigt ne lui suffit plus. Elle regarda autour d'elle et se souvint qu'il y avait des bougies dans la commode à côté de son lit. Elle s'empara de l’une d’elles ainsi que  d’un préservatif qu'elle avait dans son sac. Elle n'aurait jamais cru qu'elle s'en servirait ainsi. Elle recouvrit la bougie du fin film plastique et, devant la glace, se mit à la lécher. Elle aurait tant aimé une queue bien dure...

Après avoir joué de sa langue sur le candélabre lubrifié, elle se tourna de nouveau, son cul face à la glace puis elle posa délicatement la bougie sur son petit trou.

« Et bien voila, tu as une bougie dans le cul, se dit-elle en enfonçant lentement, doucement, la tige de cire entre ses fesses. »

Jeanne s'était bien doigté et le cierge glissa de lui même en elle. Elle s'attendait à une légère douleur, à sentir son petit trou résister à l'introduction de la bougie mais il n'en fut rien. La bougie, en quelques secondes, se retrouva dans son cul. Elle écarta les fesses pour admirer le cierge au deux tiers enfoui en elle, dans son petit trou et se mit à sourire de plaisir.

« C'est bon de se sodomiser devant la glace ? Vivement que ce soit une vraie queue à la place. »

Peu après, Jeanne gagna son lit où elle se mit a jouer avec la bougie entre les fesses. Le va et vient anal de la bougie eut vite raison d'elle. Elle eut un orgasme fulgurant, qu'elle contint à grande peine en mordant son oreiller. Le lendemain, elle pensa toute la journée à son expérience nocturne, qu'elle réitéra sans vergogne le soir même, mais avec une bougie un peu plus longue et un peu plus épaisse. 
Durant le trajet retour, elle n'eut qu'une pensée : le prochain mec que je me fais, il me prend le cul. Cette idée suffit à tremepr sa lingerie en moins de cinquante kilomètres

 

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Donc Séverine est en jupette volante et soutif de lolita, avec Stéphane et un ami à lui. Elle est a genoux sur le lit et attend. Il y a deux hommes pour elle. Elle s'en serait offusquée il y a quelques semaines mains maintenant, à l'idée d'être jetée en pature à deux hommes, elle ferme les yeux d'aise et s'abandonne. Une rupture radicale a eu lieu dans sa sexualité. Elle recherche tout ce qui la faisait fuir avant, tout ce qu'elle condamnait auparavant. Elle était bonne épouse fidèle... elle ne veut plus qu'être une soumise obeissante et docile.
Ce qu'a très bien compris Stéphane. C'est pour cela qu'il a invité un ami à lui. Pour jouer avec sévérine. Ce qu'ils vont faire sans se géner.
" Regarde moi cette chienne, dit Stéphane à son ami. Elle frétille du cul. Elle en veux, crois moi. Hein que tu en veux, Séverine ?
- Oui, monsieur, j'en veux.
- Et pourquoi en veux-tu ?
- Je ne sais pas monsieur.
- tu en veux car tu es une salope
- oui monsieur, je suis votre salope."
Elle n'a pas fini sa phrase que deux paire de main s'empare d'elle. Elle en a un soupir. Ils soulèvent sa jupe, pressent ses fesse, les écartes, la doigte... Ils concentrent leurs efforts sur son entre jambe, sur ses deux trous. Elle a des doigts experts en elle. Ils la plottent, la caressent rugueusement. Elle est leur, ils jouent avec son entrejambe. A un moment, elle se retrouve avec deux doigts dans chaque trou. Elle est si bien doigtée qu'elle sent un orgasme monter. Les hommes le comprenant, ils sortent d'un coup tous les doigts, pour les présenter à sa bouche. Elle se jette dessus. Snas distinction d'origine... tous les doigts qui ont fouillé son intimité, elle les léches, goulument, avidemment. Elle aime son goût, elle aime tout ce qu'ils lui font.
Son orgasme arrive finalement quand ils s'empare chacun d'un de ses seins pour le malmener. Et là, ils n'y vont pas de main morte. Ils tirent ses pointes, ils giflent ses seins, ils les malaxent, les malmènent.  Séverine sent revenir son orgasme. Elle se met à vibrer. Une puissante lame de fond s'empare d'elle et commence à la submerger. Les deux hommes le comprennent bien et redoublent leurs attentions perverses sur leur soumise à quatre pattes sur le lit.
Stéphane lui relève la tête et lui doigte la bouche avec trois doigts en lui murmurant des mots crus à l'oreille :
" tiens petite salope, laisse moi doigter ta bouche de suceuse."
La bouche pleine, Séverine ne peut pas répondre mais ses yeux remercient son maître. Puis, d'un geste encore plus cru, l'autr homme crache sur son cul et commence à la doigter par derrière, par le petit  trou; Un doigt expert, qui s'introduit loin en elle et achève de la faire jouir.
Séverine mort les doigts dans sa bouche tant le plaisir est grand. Elle est leur petite chienne. Elle est docile et obéissante. Elle aime cela. Et elle pousse un cri.
" Regarde moi cette petite chienne. On la doigte, on lui parle crument et elle aime cela ! "
Cet orgasme de Séverine fut le premier de la soirée. Deux suivront, à mesure que les gestes des deux hommes sur son corps se durciront. Elle aura le droit à une fessée donné à la cravache, elle sera attachée au pied du lit et longuement baisée, elle sera forcée par la bouche pour, enfin recevoir deux longues éjaculations sur le visage.
Stéphane et son ami, après lui avoir repeint le visage, la laisseront seule dans la chambre.
En partant, Stéphane glisse à l'oreille de Séverine les quelques mots suivants :
" à la prochaine séance, c'est ton anus qui va prendre cher."
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Donc Séverine en était à se contempler dans le miroir, vétue comme Stéphane le lui a demandé. Une jupette volante sans rien dessous et un soutien gorge lolita très pigeonnant. Elle mouille déjà abondamment. et la séance approche.

En effet, peu après, son téléphone vibre. Elle reçoit un sms de Stéphane. il est bref et clair : sort dans le couloir et attend moi. Un mélange de peur et d'excitation la saisit. C'est le seconde fois qu'il lui demande de s'exhiber et c'est la seconde fois qu'elle va le faire.

ELle prend sa respiration à plein poumon et sort dans cette tenue. Elle ne sait ce qui l'attend et c'est justement là que réside l'excitation. Que va-t-il se passer ? Secrètement, elle aimerait se faire mater, qu'un homme reluque ses fesses, fasse un remarque crue ou exprime l'excitation qu'il ressent à voir une femem ainsi vétue. Elle veut être bonne, elle veut éveiller des désirs crus et sexuelles. QUe les choses soient dites une bonne fois pour toute : elle a envie d'être chienne, d'être une chienne.

Donc elle fait un pas dans le couloir. La voila en tenue très légère dans un couloir avec au moins vingt chambres. Et il est un peu plus de 20h, une heure où les gens vont et viennent dans les couloirs. Séverine s'attendait à voir Stéphane dans le couloir mais il n'y a personne. Le couloir est vide. La lumière est éteinte même. Elle reste debout, sans savoir que faire.

Quand une porte fait entendre le grincement de ses gonds. Séverine est tétanisée, de peur autant que d'une certaine forme d'excitation. Un homme apparait lentement, comme s'il prenait son temps pour le moindre geste. D'abord sa main sur la porte, puis son avant bras et enfin son épaule. Il tourne le dos à Séverine dans son geste pour ouvrir et franchir définitivement la porte.

C'est là que le téléphone de Séverine se met à vibrer. Un texto. Elle rentre précipitamment, contente de le recevoir et de mettre ainsi un terme à cette situation. Mais le texto, bien loin de tourner la page, poursuitle jeu. Il est ainsi formulé : Va demander du feu à l'homme dans le couloir.

Séverine est comme frappée par la foudre. Un éclair la paralyse mais un éclair qui lui donne une sorte de cours jus de plaisir, bien au fond d'elle même. Mécaniquement, elle réajuste son petit soutien gorge et, en poussant un profond soupir, elle se dirige vers la porte. L'homme est au milieu du couloir. Elle le hèle mais pas assez fort.

"Monsieur ! Tente-t-elle enfin, de vive voix. "

L'homme se retourne. La lumière est éteinte, ce qui fait qu'il ne la distingue qu'à moitié.

"Auriez vous du feu, s'il vous plait ? "

L'homme s'approche et, contre toute attente, dit :

"est-ce une tenue pour demander du feu madame dans un hôtel respectable ? On voit vos seins et je suis sur qu'on verrait votre petite culotte si vous en portiez une sous cette jupe.

- Je... excusez moi monsieur mais je sortais juste pour demander du feu.

- Vous voulez du feu madame ? demande l'homme, aprement, sans trop de politesse.

- Oui, monsieur, répondit-elle, un peu intimidé par le ton de l'homme, au demeurant dséduisant et sur de lui.

- Alors montre moi tes seins, petite salope."

Séverine n'a pas le temps de réagir. La porte grince derrière elle. Une voix se fait entendre, nue voix qu'elle reconnait entre mille. Celle de Stéphane.

" C'est vrai ca, Séverine, monter tes seins à ton ami."

C'est là, donc, que commence la séance à l'hôtel de Séverine...

à suivre

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Bien le bonjour à vous tous... voici donc la suite des aventures de Séverine la soumise.

 

Donc Séverine, tout en menant comme d'habitude sa vie de femme heureuse et épanouie, est en attente de sa prochaine séance. Elle a pris goût très vite pour ses rendez-vous avec Stéphane. Il la débauche, il la soumet, il la baise, il joue avec elle et elle adore cela. Donc elle attend avec impatience de revoir Stéphane. De se confier à ses mains habiles et de satisfaire ses désirs les plus crus.

Une fois de plus, toute la semaine, il est en déplacement. et même, aussi, pour la semaine prochaine. Donc Séverine va devoir attendre. En plus de faire l'amour à son mari, Elle se masturbe de temps en temps en pensant à ce que lui fait son maître. Donc après dix jours d'absence, elle commence à être en manque. A vouloir se faire soumettre, à désirer des claques sur son cul, à vouloir inondr son string en obeissant à Stéphane.

Il devait savoir cela et en jouer car le onzième jour, Séverine récoit une lettre chez elle, signé de la main même de Stéphane. Cette intrusion de cet homme dans sa vie privée, chez elle, dans sa maison commenca d'abord pour l'énerver. Elle était sa soumise mais il devait respecter sa vie privée.

Puis, à la lecture de la lettre, elle fondit. la lettre était simplement formulée :

" Une chambre a été reservé au nom de monsieur et madame Lambertazzi dans l'hotel *** de la ville de ***. Ue tenue attend madame Lambertazzi. Une fois qu'elle l'aura revétue, la séance commencera pour elle."

Après cette courte lecture, Séverine avait le coeur qui palpitait et elle fondait déja. Le rendez vous était pour dans trois jours. La ville en qusetion se trouvait à 150 km. Elle allait donc devoir mentir à son mari, lui parler d'une réunion importante de travail. Ce qui n'était pas tout à fait un mensonge car elle avait rendez-vous avec un employé du bureau...
Le matin même, elle apelle son mari du bureau en lui expliquant qu'elle a un déplacement professionnelle à efectuer dans deux jours. Qu'elle passera la nuit à l'hotel pour être d'attaque tot le matin.
Une fois cette obstacle levé, Séverine n'a plus qu'à attendre. Deux jours. Elle bosse d'arrache pied le jour et le soir, elle va au cinéma avec son mari. Presque personne dans la salle. Un film un peu chiant que son mari tenait à voir. Elle s'ennuie et alors lui vientune idée. Tailler une pipe a son mari.  Elle commence à le caresser à travers le jean et lui pose un doigt sur la bouche pour taire ses peurs et ses craintes. Et lui dit à l'oreille :
" J'en ai envie mon chéri. "
Puis il se laisse faire. Et elle prend le temps de lui faire une belle pipe, une douce pipe, une langoureuse fellation en silence. Il jouit abondamment dans sa bouche. Elle recrache le tout sur le tais du cinéma. ils s'endorment dans les bras l'un de l'autre.
Le lendemain, elle se prépare. Et elle quitte le boulot le plus vite possible. Elel role aussi à la limite supérieure.
Elle ne pense qu'à Stéphane. Elle ruiselle entre les jambes. Elle retire même sa petite culotte en roulant, en la posant bienen vue sur le siège à côté du sien. Elle a envie d'exciter, elle a envie de se montrer. Elle va se faire soumettre et elle n'attend que cela.
A l'hôtel, on lui indique la chambre 23. C'est un hôtel propre et classe mais sans  grand luxe. Elle frappe à la porte mais rien. Personne ne semble être dans la pièce. Elle ouvre avec la clé. les rideaux sont tirés ; une jupette très courte et un soutien gorge tout simle, en coton, l'attendent sur le lit. Elle se dépeche de se mettre nue, d'enfiler les habits. La jupe est si courte que quand elle se baisse, on voit tout et le soutien gorge est une taille trop petite... il compressent et met en valeur ses seins.
une fois vétue, elle se regarde dans la glace et ne peut s'empécher de se dire :
" je suis habillée comme une petite salope"
ce qui augmente encore d'un cran son excitation
Stéphane ne vas pas tarder

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Sa supérieure était donc à demi nue pour l'accueillir. Cette situation aurait pu êtr edrôle, voire risible dans d'autres circonstances mais là, Jeanne brulait de désir pour cette femme. Et là voir vétue d'un si joli petit slip, appuyée contr eson bureau ne fit qu'enfler son désir.
Les deux femmes ne se quittaient plus des yeux. Elles ne parlaient pas. Sofia Lambertazzi semblait comme offerte, les deux mains agrippant son bureau et les jambes légèrement écartées. Tout en elle indiquait à Jeanne qu'elle pouvait agir à sa guise, s'approcher, la toucher, faire le premier pas. Ce dont notre jeune, belle et très éxcitée héroïne ne se priva pas. Elle avait envie de faire à cette femme ce que les hommes aimaient faire avec elle.
Elle commença donc par poser ses deux mains sur les deux belles fesses de sa patronne, qui eu remua la tête de plaisir et poussa un petit soupir. Ensuite, après avoir bien pétri ses fesses, Jeanne fit glisser une de ses mains entre ses jambes, là où le lycra de la petite culotte de sa patronne recouvrait son sexe. C'était humide et moite. Jeanne prit un plaisir fou à sentir la mouille de Sofia. Elle promena son doigt le long du slip, elle explora sa patronne. Plus elle la sentait fondre, plus elle même inondait son string. QUand son doigt remonta un peu haut et vint careser le petit trou de Mme Lambertazzi, celle-ci remua la tête de plaisir et ne put retenir un frissonnant " oh oui Jeanne"
Celle-ci eut un soupir d'aise puis s'approcha encore un peu plus d'elle. Ses seins étaient contre son dos. Les fesses de sa patronne étaient collées contre son aine. Le contact était un peu plus intime à chaque seconde.
Mme Lambertazzi dégraffa alors son tailleur, laissant apparaitre deux seins menus mais ferme, derrière un soutien gorge sobre et simple, assorti au slip. Jeanne posa une main sur l'intérieur de sa cuisse gauche et une autre sur son nombril. Elle les fit toutes les deux remonter. Dans le même mouvement, Sofia basculait la tête. Leur cheveux se frolèrent, leur nuque aussi.
L'instant d'après, Jeanne avait une main dans la culotte de sa patronne, une main sur ses seins et leurs bouches se mélaient. Ce fut une vive décharge de plaisir, un orgasme difficilement contenue, une vague foudroyante de plaisir. Jeanne sentait le sexe trempée de sa patronne, son clitoris gonflé de plaisir, ses seins aux pointes durcies, sa bouche aimante.... leur langue se mélaient, leur corps étaient chauds, elles étaient toutesles deux tres excitées.
" C'est ta première fois avec une femme, demande Sofia après un long premier baiser.
Jeanne se contenta d'hocher la tête. Sa supérieure se mit alors à genoux devant son pantalon et le défit lentement. D'abord la ceinture, puis le premier bouton. Quand son string apparut, Mme Lambertazzi déposa un baiser dessus puis, à mesure que la fermeture éclair s'ouvrait, sa bouche descendait.
Jeanne posa ses fesses sur le bureau, se renversa et sa laissa faire. La langue de sa patronne faisait des merveilles. Sans retirer son string, elle joua à travers la fine dentelle de celui-ci avec son clitoris, pour la chauffer encore plus. Sa langue était bien plus adroite que tous les mecs qu'elle avait connus. Sofia, après avoir fait glisser le tout petit slip de son employée, s'insinua en elle, fouilla son sexe, écarta ses lèvres, titilla son clitoris à merveille.
Jeanne acheva de se dévetir pour se caresser les seins en même temps que sa patronne la léchait.
Jeanne se mordait les lèvres de plaisir. Une femme lui broutait le minou. Elle avait embrassé sa patronne. Penser à cela redoublait son plaisir. Et les doigts de Mme Lambertazzi redoublèrent aussi son plaisir. Car elle venait de s'insinuer en elle. Deux doigts dans sa chatte. Jeanne cria de plaisir. Sofia, tout en la doigtant, jouait avec le bout de sa langue sur son clitoris. Elle emmenait avec une précision sidérante son employée vers l'orgasme.
Et cet orgasme, elle lui donna quand, après avoi remplacé ses doigts dans son sexe, elle présenta l'index et le majeur qui en sortait devant la bouche de Jeanne en disant simplement
" goutez à votre plaisir Jeanne."
Elle s'empressa de le faire et, en léchant les doigts de sa patronne, en goutant à sa cyprine, en sentant des doigts en elle, Jeanne se laissa aller à un puissant orgasme. ELle vibra de tout son corps. Un transport de joie la souleva presque. Elle cria presque, elle gémit. Puis elle se reposa, vide et calmée sur son bureau, contentée, heureuse. Sa patronne lui souriait. Elles s'enlacèrent, elles s'embrassèrent et Jeanne repartit très rapidement.
Elle eut trois orgasmes ce matin là. Elle s'appliqua à bien lécher Sofia, elle lui fit tout ce qu'elle lui avait fait. A un moment, en 69 dans le bureau, Elle eut même l'impertinence de doigter le cul de sa patronne, qui apprécia grandement semble-t-il car son orgasme suivit de peu ce doigtage osé...
En ce samedi matin, Jeanne se découvrit un penchant pour les femmes. Elle en était ravie. Elle venait de jouir comme rarement.
Quand elles se rhabillèrent, Mme Lambertazzi saisit le string de Jeanne et, en le froissant dans sa main, le porta à son nez pour savourer l'odeur intime de son employée. Jeanne ne put s'empécher de rire.
" Je peux le garder, demanda-t-elle, un peu confuse de faire une telle demande
- Mais alors, que vais-je mettre moi maintenant, lui repondit Jeanne, amusée
- La mienne, se contenta de dire Sofia."
Puis elle se baissa, ramassa la sienne, et, à genoux devant son employée, enfila elle même son petit slip en lycra le long des jambes de Jeanne. En se relevant, elles échangèrent un long baiser. Elles seraient reparties si le téléphone de Mme Lambertazzi n'avait pas sonné. C'était un coup de fil auquel elle ne pouvait se soustraire. Elles se quittèrent donc ainsi. Le soir même, Jeanne, en repensant à la matinée, n'eut aucun mal à inonder le joli petit slip de sa patronne
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Donc nous avions laissé notre héroïne et sa supérieure dans un salle bondée, lors du pot de départ à la retraite d'un employé de la boite. Jeanne venait de prendre son courage à deux mains en posant l'une d'elles sur la fesse droite de sa patronne. Sa réaction fut immédiate : un frémissement de plaisir, une vibration d'aise le long de son corps mais discrètement, pour que la main au cul que venait de lui coller son employée passe inapercu.

Les deux femms furent excitées en un rien de temps. Malheureusement pour elles, elles n'eurent pas la possibilité de se parler ou de s'approcher le reste de la journée. Il y avait beaucoup de travail avant le week end et ni l'une ni l'autre ne put s'en détourner. Jeanne recu tout de même un mail en fin de journée par voie interne. Il était de sa patronne, évidemment. Mme Lambertazzi lui demandait si elle pouvait, exceptionnellement, revenir samedi matin, demain donc, pour terminer un dossier important. Elle serait là à partir de 9h et elle estimait qu'il faudrait une matinée pour venir à bout du travail.

Of course, Jeanne s'empressa d'accepter. Elle quitta le boulot en allant saluer sa supérieure. Elle était au téléphone mais, sans cesser de parler, se leva et tendit sa main a Jeanne pour la saluer. Elle laissa longuement sa main dans la sienne, la caressant presque. SOn regard lui fit chaud au coeur.

Oui, définitivement, elle avait envie de sa patronne. A peine fut elle rentrée chez elle, qu'elle fila sous la douche pour s'y caresser. Ce fut la première  fois de sa vie qu'elle pensa à une femme en se touchant. Elle eut un orgasme aussi vif que si elle avait pensé à une queue bien dure, a une levrette bien faite, à une ejaculation sur ses seins.

Elle s'endormit tard, déja émoustillée par sa matinée. Elle pensa longuement à sa tenue. COmment s'habiller ? Elle voulait etre bandante ! Il n'y aurait personne au boulot donc elle pouvait se permettre ce qu'elle voulait. Elle sortit donc son string noir le plus minimaliste, le soutien gorge assorti et un de ses vieux jean blanc taille basse un peu trop petit mais tres moulant... ainsi qu'un haut rouge tres serrée, qui mettait en avantr son bonnet c à merveille. Elle se regarda dans la glace... sur elle même, sa tenyue faisait effet... elle allait embrassern, lécher, toucher, caresser une femme, une belle femme, sa patronne...

Elle fit le trajet rapidement. Elle n'avait pas encore ouvert la porte de la boite que déjà, elle mouillait. Sa patronne l'attendait déjà à son bureau, vétue d'un tailleur tres stricte, sans un sourire... Jeanne fut un moment surprise par cet accueil un peu froid. Aurait-elle mal compris sa patronne hier ? Se serait-elle fait un film ? Un bref éclair de peur et presque de honte la traversa jusqu'au moment où sa patronne se leva. Elle ne portait que ses sous vetements en bas. Pas de tailleur, pas de pantalon. Juste un petit slip tres élégant, en lycra sans couture et une paire de bas.

Les choses pouvaient commencer donc...

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Alors voila donc la suite des aventures de aventures de Jeanne.

Nous l'avions laissé sur la table du coin repas-café de sa boite, surprise par sa chef peu de temps après avoir joui avec l'électricien.

En entrant de la pièce, Mme Lambertazzi, belle femme énergique de quarante ans, plutôt élégante, a un léger mouvement de surprise. Puis elle regarde Jeanne. Il n'y a aucune colère ou réprobation dans son regard. Jeanne croit même y surprendre une lueur de plaisir ou de désir. Peut être que sa supérieure a toujours revé de faire comme elle, de se faire prendre au travail, au bureau, dans les locaux de son quotidien de cadre supérieure...
quoi qu'il en soit, avant de refermer la porte, Mme Lambertazzi a la délicatesse de prévenir Jeanne que les restes des employés arrivent sous peu et que si elle veut garder l'anonymat, il ne lui reste que peu de temps...

Les choses en restèrent là pour la journée. Depuis ce jour, un sourire complice apparait discrètement sur le visage de Mme Lambertazzi quand elles se croisent dans les couloirs ou aux pauses cafés. Heureusement, les travaux sont finis et il n'y a plus de risque pour Jeanne de se faire surprendre.

Peu à peu, cépendant, notre belle héroïne se prend à s'interroger sur les regards de sa supérieure. Elle surprend souvent sur elle, sur son corps, sur ses fesses, les yeux de sa patronne. Elle a le même regard que les mecs. Elle la mate, desfois sans pudeur. Une fois même, où Jeanne savait que son string dépassait, elle tourna discrètement la tête pour voir la réaction de Mme Lambertazzi. Comme prise sur le fait, elle détourna rapidement son regard et une pale rougeur envahit ses joues.
AInsi donc, Jeanne avait une supérieure qui semblait aimer les femmes. Lentement, les implications de cette idée firent leur chemin dans son esprit. Uen aventure de plus s'ouvrait à elle... Une aventure avec sa patronne, qui était une belle femme. Grande, brune, élégante, toujours vetue de tailleurs de grande classe et, manifestement, de lingerie des grandes marques vu le sac qu'elle avait ramener une fois au travail pour porter des dossiers.

Donc, un beau matin, Jeanne décida de tenter l'aventure, de se laisser approcher, drauer, séduire par sa patronne. De jouer avec elle. Jeanne ne savait pas exactement où elle avait envie d'aller mais en tout cas, elle voulait aussi explorer ce domaine de la sexualité avec les femmes...

Ne sachant trop comment s'y prendre, elle commenca par allumer sa patronne. Une fois où celle-ci l'appela dans son bureau, Jeanne fit exprès de laisser tomber au sol les dossiers que réclamaient sa supérieure. Elle prit bien soin, en se baissant pour les ramasser, de ne rien cacher de sa petite culotte à sa patronne. Elle en portait une bleu ciel, en dentelle ainsi qu'une paire de bas couleur chair. une fois baissée, elle ramassa les papiers, les laissa tomber par une seconde étourderie, pour bien permettre à sa patronne de se rincer l'oeil. Le silence qui emplit la pièce le temps que dura ce bref moment était éloquent : sa patronne dévora des yeux le moindre bout d'étoffe intime de son employée. En se redressant, Jeanne lui adressa un grand sourire.

Deux jours plus tard, Jeanne décida de franchir un autre pas en direction de sa supérieure. Un pas difficile à franchir mais un pas excitant. A vrai dire, elle ne savait pas exactement comment s'y prendre. Elle voulait établir un contact physique avec sa patronne. Créer un lien des corps. L'idée lui vint un jour à la pause de dix heures, un jour où un collègue de bureau donnait son pot d'adieu. Il y avait toute la boite dans la salle des pauses café. Une bonne ambiance, des rires et tout le monde serré les uns contre les autres.

Jeanne prit son courage à deux mains et chercha du regard sa patronne. Elle était près de la machine à café. Exactement ce qu'elle voulait. En se dirigeant vers la machine, Philippe, le jeun retraité, lui proposa une coupe de crémant. Elle refusa, arguant qu'elle voulait un café avant toute chose. Elle voulait surtout les fesses de sa patronne, qui portait aujourd'hui un pantalon noir tres élégant, près du corps.

Devant la machine, après avoir pris une grande respiration pour se donner du courage, elle posa une main sur la fesse de sa patronne, très discretement en lui murmurant à l'oreille

" pardon Mme, j'ai besoin de glisser une pièce dans la fente. "

La main qu'elle posa sur la croupe de sa patronne l'excita immédiatement. Son string se retrouva en un instant humide. Et sa patronne eut une délicieuse réaction. Elle vibra de tout son corps, une douce et infime vibration, un peu comme une petite pierre jetée dans l'eau qui donne naissance a des ondes qui traversent subtilementy la surface de l'eau. Jeanne, avec sa main, sentit le string de sa patronne, la fermeté de ses fesses. Elle ne put rester autant qu'elle l'aurait voulu mais une chose devint sure après cette main : les deux femmes se désiraient.

Suite et fin de cet épisode dans deux ou trois jours...

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