Décor : un réfectoire à peu près vide.
Acteurs ou plutôt actrices : Séverine, en tailleur assez strict et Valérie, sa subordonnées, en jupe longue et avec un chemisier qui suit la courbe de son imposante poitrine
Situation : Valérie vient de poser une question directe à sa supérieure.
La réaction de celle-ci ? Rougir, baisser les yeux, respirer plus fortement. Au fond d'elle même, en entendant cette phrase, elle sentit la même vague de plaisir la parcourir que quand Stéphane s'était adressé à elle.
" Car on me l'avait demandé"
Elle était incapable de s'offusquer, d'envoyer paître sa stagiaire. Car le plaisir s'emparait d'elle. il émanait de cette jeune femme le même charme puissamment sexuel. Pour le dire simplement, Valérie excitait Séverine.

Après lui avoir répondu, elle la regarda dans les yeux, pour les détourner immédiatement, presque rougissante devant le regard inflexible de cette jeune femme.

" Vous enlevez votre petite culotte quand on vous le demande madame ? Très bien, alors enlevez là !

- Là ? Maintenant ? demanda Séverine, la voix tendue par un mélange de désir, de crainte et de colère envers cette jeune femme qui lui donnait presque un ordre.

- Oui madame. Là, maintenant. La salle est vide. Retirez là. Personne ne vous verra.

- Oui, mademoiselle, fit Séverine, que la situation excitait particulièrement."

Elle balaya de regard le réfectoire. Par chance, il était presque 13h30 et elles se trouvaient toutes deux  derrière le petit massif de plantes vertes. Séverine fit reculer de quelques centimètres et se pencha vers son assiette.

En glissant ses mains sous sa jupe, elle sentit le contact de ses bas. Cela acheva de la decontenancé car le contact du nylon lui donnait des frissons à chaque fois.

Spécialement là, alors qu'elle saisissait les cotés de sa petite culotte pour la faire glisser  le long de ses cuisses. Quand celle-ci fut à ses pieds, Séverine hocha lentement la tête à l'égard de Valérie.

" Voila, c'est fait.

- Bien. ramassez-là et donnez-là moi.

- Oui."

Puis là, elle mit un genoux à terre et se pencha pour ramasser le petit bout d'étoffe en dentelle bleu qui   gisait à ses pieds. IL était déjà humide.

Elel se rassit, la main pleine. Valérie lui demanda de lui tendre la culotte. Elle la prit en main et la mit dans la poche de sa veste.

" Mais dites moi madame, votre culotte est trempée j'ai cru sentir non ?

Oh oui, Valérie. C'est que la situation me plait beaucoup vous savez.

- Très bien. Alors si je vous demande de me retrouver dans les toilettes dans 10 minutes, vous n'y verrez pas d'inconvénient ?

- Aucun.

- Alors à tout de suite dans les toilettes. "

 

 

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