Voila donc mon premier récit.
     je le livre brut, sans préciser s'il sort de mon imagination, s'il reflete la réalité ou même s'il est simplement un mélange des deux. Il s'agit simplement de la seconde page de ce blog dédié aux sens, de mon premier conte érotique.

     Il prend place dans un train. Un train Corail reliant deux villes francaises. Non pas des grandes villes mais des villes moyennes comme il en existe des dizaines en France. cela peut donc se passer dans le sud, le nord ou encore l'est et l'ouest de notr epays. N'importe om en fait. N'importe où il y a des rails sur lesquels roulent des trains avec des wagons à compartiments. Vous les connaissez probablement. Six sièges en deux rangées de trois face à face. un tissus proche du velours mais plus neutre au contact. une grande fenètre avec un rideau en deux parties et une porte donnant sur le couloir. Voilà ainsi défini l'espace où le désir va se déployer.
    Donc dans ce compartiment, jusqu'à ce que rentre la femme au coeur de ce récit, il n'y a que des hommes. Un vieux monsieur, portant beret et lisant un journal tout en luttant contre la somnolence que le rythme du train induit ; un jeune homme, d'à pein vingt ans qui échange sans arrêt des textos avec son téléphone portable dernier cri. En ce qui me concerne, je lis un livre et je contemple le paysage à travers la fenêtre.
          Quand descend l'adolescent, monte une femme.
        Elle nous salue sans nous regarder, comme si nous n'étions pas là puis s'asseoit presque en face de moi, sur la banquette libre. Ayant l'habitude d'avoir sur moi les regards des femmes, je suis un peu piqué et je me prends à détailler l'impudente, qui ose sans vergogne ne pas attarder mon regard sur ma personne, sur mon visage.
        Premier constat : elle a du charme. Non pas qu'elle soit belle, que son corps soit celui d'un top model mais il s'émane des traits de son visage  un quelque chose qui la rende attirante. De plus, elle porte une jupe élégante avec un chemisier blanc. Son parfum emplit la cabine comme les fragrances des fleurs envahissent un pré au printemps. Elle est la fraicheur même, cette femme.
        Mon regard doit se faire insistant car elle tourne la tête pour plonger ses yeux dans les miens.
        Diantre ! Quel profondeur, quel charme !
        Elle me sourit et moi, je crois, un peu géné, je rougis légèrement.
       Je crois que ce léger rougissement lui plait - preuve de sa beauté - car elle m'adresse la parole juste après, pour me demander à quel heure nous arrivons en gare de xxx. Dans une petite heure, lui dis-je. Elle me remercie pour cette proposition en me souriant d'un sourire qui me fait fondre.
C'est alors qu'elle se baisse pour prendre dans son sac entre ses jambes une quelconque revue féminine puis réarrange sa jupe avant de se mettre à lire.
      Et là, en réarrangeant sa jupe, en soulevant quelque peu ses fesses pour lisser les plis de celle-ci, elle fait apparaitre le haut du bas de sa jambe droite. Tout simplement. Je vois l'elastique qui fait tenir autour de sa cuisse le nylon de ca bas noir. Vision à l'érotisme puissant. Et cette belle inconnue qui continue à lire alors que je ne peux que difficilement detacher mon regard de cette chaire blanche et de ce fin vetement noir.
    A un moment, elle tourne la tete vers moi pour voir non pas mon regard mais la trajectoire de celui-ci vers sa jambe, comme si elle me prenait en flagrant délit de "matage". Je me sens horriblement confus et rougis de plus belle, n'osant la regarder. La seule chose que j'entend, c'est son rire, flatté et un peu provocateur. Elle n'a pas l'air de m'en tenir rigueur. Loin de là même car elle ne change rien à sa position. Comme pour m'encourager à poursuivre mon exploration de son bas, de sa jambe.
        Ce que je fais jusqu'à ce que la situation prenne un autre tour, avec le départ du vieux monsieur, qui ne faisait rien de plus que s'endormir. Quand il quitte le compartiment, elle se met à me parler et pour me parler, elle se tourne legerement vers moi. Certes, dans cette position, je ne vois plus son bas car elle est trop en face de mon regard mais je suis à même de plonger mon regard entre ses cuisses, sous sa jupe, jusqu'à son entrejambe.
        Elle me parle d'elle, me pose des questions, se montr ecurieuse et plus nous parlons, plus ses jambes se desserrent. Et plus ses jambes se desserent, plus je suis en erection.
    Après peut etre dix minutes de discussions, j'apercois le blanc de l'etoffe de sa culotte. Ou de son string, je ne saurais faire la différence. Je suis subjugué. Elle a de l'esprit et je vois ses dessous. Je commence à etre très excité moi. Je suis loin d'être de marbre.
       Et elle le sait.
       Et elle en joue.
     A un moment, alors que je ne sais plus par quel moyen, nous en sommes venu a discuter de lingerie, je décide de lui poser un equestion directe. Je peux griller toute mes chances, passer pour un pervers mais je ne peux faire autrement. Je lui dis que si je vois la  blancheur de sa culotte, je suis bien incapable d'en dire la nature. String ou culotte ?
      Avant de me répondre, elle me sourit, amusé et non choqué.
       " A ton avis? me demande-t-elle  "
       Là, il est manifeste qu'elle veut jouer.
     " Je gagne quoi si je réponds juste ?
     - L'objet en question, fait-elle, sérieuse et provoquante. Mais tu as un gage si tu perds.
    - j'accepte, dis-je. "
    Là, inutile de vous dire que mon pantalon est tendu au possible et qu'elle le sait, car ses yeux ont plusieurs fois regardé cet endroit. Je réfléchis un instant. LA réponse n'est pas si évidente que cela. Elle aurait une jupe moulante, un habit près du corps, j'aurais répondu "string" mais là, c'est une jupe flottante et je n'en ai vu qu'un morceau de sa blanche étoffe.
       D'un autre côté, un gage donné par une jeune femme dont je vois les bas et les dessous dans un compartiment peut etre particulièrement intéressant. Donc, en espérant me tromper, je réponds "culotte"
       "Gagné, dit elle, je porte une petite culotte blanche."
       Et là, elle entrouvre généreusement ses jambes pour m'offrir la blancheur éclatante de sa culotte. Elle est belle, avec des motifs en dentelles et quelques fils d'or la parcourant.
    " Elle est à toi mais j'ai quand meme envie de te donner le gage que je voulais te donner.
     - Alors je gagne sur toute la ligne, dis-je. Je gagne ta culotte et le gage que tu veux me donner. C'est jour de chance pour moi."
       En silence, elle hoche la tete et me sourit.
       " Je descend dans dix minutes. Tu en as cinq pour me retirer cette culotte qui est tienne à présent.
      -  J'ai connu de bien plus désagréable gage."
      Puis je lui retourne son sourire avant de me lever tout en mettant bien en évidence mon éréction avant de m'asseoir avant elle.
          " Je la retire comme je veux ?
         - Comme tu veux, fait elle en s'adossant contre le siège."
         Je commence donc par poser une main sur son sein droit dont je sens la fermeté à travers son chemisier et son soutien gorge en mimant l'aveugle qui ne sait pas où chercher pour trouver ce qu'il veut mais elle hoche négativement la tête.
         " Pas mes seins, juste ma culotte. "
       Je m'excuse puis pose une main à un endroit plus aproprié, sur l'intérieur de son bas, pour remonter vers son entrejambe. Je m'insinue lentement vers le milieu de son corps, sentant peu à peu la chaleur de son plaisir m'envahir. Que c'est agréable que de découvrir son corps ainsi, que la situation est inédite et excitante. Je ne sais ce qu'il va se passer mais je suis décidé à profiter de ces 5 minutes au maximum.
         Voila qu'un premier contact s'établit entre ma main et la dentelle de son joli petit slip. Dieu qu'elle est excitée. Sa culotte est trempée par son plaisir. Il fait chaud et moite entre ses cuisses qu'elle écarte pour me laisser m'emparer de son sous-vetements. Je la sens sourire, je sens sa respiration haleter. Que je la désire ! Qu'elle est belle, ainsi offerte ! Je ne peux m'empecher de suivre du doigts les motifs que dessine la dentelle de sa culotte. je devine une fleur, que je remonte jusqu'à atteindre l'élastique autour de sa taille. Là, elle hoche de nouveau la tête quand j'essaye de glisser  un doigt pour atteindre sa toison.
          " Pas mon sexe, juste ma culotte.
         - Je comprends le gage alors, dis-je. Etre si près de tant de plaisir, de tant de bonheur et devoir se contenter de cette simple étoffe."
         Et là, comme pour conclure ma phrase, je commence à faire rouler son slip sur ses jambes. Bientot, il roule sur ses bas. Bientot, il passe ses genoux. Et bientot, la voilà nue sous sa jupe, à l'exception de ses bas. Et moi, j'ai dans la main un morceau de dentelle très humide. Peu après, elle disparait. Comme dans un songe. Je la vois quitter le compartiment. Je la vois descendre du train. Et, sur le quai, je la vois se précipiter dans les bras de son homme. Je comprends alors à quoi j'ai servi. J'ai été un apéritif, une forme de préliminaire. Elle voulait arriver excitée près de son homme, de son amant. Elle voulait être immédiatement désirable. Voilà qui me laisse réveur, le temps que le couple disparaisse de mon champ de vue.
          Oserais je avouer la suite de cette histoire pour moi ? Oui, je l'ose. Me retrouvant seul dans mon wagon, je porte a mes narines la culotte de ma belle inconnue pour respirer son odeur. Quel délice ! Elle a un parfum puissant et envoutant. Je ne puis me retenir et file dans les toilettes du train pour me caresser à l'aide de ce fin morceau de tissus brodé de dentelle. Je vins même dedans, en songeant à cette femme dont je n'ai pas connu grand chose mais qui est, dans ma mémoire, parée de beaucoup d'érotisme.


          Voilà donc mon premier récit. est-il trop long pour vous ? Trop court ? Trop précieux ? Passionnant ? Trop fétichiste de la culotte ? N'hésitez pas à me le dire ! Je n'attend qu'une chose : vos réactions, toutes vos réactions ! Merci d'avance et à bientôt pour un autre récit...



        

        
 
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