Depuis le début du mois, je ne vis plus dans le même appartement. J’ai déménagé pour me rapprocher du centre ville. Je suis passé du premier étage au cinquième, dans une petite rue beaucoup moins passante que la précédente. Je suis sous les combles, au dessus du croisement qui marque le milieu de ma nouvelle rue.

Un soir, récemment, je me suis mis à ma fenêtre pour observer et découvrir mon nouvel environnement.

Il était près de minuit. Quelques voitures passaient de temps à autre et de rares pas se faisaient entendre. Un vieux monsieur promenait son chien. Une rue paisible. Je me pris à observer la lune, qui dépassait des toits en face de moi, de l’autre côté de la rue. Le calme était appréciable après l’animation au pied de mes anciennes fenêtres. Nombre des mes nuits avaient été perturbées par le bruit de scooter, de groupes bruyants et éméchés, de conversations sonores au téléphone portable.

Une lumière apparût sous la lune, au dernier étage du bâtiment en face de moi. Une penderie. Immédiatement, mon esprit s’empara de cette vision pour y placer une demoiselle en lingerie.

Je suis complètement subjugué par les dessous féminins, par la dentelle, les strings et autres sous vêtements parant le corps des femmes. Apercevoir la couleur et la matière du string d’une femme assise sur un banc, à une table ou ailleurs ne me laisse jamais indifférent. Je tourne toujours la tête quand je passe devant la vitrine d’une boutique de lingerie. Alors pensez-vous, ma voisine…Mon sang ne fit qu’un tour à l’idée de cette penderie et de la possibilité d’y voir une femme. Ses murs étaient blancs et sur le côté gauche, des étagères que je devinais plus que je ne les voyais vraiment. Je fis un rapide tour d’horizon autour de moi pour comprendre que nul ne pouvait voir cette petite pièce. Elle était enfoncée dans l’appartement et celui-ci était à un angle. Le seul bâtiment qui permettait de voir cette penderie était la caisse d’allocation familiale mais à minuit, il n’y avait plus âme qui vive dans cet endroit.

Le décor était parfait donc : intimité à travers une rue.

Une femme vint y prendre place. J’en eus le souffle coupé. Je n’aurais su dire son âge. Aux environs de la trentaine, sans aucune certitude. Elle portait un peignoir. Le scénario était parfait. Je sentis une érection monter en moi très vite. Heureusement, j’étais déjà dans le noir.

La femme ouvrir un tiroir à hauteur de ses hanches.

Je bandais pour de bon quand je la vis sortir un string… non, un shorty de ce tiroir. Je n’en voyais pas grand-chose mais je sentais qu’il était en dentelle noire.

Elle continua à fouiller dans ses dessous pour prendre un soutien gorge. Quand elle eut choisi sa parure, elle délassa son peignoir pour enfiler son string. Malheureusement, elle ne m’offrit que son flanc gauche et le peignoir. Je ne vis rien.

Soudain, elle se retourna et fit un pas vers la porte. Elle disparut quelques instants plus tard sans le peignoir mais avec le soutien gorge. Un appel téléphonique, probablement.

Elle était donc en sous vêtements. Je devinais les rondeurs de ses fesses et le léger galbe que ses seins imprimaient à son soutien gorge. Une voisine tout à fait désirable. Je me régalais à la voir ainsi s’habiller. Elle enfila une jupe qui lui fit remuer les fesses en la passant puis une chemise et un petit pull. Elle fit un pas pour se regarder dans une glace que je ne voyais pas, elle lissa son pull puis sortit de la penderie en éteignant la lumière.

Cette première vision prenait ainsi fin. J’étais rêveur et excité. Car je savais que la scène allait probablement se reproduire. Je ne pus rien faire d’autre que m’allonger sur mon lit pour penser à cette femme. Son petit string en dentelle noir me plaisait beaucoup…

 

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