Ma voisine est une étudiante. Jeune, fraîche, charmante, belle : on peut lui appliquer de nombreux adjectifs, tous allant dans le même sens, celui du charme et de la sensualité à fleur de peau. Ma voisine a un corps qui me laisse rêveur. Non pas fin, svelte et comme dans les magazines mais un corps souple et appétissant, désirable et généreux.
    Ma voisine est donc, pour le dire simplement et sans détour, une jeune demoiselle tout à fait bandante… Malheureusement, je ne la vois pas aussi souvent que je le voudrais. Nos vies diffèrent : elle est étudiante avec ses petits jobs et moi, mon emploi du temps de ministre - sans le salaire, of course – ne me met pas en situation de la croiser dans les couloirs.

    Cette situation a changé l’autre jour. Le genre de virage aussi inattendu que grisant. Et je pense qu'elle autant que moi ne s'attendait pas à tout ce qui allait nous arriver. laissez-moi vous expliquer. Tout a commencé un samedi, vers midi.  Je sortais de chez moi pour faire les courses et un parfum féminin traînait avec nonchalance devant ma porte. Je le hume et ferme les yeux... il me rappelle durement mon célibat, ma solitude... Mais sa fragrance est trop vive pour être le souvenir d'un passage lointain. L'odeur est fraîche. Je tourne la tête et j'aperçois à la dérobée ma voisine qui disparaît dans le coude du couloir. J'ai juste le temps de deviner une jupe, une jambe gainée d'un bas ou d'un collant noir ainsi qu'un sac qui attira mon attention plus que tout le reste. En effet, j'en reconnu l'origine, autant par la couleur que par les quelques lettres car j'avais déja moi-même acheté des dessous dans cette boutique, Daarjeling Donc ma voisine avait acheté de la lingerie ce matin... Pour elle ? Pour son homme ? une bonne affaire ? Cela me laissa rêveur le temps de mes courses.

    Voilà donc le début. Rien de spécial, rien de remarquable s'il n'y avait eu une suite quelques heures après ce rapide incident. Sur les coups de huit heures, je sortais de chez moi pour me rendre à un repas entre amis et, en me dirigeant vers l'ascenseur, je revois ma voisine. Elle attend l'ascenseur mais, ce faisant, elle lassait sa chaussure droite. Elle était donc baissée. Et j'arrivais de derrière. Voila donc que s'offrait à moi une vue sur le bas du dos de ma voisine, vêtue d'un simple taille basse et d'un petit chemisier. Il va sans dire que j'avais une vue imparable sur son string, qui était vert pastel et en belle dentelle. celui acheté ce matin ? Je ne savais pas mais cette vue ne fit que rendre ma voisine encore plus désirable. Elle dut sentir ma présence car elle se releva rapidement. Je baissais les yeux au dernier moment mais une légère rougeur quand on se salua trahit mon émotion. Un sourire traversa furtivement son beau visage. Quelque peu troublé, je la saluais. Dans l'ascenseur, un silence gêné nous accompagna jusqu'à la sortie. Dehors, elle prit à droite et moi à gauche. Fin du second épisode. Là encore, rien que d'habituel, rien d'extraordinaire. Rien qui pouvait me laisser imaginer la suite.

    Les choses prirent une tournure pus intéressante au milieu de la nuit, alors que je rentrais chez moi après un dîner arrosé. C'était à mon tour d'attendre devant l'ascenseur. je le fixais avec toute l'acuité de quelqu'un de saoul. J'entendis la porte s'ouvrir et je vis ma voisine s'avancer, elle aussi passablement éméchée, je le vis tout de suite.
    On se sourit et on échangea quelques politesses sur le fait de se croiser avant et après une soirée. Rien que de très conventionnel alors que j'avais une toute autre idée en tête. Elle reliait ce sac que j'avais entr'aperçu et ce string que j'avais vu en bref instant. L'alcool aidant, je me fis vite une raison : jamais je n'aurais d'occasion d'aborder ma voisine et, de plus, cette situation me plaisait et rejoignait mes fantasmes. Donc je décidais de me lancer. Les mots suivants sortirent de ma bouche sans que je les conçoive  vraiment dans mon esprit. Ils n'y en avaient que deux mais ils valaient nombre de questions autrement plus longues
"Daarjeling aujourd'hui ?"
Puis mes yeux se plantèrent dans les siens, un peu maladroitement, je dois l'admettre après coup. Heureusement, elle réagit bien. Elle me sourit et me dit
"Quand je lassais mes chaussures ?"
Je fis non de la tête.
" C'est vrai, j'ai coupé l'étiquette donc ce na peut pas être cela.
- Un beau string en tout cas, mademoiselle.
- Merci. Je l'ai acheté ce matin."
Là, j'aurais pu parler du sac que j'avais vu et expliquer le pourquoi du comment de ma question mais je me sentais lancé et, déja, excité.
" Et alors, ce soir, un homme les a vu ?"
Réponse immédiate : 
" Hé non. J'étais avec des copines.
- Tu leur a montré ?"
Elle me sourit
- Bah comme aux copines, je leur montre mes emplettes
- Tu me les montres à moi aussi ?"
Elle eut un sourire mystérieux
" Dites moi donc, mon voisin, n'est ce pas un peu osée de demander cela à sa voisine qui doit avoir dix ans de moins que vous ?
- tout à fait voisine. Mais pour être complet, je dirais que ma voisine est si sexy qu'on a envie de tout savoir sur ses dessous..."
Nouveau rire, interrompu par l'ascenseur qui arrivait à notre étage. Mais les pensées de ma voisine n'étaient pas interrompu, loin de là. Dans le couloir, elle poursuivit.
"Ferme les yeux si tu veux les voir."
Je m'exécutais sans poser de question. J'entendis les bruits d'étoffes glissants puis la voix de ma voisine.
" tu peux ouvrir les yeux."
Elle avait ôté sa veste et son pull et ouvert son chemisier, qu'elle tenait dans ses deux mains, exhibant une superbe paire de seins et un soutien gorge assorti au string que j'avais vu. Ce spectacle était magnifique et émouvant. J'eus une érection immédiate.
"merci mademoiselle. C'est...
- chut voisin. Sors ta queue et caresses toi si tu veux."
Je nageais en plein rêve. Je pensais d'ailleurs que j'allais me réveiller. Mais je ne me le fis pas dire deux fois. J'ouvris mon pantalon pour sortir mon sexe et commencer à ma caresser. Mon érection était belle. Ma voisine ne la quittait pas des yeux, flattée de provoquer tant de virilité.
"On ne se touche pas. On fait cela a distance, d'accord ?
- Seulement si tu tombes ton pantalon...
- Oh oui cher voisin"
Elle défit lentement sa ceinture, ouvrit un à un les boutons de son jean pour me révéler son string. Elle y glissa lentement sa main, qui disparut derrière la dentelle. elle s'activa lentement. Ses épaules se troublèrent, sa respiration s'accéléra.
" Puis je voir tes tétons ?"
Elle les sortit sans un mot, dans un geste délicat qui . Ses pointes étaient dures. " je suis très excitée, me dit elle
- Et moi donc, regarde ma queue, elle est dure.
- Je le vois. C'est superbe.
- je peux jouir dans ton soutien gorge ?
Elle sourit d'aise.
" En voila une idée coquine, jeune homme.
- Aussi coquine que ma voisine qui  se touche dans son couloir." Elle sortit sa main de son string pour dégrafer son soutien gorge et me le tendre.
" Vas y, vide toi dedans."
Ce que je fis sans plus attendre, tant j'étais excité. Je jouis abondamment sur la dentelle de son soutien gorge. Elle vint peu après, avant de remettre sur elle le soutif plein de mon foutre. Nous étions épuisé mais heureux, sans même s'être touché. Un jeu inédit, dans un couloir, au milieu de la nuit. Elle me dit au revoir par dessus l'épaule, en l'accompagnant d'un simple "a bientôt" qui me laissa rêveur longtemps avant de m'endormir   
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