Le soir même et le lendemain, je ne la vis presque pas. Je bossais beaucoup et je rentrais tard.
Les choses basculèrent le matin de ma troisième journée en allemagne.
Je sortais de ma douche quand j'entendis toquer à la porte de ma petite salle de bain. C'était Yvonne. Elle avait besoin d'aide pour assortir les couleurs de ses habits, d'un avis d'homme. Elle portait uen jupe bleu et un haut dans les tons verts qui allaient bien ensemble. Dans ses bras, une autre jupe, dans des tons beaucoup plus sombres.
Elle me demanda quelle couleur je préférais. Là, je décidais de tenter le tout pour le tout.
" Il me faudrait te voir avec les deux jupes pour te dire.
- C'est vrai, tu as raison, me dit-elle."
Elle s'approcha de moi, se tourna et me demanda de degraffer sa jupe qui s'attachait derrière. Je m'exécutais, non sans poser mes mains sur ses feses pour faire glisser sa jupe.
" Je crois que je te préfère sans jupe, dis-je alors.
- Ah oui ? Vraiment ? Toi petit coquin francais non ?"
Elle se retourna.
" Moi aussi, je préfère toi sans rien. "
Elle fit glisser mon peignoir. Je bandais à moitié.
" Belle queue francais ca non ?
- Ja madama l'allemande, fis-j en répondant à son sourire.
- Jamais sucer francais moi. Ne dit on pas " il faut début à tout" chez vous ?
- ON dit il y a un début à tout. "
Mais elle ne fit pas attention à ma correction grammaticale. Elle était déja à genoux, à gouter à une queue francaise. Elle sucait très bien, cette femme allemande. En quelques coups de langue, elle me fit durcir puis, en rivant son regard dans le mien, elle s'activa avec talent.
" tu aimes suceuse allemande ? me demanda-t-elle."
SOn accent, son vocabulaire... un régal ! Je lui répondis que oui, que Yvonne était une très bonne suceuse allemande. Quand elle sentit que j'étais proche de l'abandon, elle me dit :
" tu veux jouir dans bouche allemande ?
- Ja ! naturlich, fut ma réponse."
ce qui l'amusa beaucoup. Et elle dirigea adroitement le jet de mon foutre dans sa bouche. Elle était ravie d'avoir fait jouir un jeune francais. Peu après, nous étions tous les deux habillés. EN quittant la maison, elle me fin un clin d'oeil en ajoutant "à ce soir"
Autant vous dire que la journée de travail fut bien longue...
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