Bonjour
je m'appelle Séverine. Il faut que je vous raconte ce qui m'arrive depuis
quelques semaines. J'ai rencontré un homme qui me rend folle, qui me fait
perdre la tête. Je ne pensais pas être capable de faire tout ce que je fais
avec lui. A vrai dire, je ne pensais même pas être capable d'aimer faire
tout ce qu'il me fait faire. Moi, Séverine, femme mariée, mère de deux
enfants de 4 et 6 ans, amoureuse de mon mari, je suis devenue soumise à ses
désirs. Je m'abandonne à ses volontés les plus crues, ses désirs les plus
cochons et j'adore cela. C'est incroyablement excitant. Il fait de moi ce
qu'il veut et j'en redemande. Mais laissez moi vous raconter plutôt.
J'ai donc 36 ans. Je ne suis certes pas comme sur les magazines mais plus
d'un homme regarde mes fesses et surtout mes seins dans la rue tous les
jours. Et au boulot aussi. C'est d'ailleurs là que tout à commencé. Je suis
cadre supérieur dans une boite importante. J'ai sous mes ordres une
trentaine d'hommes. J'ai donc de l'autorité et je suis respectée.
Je n'avais donc jamais eu de problême avec mes subordonnés jusqu'à
récemment. Jusqu'à l'arrivée de Stéphane, il y a deux mois. Je ne pensais
pas qu'un homme pourrait avoir autant de pouvoir sur moi, pourrait aussi
bien deviner mes désirs les plus enfouis, les plus profonds. Ce n'est pas
qu'il est beau, c'est tout simplement qu'il émane de sa personne un charme
bestial, une beauté sexuelle incroyable. il m'excite, il me fait fondre.
J'aime mon mari mais là, c'est physique, c'est incontrolable. En quelques
mots, avec sa voix grave et sensuelle, il me rend complètement moite.
Les choses ont été vite au bureau. Tout s'est passé par le regard.
Stéphane a commencé par me regarder, par me dévisager, par me fixer d'un
air lointain, vague puis peu à peu, j'ai vu des choses dans ses yeux. J'ai
plusieurs fois senti qu'il regardait mes fesses, mon corps avec une
insistance presque irrespectueuse. Il me considérait avec indécence.
N'importe lequel de mes employés aurait eu à mon égard les mêmes regards,
je l'aurais fusillé des yeux, mais pas Stéphane. Avec lui, je chavirais, je
m'émoustillais. Des yeux sombres, des yeux lubriques.
Un jour, sans prévenir, tout a basculé. Il est venu s'asseoir en face de moi
au restaurant de l'entreprise alors que nous étions les derniers ou presque
à déjeuner.
Il attaque sans attendre.
" Tu portes un string rose ou je me trompe, dit-il en oubliant le
vouvoiement qu'il me devait pour ma position.
Sa voix, son regard, son attitude me faisaient perdre mes moyens. J'en devins
presque rouge.
- Pourquoi me dites-vous cela, tentais-je de me défendre maladroitement.
- Car je l'ai vu depasser de ton tailleur en venant m'asseoir. J'adore ton
cul, je le mate des que possible.
- Stéphane...
J'étais aussi choquée qu'excitée. Il poursuivit à voix basse.
- Tu es la plus bandante des nanas du service.
- je suis mariée au cas où tu ne le sais pas.
- Je le sais très bien mais je ne te parles pas d'amour. Je te parle de
cul. Je te parle de ton string que j'ai envie de rendre humide. J'ai envie
de te baiser, Séverine.
On ne m'avait jamais parlé ainsi. J'étais électrifiée.
- Je vais me lever et toi, tu vas finir ton repas. Quand tu auras fini, tu
vas me rejoindre dans le bureau vide du dernier étage.
Il se leva sans même finir son repas et disparut du refectoire. Je finis mon
plateau sans penser à rien. Je sentais juste mon coeur battre la chamade
dans ma poitrine. Je savais que j'allais le rejoindre. Après avoir debarassé
mon plateau, je pris les escaliers pour ne croiser personne et frappai à la
porte du bureau vide. Il m'attendait derrière, assis dans un vieux fauteuil, à
côté de cartons et de dossiers empilés.
- Ferme le verrou et avance au milieu de la pièce.
Sans un mot, je m'exécutais.
- Tourne sur toi même, laisse moi mater ce corps que j'ai envie de prendre.
Sans savoir pourquoi, je mis les bras en l'air et fis deux tours sur moi
même. Mon string était trempé.
- Relève ton tailleur et montre moi ton cul.
J'obéis sans opposer de résistance. Le frôlement du tissu sur mes bas, sur
la peau de mes fesses fit monter d'un cran l'excitation. Il regardait
maintenant mes deux fesses rebondies avec le petit string en dentelle rose
qui disparaissait entre.
- Bien, très bien séverine. ça me plait tout cela. Approche toi de moi.
- Oui, dis je sans voix.
Et là, crument, il me pelotta les fesses.
- Ca c'est de la bonne fesse, dit-il, de la bonne fesse à baiser.
Je soupirais.
Il posa son doigt sur la dentelle humide et me caressa la vulve à travers le
string.
- Oh mais tu mouilles beaucoup. Tu es trempée. Ca t'excite ce que je te fais
?
- Oui, Stéphane. Tu m'excites beaucoup.
Là, il fit un autre geste encore plus cru. Il posa son pouce sur mon anus et
se mit à masser mon sexe de ses deux doigts
- Voila un entrejambe que j'ai envie de doigter. deux petits trous qui me
plaisent beaucoup.
- Oooh...
Mais mes protestations étaient vaines. J'étais conquise. J'étais excitée
comme rarement.
- Ecarte ton string, montre moi ta chatte.
Je le fis sans un mot. Je lui offrais mon sexe.
- Penche toi, me dit-il avant de me doigter sans attendre.
Je poussais un nouveau soupir. Je n'en pouvais plus. Son doigt s'enfouit en
moi. C'était trop bon, cette façon qu'il avait de  me traiter sans
ménagement. De me parler ainsi.
- Elle aime les doigts la chatte de ma patronne on dirait.
- Oui.. vas y
Il introduisit un second doigt. Il les tourna en moi, les sortit, me caressa
le clitoris. Il faisait des merveilles. Je ruisselais. A un moment, après
avoir sorti ses doigts de mon sexe, il se redressa et vint se coller contre
mon dos. Je sentis son sexe tendu puis il me montra ses deux doigts luisants
de mon plaisir.
- Ils sortent de ta chatte Séverine. Lèche les.
Je fermais les yeux et ouvrit la bouche. Il poussa les doigts en moi. Je
n'avais jamais gouté à mon sexe. Le gout un peu âpre, salé me plut
immédiatement. Je me mis à lécher longuement ses doigts. Il recommenca une
fois, deux fois... J'en perdis pied. Il mit trois doigts, me les fit lécher,
me parla crument puis finalement, il me fit jouir. En me collant un doigt
dans le petit trou. Je n'eus pas le temps de pousser un cri de surprise et
de désapprobation qu'un puissant orgasme me submergea. Je dus me mordre les
lèvres pour ne pas gémir trop fort. Je fus un instant incapable de comprendre
quoi que ce soit puis je repris mes esprits.
J'étais tout de même un peu honteuse de m'être abandonnée ainsi mais cela ne
semblait pas préoccuper Stéphane. Il me dévisagea avec ce regard bestial et
me dit une dernière chose avant de me laisser partir.
- Enlève ton string. je te le rendrais la semaine prochaine. On se reverra
dans ce bureau même.
- Oui, stéphane.
Je m'exécutais une dernière fois en faisant glisser son string à mes pieds
et en le dévisageant.
Les choses ne faisaient que commencer. J'allais vite comprendre que ses
désirs étaient encore bien plus crus.

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Commentaires

J'aime bien tes textes plein de sensualité.


Continue.

commentaire n° :1 posté par : Moi le: 20/05/2006 à 07h19

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