C’était pour un voyage d’affaire que j’avais atterri dans ce bel hôtel. En un mot, le rêve. Tout sauf le boulot. Un lagon, des palmiers, du sable fin, des bungalows grand luxe. Même depuis les salles où se tenaient nos longues réunions de travail, je voyais un paysage de rêve. Ce qui rendait la peine encore plus difficile.
Chaque jour, je me disais que c’était une chance que de bosser dans une boite traitant principalement avec les grands groupes hôteliers à travers le monde. Il n’y eut qu’une après-midi de relâchement. J’en profitai, comme à mon habitude, pour fausser compagnie à mes collègues. Non pas qu’ils me déplaisaient mais ils étaient casaniers. Ils pouvaient passer leurs journées off au bord de la piscine, dans l’hôtel, comme de simples touristes. Or moi, j’aime explorer, découvrir, fouler de nouveaux lieux, m’aventurer en terre inconnue. Grand bien m’en prit ce jour là…
Une belle plage courait au pied de l’hôtel et se prolongeait sur des kilomètres. Je pris une bouteille d’eau, de la crème et une serviette pour partir à la découverte de cette belle étendue de sable blanc. Après un quart d’heures de marche, je vis une petite rivière qui se jetait dans la mer. En suivant son lit du regard, je me pris à imaginer une cascade, de l’eau fraîche, une vasque creusée dans la pierre.
En un mot, la baignade de rêve.
Je n’avais pas les chaussures adéquates donc je ne pouvais m’avancer trop avant. Heureusement, je n’eus pas à le faire. La baignade de mes rêves s’offrit à moi rapidement. Avec, pour compléter cette vision, des jambes de femme disparaissant derrière un rocher. M’approchant silencieusement, je crus reconnaître une tache sur la cheville, une tâche que j’avais aperçu en détaillant une stagiaire de l’hôtel, à la direction. Une grande et fine brune, aussi féminine que sexy. Le genre à lunette avec un tailleur. Le genre moins de vingt cinq ans et déjà femme. Le genre qui me fout le feu aux poudres très rapidement. Le pas suivant me fit avoir une vision de rêve.
Le rocher me dévoila la simple étoffe blanche de son petit slip de bain avec, l’animant, deux doigts glissés dessous. Je ne voyais pas plus haut. Simplement ce bikini et ces jambes, tous appartenant à une jeune femme se donnant du plaisir. Là, typiquement, j’étais en plein fantasme : une sirène sur une plage.
Mon cœur s’emballa avant que je n’en tire les rênes pour garder le contrôle. Je ne pouvais me permettre de laisser filer cette occasion. J’agis à l’instinct, rapidement. En poussant un sifflement ébahi par la beauté du site. En lâchant un discret « c’est beau » comme si je me parlais à moi-même. Ses jambes bougèrent. Elle se redressa, une main sur les seins, essoufflée, désirable. Et là, elle me sourit. Un sourire lascif, tentant. Le sourire d’une femme interrompue dans un moment d’intimité mais qui n’en éprouve aucune honte.
« Bonjour mademoiselle. La vue est belle, dis-je en plantant mon regard dans le sien. »
Elle dut sentir que mon propos était à double sens car elle eut un second sourire mystérieux.
« Vous êtes client de l’hôtel, n’est-ce pas ? Le groupe Parksons, non ?
Je hochai la tête.
« Et vous, vous êtes la stagiaire que j’ai vu hier dans un tailleur beige très sexy ? »
Toujours le même sourire, avec cette fois-ci une nuance flattée par le compliment.
« Et bien, si je puis me permettre, mademoiselle, vous êtes aussi belle en tailleur qu’en monokini.
- Mais avec la différence que je ne peux pas être en monokini à l’hôtel.
- Donc vous venez ici pour être peinarde et bronzer nue?
- Je ne suis pas nue, monsieur.
- C’est vrai. Rien de plus qu’un tout petit slip de bain. Mais ne vous gênez pas pour moi si vous voulez vous mettre à l’aise…
- Je n’aime pas bronzer nue !
- Vous aimez avoir les traces du maillot sur les fesses ?
- C’est cela. Je trouve cela sexy.
- Moi de même…
- Mais par contre, je me baigne toujours nue, me coupa-t-elle avant que je ne puisse achever ma phrase. »
Joignant la parole au geste, elle fit glisser dans un déhanchement fabuleux, son petit bikini à ses pieds, me révélant un pubis lisse et une chute de rein délicieuse.
Et puis elle me tourna le dos pour aller se baigner. Son cul… Il me rendit fou.
Dans un réflexe, je pris son maillot pour le porter à mon visage. Il sentait le plaisir, la fraîcheur… Mon érection fut immédiate et vigoureuse.
« Je ne vous gêne pas, monsieur, fit-elle, provocatrice et amusée.
- Oh pardon mais… je… c’était trop tentant… cette odeur… votre beauté… Vous pouvez en voir la preuve de là où vous êtes, d’ailleurs. »
En effet, elle avait pleine vue, sur le relief de mon short de bain, relief éloquent. « Une belle vue pas complètement dégagée, hélas.
- Oh mademoiselle, si j’étais vous, je n’exigerais rien de plus. Le danger est trop grand.
- Ah oui ? dites m’en plus ?
- Il y a que cette vue provoque souvent une irrésistible envie de sucer chez certaines femmes et je ne suis pas sûr que vous ayez le droit de sucer les clients de l’hôtel.
- En effet, la situation peut-être délicate mais bon, je ne suis pas sûre, vous savez. »
J’adorais ce dialogue, qui était un délicieux préliminaire, très excitant. Elle jouait à merveille son rôle. Je bandais comme un taureau.
« Vous êtes stagiaire. Au pire, vous pourrez plaider la méconnaissance.
- Tout à fait. J’ai beaucoup à apprendre. Je débute.
- Alors si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je pourrais vous montrer certains désirs que peuvent avoir les clients.
- Oh merci beaucoup. J’aime apprendre sur le tas. »
L’instant d’après, j’étais les pieds dans l’eau, assis sur le rocher au bord du petit gourd alors cette belle stagiaire, dont je ne connaissais pas encore le prénom, me prenait en bouche, jouant quelques instants avec mon gland du bout de sa langue avant de m’aspirer de toutes ses lèvres.
« Débutante dans l’hôtellerie, peut-être mais pas dans l’art de sucer, on dirait, mademoiselle. »
- Je fais bien ce que j’aime faire.
- Cela se sent que vous aimez sucer, dis-je en descendant mes mains pour aller attraper les pointes de son délicieux bonnet a. »
Elle s’arrêta un instant de me sucer alors que je faisais rouler ses pointes entre mes doigts.
Elle s’en mordit les lèvres de plaisir. En la voyant ainsi s’épanouir, j’eus très envie de jouer avec elle, de voir jusqu’où une si élégante jeune femme avait envie d’aller, était capable d’aller avant de trouver les gestes trop crus. Je mis deux doigts dans sa bouche, en laissant l’autre main sur son sein droit.
« Sucez mes doigts mademoiselle et fermez les yeux. »
Elle happa avec avidité mes doigts.
Elle joua avec du bout de sa langue alors que je titillais toujours plus avant sa pointe. En la tirant doucement, en la faisant rouler, en la pinçant avec délicatesse et fermeté. Je la sentais s’abandonner au plaisir.
« Laissez-vous faire, mademoiselle.
- Avec plaisir, dit-elle dans un souffle. »
Là, je mis une main sur sa tête pour la guider vers ma queue et poursuivre la pipe arrêtée il y a peu. Je voulais la reprendre mais différemment, en dirigeant cette belle bouche, en imprimant moi même le rythme de cette fellation. Ma stagiaire se laissa faire, toujours les yeux fermés. Mes mains enserraient sa tête avec assurance. Je faisais aller et venir sa bouche autour de ma queue. D’elle-même, elle jouait avec sa langue.
« Une stagiaire qui suce à merveille. C’est le pied ! Cela va être un vrai plaisir que de baiser cette petite chienne, dis-je, en espérant que ce mot n’allait pas la bloquer dans son élan. »
Certes, elle avait envie de voir les désirs des clients mais je ne savais pas si ce mot, si les jeux allant avec ce mot étaient parmi les envies de cette jeune femme…
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Commentaires

Comme convenu, un petit commentaire..
La jeune stagiaire accepte tout à fait ta manière de parler.. tes mots l'ont même plutôt excitée..
En revanche, tu n'a l'autorisation de la baiser que si tu t'aperçois au cours de l'histoire qu'elle porte plutôt un bonnet B...
Même si certaines photos de plage peuvent laisser planer le doute... ;)
commentaire n° :1 posté par : ANais le: 08/01/2009 à 19h15

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