Je la fis sortir de l’eau en lui prenant les mains et en la soulevant. Elle était légère mais ce qui attira mon attention furent ses seins. Ils étaient plus généreux que ce que je n’avais vu. En les voyant rebondir quand je soulevai son corps hors de l’eau, je vis un bonnet b plus que a. Ce qui n’était pas pour me déplaire.

Quand elle fut debout devant moi, je vins doucement mordiller le lobe de son oreille avant de lui dire à voix basse :
« L’idée est de ne pas se gêner, n’est-ce pas ? »
Elle approuva dans un souffle avant de pousser un soupir en sentant un doigt s’aventurer dans sa chatte. Elle était humide et moite. C’était bon de la doigter alors qu’elle était debout à côté de moi.
Poursuivant le jeu, je me mis à marcher en l’entraînant à ma suite, avec à présent deux doigts dans sa fente. C’était excitant et cru de sentir le frottement de son sexe sur mes doigts alors que nous avancions.
Sa chatte était tellement trempée que mon excitation redoublait à chaque instant.
Je la conduisis jusqu’à sa serviette où là, je sortis mes doigts de son sexe pour les lui faire lécher. Elle le fit avec application et envie. Elle avait envie de ces doigts luisants de sa cyprine. Elle avait envie de goûter sa chatte.
Alors qu’elle s’occupait de mes doigts, j’en mis deux autres, de la main gauche, dans son sexe.
« Elle lèche mes doigts et elle se fait doigter. C’est un très bon début, cela. Elle m’excite de plus en plus cette belle petite chienne. »
Puis je pris sa natte dans une main pour basculer sa tête en arrière.
« La suite à présent, mademoiselle la stagiaire ?
- La stagiaire l’attend avec impatience.
- Alors à quatre pattes, les épaules au sol, s’il vous plait. »
Elle s’exécuta en silence.
Elle m’offrit une pleine vue sur son cul, sur son entrejambe, sur sa croupe. Elle était aussi belle qu’excitante ainsi offerte, les fesses en l’air sur sa serviette de bain.
Cette stagiaire était à la croisée de tant de fantasmes que je voulais en profiter le plus possible. Elle était la jeune femme en tailleur, elle était la cadre sup à lunette, elle était la nana qui bronze seule sur un petit coin de paradis désert. Et elle était, pour l’instant, partante pour mes jeux, soumise à mes désirs.
Pour conclure ses réflexions, je mis mes mains sur ses fesses pour les ouvrir et contempler son intimité, ses deux orifices, sa fente et son trou. Sa fente luisante de plaisir, son petit trou qui m’attirait beaucoup.
« A table, dis-je. »
Puis je me mis à laper ses deux orifices d’un grand coup de langue, à titiller son clitoris et son anus, avant de la lécher, de l’explorer de ma langue. Elle ne disait plus rien, toute entière à son plaisir alors que je m’aventurai en elle de ma langue et de mes doigts.
« Une bonne chatte bien trempée et un petit trou excitant. C’est bon de bouffer le cul d’une stagiaire comme vous, mademoiselle.
- Surtout ne vous arrêtez pas monsieur. Je suis trop bien là.
- Aucune envie de m’arrêter, n’ayez crainte. Plus je goûte à ces deux petits trous, plus j’ai envie de bien baiser cette belle petite salope à quatre pattes devant moi… »
N’étant pas sûr que ce nouveau mot cru lui plaise, je fis une pause, déposant même un baiser sur ses fesses. Chaque geste ou mot cru était, comme toujours, à quitte ou double. Un refus et tout pouvait s’arrêter ; une acceptation et le plaisir était magnifié. Elle n’eut aucune réaction, gardant les yeux fermés et la respiration haletante.
Je pris cela pour un consentement.
Mon geste suivant fut de la prendre. Ma queue était raide et tendue de désir pour ce beau petit lot à quatre pattes devant moi. Je la pris doucement mais en profondeur, glissant ma queue bien au fond de sa chatte avec de commencer à la limer. Mes mains sur ses hanches, serrant bien cette taille de guèpe, je me mis à sauter ma stagiaire.
Sa chatte était douce et serrée. Ma queue bien dure. Elle ouvrit les yeux pour me regarder. Seul son œil gauche me fixa car l’autre était contre sa serviette.
« Baisez-moi bien, monsieur. Ne vous gênez pas pour votre stagiaire, elle aime tout ce que vous lui faites. »
Après quelques aller retour en elle, je sortis de son sexe pour me redresser.
« Je me ferais bien sucer par une petite chienne excitée. Vous pouvez m’aider ? »
Souriante, elle se mit a genoux et, sans un mot, vint me prendre en bouche.
« Une queue parfumée à la chatte de stagiaire. Suce-moi bien. »
Et là, en un rien de temps, mes mains furent sur ses tempes. Je me mis à faire aller et venir sa tête autour de ma queue mais plus vivement que tout à l’heure.
« Jouez avec vos pointes pendant que je vous baise la bouche, s’il vous plait ? »
Ne pouvant me répondre par des mots, elle m’envoya un regard éloquent. Du genre qui fit durcir encore un peu plus ma queue. Puis elle saisit ses pointes et joua avec alors que j’investissais sa bouche. Sa bouche allait et venait autour de ma queue. Je baisais ses belles lèvres de suceuse sans me retenir. Elle tirait, pinçait, roulait les pointes de son bonnet b qui m’excitait autant que tout son corps.
« Ah la belle petite salope de stagiaire, elle aime la queue, fis-je au comble de l’excitation, retenant tant bien que mal une première éjaculation. C’est le pied de vous sauter, mademoiselle. »
Puis je la repris en levrette. En tirant ses cheveux, en redressant son buste pour la plaque contre mon ventre. Je mis trois doigts dans sa bouche pour les lui faire lécher. Je voulais la posséder, jouer avec elle, la rendre ardente et soumise, joueuse et offerte. Je pris son petit slip blanc pour lui passer en travers de la bouche et la retenir contre moi par l’étoffe de son bikini. Ainsi bâillonnée par son maillot imprégné de sa cyprine, elle était proche de l’orgasme, je le sentais.
Chaque coup de queue que je lui donnais nous rapprochait de l’explosion. Et je lui en mis beaucoup. Je sortis ma queue pour aller caresser son clitoris avec mon gland. Son sexe était un puit de plaisir, un volcan en éruption.
Je revins en elle pour la conduire à l’orgasme. Mes mains enserraient avec puissances ses hanches, mes coups de queue dans sa chatte étaient profonds et vigoureux. Alors qu’elle allait exploser, ma main descendit entre ses jambes pour aller caresser son clitoris. J’étais excité et donc mon geste ne fut pas aussi précis que possible mais il suffit à ma stagiaire. Sentir une queue en elle, une main sur son mont de vénus la fit décoller. Elle se cabra, un frisson la parcourut. Elle soupira plusieurs mots que je n’entendis pas car j’étais trop proche de l’extase, moi aussi.
« Viens toi aussi, me dit-elle après avoir repris ses esprits, alors que j’étais encore en elle, doucement, au bord de l’explosion. »
Elle se mit a genoux et ouvrit la bouche.
« Ma bouche est toute à toi. »
Elle se prit les seins pour se les caresser alors que je masturbais avec le gland devant ses lèvres ouvertes.
« Une bonne giclée pour ma stagiaire, hein ? Une bonne giclée de foutre pour cette belle petite…. »
Mon mot se perdit dans un râle de plaisir. Mon éjaculation fut puissante et généreuse, visant sa bouche, ses joues, son cou, ses cheveux. Ma semence blanche macula avec délice sa belle peau bronzée. Puis elle recracha mon foutre sur ses seins avant de prendre ma queue en bouche, pour en savourer jusqu’à la dernière goutte. Elle lécha mon gland, elle m’aspira. Je chancelais sur place.
Je dus m’asseoir mais elle ne quitta pas ma verge. Elle me gardait au chaud dans sa bouche. Une de mes mains étala le foutre sur ses seins, sur son ventre. Elle descendit entre ses jambes. Son sexe était encore moite. Elle pris ma queue entre ses doigts pour me masturber doucement et me regarder.
« En tout cas, les clients ont beaucoup d’idées intéressantes, merci beaucoup pour cette leçon. J’ai beaucoup appris.
- Je peux encore vous apprendre des choses, mademoiselle.
- Oh mais cela m’intéresse monsieur. C’est important pour moi d’en savoir plus sur ce domaine. J’aime apprendre pour mon métier et je veux être une bonne gérante d’hôtel plus tard.
- Votre conscience professionnelle vous honore, mademoiselle. Je me dois de vous apprendre tout ce que je peux. Alors laissez moi vous proposer deux modules. Le premier, c’est sodomie au bord de l’eau par un client amateur de mots crus et le second, c’est en tailleur et en lingerie dans une chambre d’hôtel avec un client fétichiste de dentelle. Lequel avez-vous envie de suivre ? »
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